Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Obs
par La Rédaction
Délaissant le ton réaliste de ses films précédents ("Pour lui", "Septième Ciel"), le metteur en scène regarde avec bienveillance ces petits délinquants : grâce à ses acteurs (inconnus, mais qui ne devraient pas le rester), il insuffle une énergie électrique dans cette histoire triviale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Clément Ghys
Il y a quelque chose de Trainspotting dans ces corps ou visages qui s’assombrissent et se détruisent, dans ces espérances qui chutent. La beauté du film ne tient que très peu à son emballage sensationnel et télévisuel, à ses séquences musicales ou violentes, mais davantage au parfum nostalgique qui enveloppe le tout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Violent, radical, défendu par des comédiens hargneux et magnifiques, ce film magistralement réalisé allie la rugosité du béton des cités aux bouillonnements d'une jeunesse turbulente.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Dresen ne sacrifie jamais à l'esprit du conte ou de la morale.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Andreas Dresen poursuit, du point de vue de la jeunesse allemande, son exploration d'une époque (celle de la réunification) marquée par la perte de ses repères. Une fiction maladroite et appuyée, mais parfois touchante.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(Andreas Dresen) abandonne cette fois le style naturaliste de ses précédents films (...) pour quelques effets superflus, musique techno légèrement anachronique, caméra virevoltante, lumières stroboscopiques... Mais le constat est glaçant.
Critikat.com
par Benoît Smith
Le principal problème n’est pas que tout cela soit déjà vu, mais que le film soit incapable d’y insuffler quelque fraîcheur, de le faire paraître pour un constat sincèrement concerné et amer au lieu d’idées préétablies formulées en une fable téléphonée, résignée d’avance à sa morale prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
L’âpreté, la violence et l’urgence sont bien là, mais la mise en scène trop pesante, les effets de répétition, les longueurs, l’absence de grâce entravent le rythme et empêchent l’émotion de surgir.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un film qui a la tonalité de son constat - sale et violent - et qui ne craint pas d’en rajouter dans la noirceur insupportable.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Trop de rixes avec des néonazis, de virées dans des voitures volées et d'excès en tout genre. Pourtant ce film ne manque pas de rythme.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Spirale nihiliste en ex-Allemagne de l’Est, filmée sous amphis et sous coke.
Première
par Bernard Achour
Il y a une énergie folle, dans cette chronique sur la jeunesse est-allemande du début des 90s. Mais aussi une narration flottante, des psychologies approximatives et, revers de la médaille, une agitation qui vire au capharnaüm.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Présenté comme un "Trainspotting est-allemand", ce concentré de nihilisme aux personnages clichetons, aux dialogues faibles et à la mise en scène tapageuse déçoit considérablement de la part d'un cinéaste que l'on a connu plus inspiré par le passé ("Pour lui").
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(Le film) ne laisse pas un brin d'air ni l'ombre d'un doute pénétrer dans sa démonstration en béton.
L'Obs
Délaissant le ton réaliste de ses films précédents ("Pour lui", "Septième Ciel"), le metteur en scène regarde avec bienveillance ces petits délinquants : grâce à ses acteurs (inconnus, mais qui ne devraient pas le rester), il insuffle une énergie électrique dans cette histoire triviale.
Libération
Il y a quelque chose de Trainspotting dans ces corps ou visages qui s’assombrissent et se détruisent, dans ces espérances qui chutent. La beauté du film ne tient que très peu à son emballage sensationnel et télévisuel, à ses séquences musicales ou violentes, mais davantage au parfum nostalgique qui enveloppe le tout.
Paris Match
Violent, radical, défendu par des comédiens hargneux et magnifiques, ce film magistralement réalisé allie la rugosité du béton des cités aux bouillonnements d'une jeunesse turbulente.
Transfuge
Dresen ne sacrifie jamais à l'esprit du conte ou de la morale.
Les Fiches du Cinéma
Andreas Dresen poursuit, du point de vue de la jeunesse allemande, son exploration d'une époque (celle de la réunification) marquée par la perte de ses repères. Une fiction maladroite et appuyée, mais parfois touchante.
Télérama
(Andreas Dresen) abandonne cette fois le style naturaliste de ses précédents films (...) pour quelques effets superflus, musique techno légèrement anachronique, caméra virevoltante, lumières stroboscopiques... Mais le constat est glaçant.
Critikat.com
Le principal problème n’est pas que tout cela soit déjà vu, mais que le film soit incapable d’y insuffler quelque fraîcheur, de le faire paraître pour un constat sincèrement concerné et amer au lieu d’idées préétablies formulées en une fable téléphonée, résignée d’avance à sa morale prévisible.
La Croix
L’âpreté, la violence et l’urgence sont bien là, mais la mise en scène trop pesante, les effets de répétition, les longueurs, l’absence de grâce entravent le rythme et empêchent l’émotion de surgir.
Le Dauphiné Libéré
Dans un film qui a la tonalité de son constat - sale et violent - et qui ne craint pas d’en rajouter dans la noirceur insupportable.
Le Journal du Dimanche
Trop de rixes avec des néonazis, de virées dans des voitures volées et d'excès en tout genre. Pourtant ce film ne manque pas de rythme.
Les Inrockuptibles
Spirale nihiliste en ex-Allemagne de l’Est, filmée sous amphis et sous coke.
Première
Il y a une énergie folle, dans cette chronique sur la jeunesse est-allemande du début des 90s. Mais aussi une narration flottante, des psychologies approximatives et, revers de la médaille, une agitation qui vire au capharnaüm.
TF1 News
Présenté comme un "Trainspotting est-allemand", ce concentré de nihilisme aux personnages clichetons, aux dialogues faibles et à la mise en scène tapageuse déçoit considérablement de la part d'un cinéaste que l'on a connu plus inspiré par le passé ("Pour lui").
Le Monde
(Le film) ne laisse pas un brin d'air ni l'ombre d'un doute pénétrer dans sa démonstration en béton.
Positif
Non, non et non. Nous nous révoltons.