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28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Amoureux depuis l’enfance des monstres et du cinéma d’horreur, Guillermo Del Toro, offre avec "Crimson Peak", un bijou sombre et délectable
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par La Rédaction
Dans le genre, un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
CNews
par La Rédaction
On frémit pour la jeune héroïne, coincée dans cette «maison Usher» proche de sa chute
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Guillermo Del Toro a fait le pari de commencer son film avec la subtilité d'un roman de Henry James et le clore dans un déluge charnel et pulsionnel. Le résultat est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
La réussite du film repose en grande partie sur ses trois acteurs principaux, dont les rôles semblent taillés sur mesure.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un conte noir, traité à l’anglaise, par un maître de l’épouvante, et avec deux superbes actrices dans un registre où elles font merveille.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Guillermo del Toro revient au film d’épouvante avec ce mélodrame envoûtant, dont la précision de la reconstitution n’a d’égale que celle de l’interprétation des trois acteurs. Un conte visuellement sublime et gorgé de symboles, à la mise en scène élégante.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Guillermo Del Toro livre son premier film personnel hollywoodien : une histoire de fantôme gothique. Le résultat est touchant et visuellement somptueux, mais moins effrayant que prévu.
Libération
par Clémentine Gallot
Malgré son marketing repoussant, ce récit sur un fil très théâtral se déploie au gré d’un talent pictural à mêler les motifs art nouveau et ceux des maîtres symbolistes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Du Guillermo del Toro pur jus. C'est la grande force du film, et aussi sa relative faiblesse.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une mise en scène efficace dans un univers visuel très créatif et des interprètes inspirés.
Positif
par Philippe Rouyer
Secondé par Dan Lausten, le directeur de la photographie de son premier film américain, "Mimic", et par le chef décorateur Tom Sanders, dont nul n'a oublié le travail sur le flamboyant "Dracula" de Coppola, Del Toro accumule les images mémorables et remporte tous ses paris esthétiques.
Première
par Gérard Delorme
La période (la Révolution industrielle) est autant un hommage aux films Hammer qu’à ceux de Mario Bava, avec ses couleurs exagérées et symboliques. C’est à la fois beau, terrifiant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Célébrant l'amour fou avec un appétit de merveilleux cher aux surréalistes, Guillermo del Toro convoque les couleurs de Dario Argento, l'inventivité de Mario Bava et la poésie de Jean Cocteau pour témoigner, comme dans L'échine du diable (son meilleur film à ce jour), de sa prédilection pour les romances interdites, de son amour des fantômes et de sa compassion pour les monstres. Son inspiration est sombre, son art lumineux.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Somptueux, échevelé, "Crimson Peak" est un drame en costumes victoriens qui mêle avec extravagance un univers à la Edith Wharton (Le Temps de l'innocence) et des histoires d'esprits vengeurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Crimson Peak" n’a pas la folie de "Twixt" ni le calme de ses aînés noir et blanc, mais il ne faudrait pas négliger le plaisir de son alliage du ciselé et du brut.
La Septième Obsession
par Ghislain Benhessa
Par-delà le plaisir immédiat suscité par les formes et les couleurs du bestiaire et de l’architecture, CRIMSON PEAK finit par évoquer les pulsations intimes qui animent un univers profondément romantique dans lequel dialoguent les morts et les vivants.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Au-delà de la cruelle histoire de terreur contée et à laquelle peut s'abandonner le spectateur, il y a dans le film une autonomisation lyrique et froide de la pulvérisation (les spectres se dissolvant), de l'écoulement et de la souillure.
Metro
par Mehdi Omaïs
Bien que trop classique, voire paresseux, le scénario est miraculeusement transcendé par des décors à couper le souffle et à faire sourire les prunelles.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Del Toro est un créateur d'univers sans pareil. Il parvient à contrebalancer les faiblesses du récit par la beauté renversante des images, dignes de "La Belle et la Bête" de Cocteau.
Critikat.com
par Josué Morel
Il ne faudrait pas étiqueter à tort "Crimson Peak" d’écrin vide, car ce n’est pas fondamentalement son problème : c’est surtout et avant tout un pastiche clinquant et surchargé dont les ornements ne sont, à aucun moment, vecteurs d’émerveillement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Une carcasse flamboyante mais désespérément inoffensive et banale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Toma Clarac
(...) un film qui tient de fait plus du mélo que du slasher et dans lequel l'éclat des fulgurances plastiques supplante (avec plus ou moins de réussite) l'effroi des visions d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Del Toro court en vain après une histoire d'amour et des envies de lyrisme (la passion plus forte que les interdits) qui auraient pu sublimer le parcours balisé du film.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Tout ici est d'une beauté gothique renversante. (...) Chaque plan est un authentique tableau de maître. Que Guillermo del Toro fusille avec un scénario prévisible, un suspense éventé dès le début, des scènes horrifiques gratuites annoncées en fanfare par la musique et une fin grotesque prêtant à rire.
VSD
par Jean-Pascal Grosso
Guillermo del Toro s’est mis en tête de célébrer le cinéma gothique anglais, celui des studios de la Hammer en particulier. Ici, l'héroïne s'appelle Cushing, en hommage au sieur Peter, éternel Van Hesling face à Christopher Lee/Dracula. C'est dire le niveau de références « capillotractées » dans lequel s'enlise cette lourde fresque ectoplasmique.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un film très sage, qui n’arrive pas à renouveler le cinéma gothique à l’anglaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Amoureux depuis l’enfance des monstres et du cinéma d’horreur, Guillermo Del Toro, offre avec "Crimson Peak", un bijou sombre et délectable
L'Obs
Dans le genre, un petit bijou.
CNews
On frémit pour la jeune héroïne, coincée dans cette «maison Usher» proche de sa chute
Culturopoing.com
Guillermo Del Toro a fait le pari de commencer son film avec la subtilité d'un roman de Henry James et le clore dans un déluge charnel et pulsionnel. Le résultat est fascinant.
L'Ecran Fantastique
La réussite du film repose en grande partie sur ses trois acteurs principaux, dont les rôles semblent taillés sur mesure.
Le Dauphiné Libéré
Un conte noir, traité à l’anglaise, par un maître de l’épouvante, et avec deux superbes actrices dans un registre où elles font merveille.
Le Journal du Dimanche
Guillermo del Toro revient au film d’épouvante avec ce mélodrame envoûtant, dont la précision de la reconstitution n’a d’égale que celle de l’interprétation des trois acteurs. Un conte visuellement sublime et gorgé de symboles, à la mise en scène élégante.
Les Fiches du Cinéma
Guillermo Del Toro livre son premier film personnel hollywoodien : une histoire de fantôme gothique. Le résultat est touchant et visuellement somptueux, mais moins effrayant que prévu.
Libération
Malgré son marketing repoussant, ce récit sur un fil très théâtral se déploie au gré d’un talent pictural à mêler les motifs art nouveau et ceux des maîtres symbolistes.
Mad Movies
Du Guillermo del Toro pur jus. C'est la grande force du film, et aussi sa relative faiblesse.
Ouest France
Une mise en scène efficace dans un univers visuel très créatif et des interprètes inspirés.
Positif
Secondé par Dan Lausten, le directeur de la photographie de son premier film américain, "Mimic", et par le chef décorateur Tom Sanders, dont nul n'a oublié le travail sur le flamboyant "Dracula" de Coppola, Del Toro accumule les images mémorables et remporte tous ses paris esthétiques.
Première
La période (la Révolution industrielle) est autant un hommage aux films Hammer qu’à ceux de Mario Bava, avec ses couleurs exagérées et symboliques. C’est à la fois beau, terrifiant et émouvant.
TF1 News
Célébrant l'amour fou avec un appétit de merveilleux cher aux surréalistes, Guillermo del Toro convoque les couleurs de Dario Argento, l'inventivité de Mario Bava et la poésie de Jean Cocteau pour témoigner, comme dans L'échine du diable (son meilleur film à ce jour), de sa prédilection pour les romances interdites, de son amour des fantômes et de sa compassion pour les monstres. Son inspiration est sombre, son art lumineux.
Télérama
Somptueux, échevelé, "Crimson Peak" est un drame en costumes victoriens qui mêle avec extravagance un univers à la Edith Wharton (Le Temps de l'innocence) et des histoires d'esprits vengeurs.
Voici
Thriller d'épouvante romantique, drame gothique, conte fantastique ? Formellement superbe.
Cahiers du Cinéma
"Crimson Peak" n’a pas la folie de "Twixt" ni le calme de ses aînés noir et blanc, mais il ne faudrait pas négliger le plaisir de son alliage du ciselé et du brut.
La Septième Obsession
Par-delà le plaisir immédiat suscité par les formes et les couleurs du bestiaire et de l’architecture, CRIMSON PEAK finit par évoquer les pulsations intimes qui animent un univers profondément romantique dans lequel dialoguent les morts et les vivants.
Le Monde
Au-delà de la cruelle histoire de terreur contée et à laquelle peut s'abandonner le spectateur, il y a dans le film une autonomisation lyrique et froide de la pulvérisation (les spectres se dissolvant), de l'écoulement et de la souillure.
Metro
Bien que trop classique, voire paresseux, le scénario est miraculeusement transcendé par des décors à couper le souffle et à faire sourire les prunelles.
Télé 7 Jours
Del Toro est un créateur d'univers sans pareil. Il parvient à contrebalancer les faiblesses du récit par la beauté renversante des images, dignes de "La Belle et la Bête" de Cocteau.
Critikat.com
Il ne faudrait pas étiqueter à tort "Crimson Peak" d’écrin vide, car ce n’est pas fondamentalement son problème : c’est surtout et avant tout un pastiche clinquant et surchargé dont les ornements ne sont, à aucun moment, vecteurs d’émerveillement.
Ecran Large
Une carcasse flamboyante mais désespérément inoffensive et banale.
GQ
(...) un film qui tient de fait plus du mélo que du slasher et dans lequel l'éclat des fulgurances plastiques supplante (avec plus ou moins de réussite) l'effroi des visions d'horreur.
Les Inrockuptibles
Del Toro court en vain après une histoire d'amour et des envies de lyrisme (la passion plus forte que les interdits) qui auraient pu sublimer le parcours balisé du film.
Studio Ciné Live
Tout ici est d'une beauté gothique renversante. (...) Chaque plan est un authentique tableau de maître. Que Guillermo del Toro fusille avec un scénario prévisible, un suspense éventé dès le début, des scènes horrifiques gratuites annoncées en fanfare par la musique et une fin grotesque prêtant à rire.
VSD
Guillermo del Toro s’est mis en tête de célébrer le cinéma gothique anglais, celui des studios de la Hammer en particulier. Ici, l'héroïne s'appelle Cushing, en hommage au sieur Peter, éternel Van Hesling face à Christopher Lee/Dracula. C'est dire le niveau de références « capillotractées » dans lequel s'enlise cette lourde fresque ectoplasmique.
aVoir-aLire.com
Un film très sage, qui n’arrive pas à renouveler le cinéma gothique à l’anglaise.