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cris11
53 abonnés
970 critiques
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3,5
Publiée le 6 mai 2013
Un bon James Bond avec Pierce Brosnan, très explosif avec un rythme soutenue, des cascades tirées par les cheveux mais tellement jouissive, de l'humour, un très bon méchant en la personne de Robert Carlyle et deux superbes James Bond girls (Sophie Marceau et Denise Richards). L'intrigue est quand même un peu simple par rapport aux deux autres de Brosnan mais ce 19 ème volet de la saga James Bond reste un excellent divertissement.
Moins réussie que " Goldeneye ", à peu prêt au même niveau que " Demain ne meurt Jamais " cette troisième aventure moderne de 007 joue un peu la carte de la facilité. Les scènes de courses-poursuites et les scènes d'actions nous font oubliés un peu les maladresses du scenario. Nous pouvons encore comptés sur le charme de Pierce Brosnan pour maintenir ses fans en haleine.
Un bon volet très divertissant par son côté actions , cascades et pyrotechnie... On pass en core un cap dans celui la !! Sa pète à tout va !!! Pierce brosnan impeccable même si toujours trop intouchable( jamais décoiffé , jamais mal ) ah si il lui ont fait un mal a l épaule dans cette opus :) !! De non dialogue et des lieux nouveaux bien variés. Une super James Bond girl , irrésistible et cruelle notre sublime Sophie Marceau , un méchant très moyen : Renard. Mal utiliser je pense.et une erreur de casting improbable Denise Richards.. Nul dans son jeu et son rôle de physicien atomiste.... Non mais vous l avez vu ? Par contre ç est une vraie bombe et James va vite la désamorcer. De bonne course poursuite , une belle scène de fin dans le sous marin . Et une bonne musique font de ce film un bon James Bond à voir avec grand plaisir.
Un James Bond moyen, qui compte sur un scénario assez intéressant mais malheureusement, des points négatifs viennent plomber l'ensemble: certaines scènes sont ridicules, comme la poursuite en skis, mais aussi Denise Richards en physicienne nucléaire, c'est une insulte à l'intelligence humaine...
Un scénario toujours aussi invraisemblable mais avec des cascades toujours aussi impressionnantes comme dans cette poursuite en bateau à moteur en plein centre de Londres qui se termine par un Bond accroché à une montgolfière ! Heureusement il y a toujours le charme et la distinction de Pierce Brosnan et surtout l'irrésistible sex appeal de Sophie Marceau torturant James...
Troisième mission pour Pierce Brosnan dans la peau de l'agent 007. On y retrouve ce qui fait la réussite de la saga sauf que cette fois-ci, ça sent un peu le réchauffé. On ne va pas dire que l'on s'ennuie car ce serait être mauvaise langue. Au contraire, cet opus contient ce qu'il faut en terme d'action. Le problème c'est qu'il n'y a plus de surprises. Bond tue, fait l'amour, fait de l'humour et sauve le monde dans un scénario sans grand intérêt et qui ressemble à du déjà-vu. On repassera donc pour l'originalité et l'on se contentera de profiter du divertissement, aidé par un casting de charme. Si Robert Carlyle campe un méchant un peu caricatural, la diabolique Sophie Marceau et la plantureuse Denise Richards ajoutent du piment à l'ensemble.
Entre les deux "James Bond" que je considère comme étant les meilleurs de la franchise se situe cette dix-neuvième mission de l'agent britannique qui est loin d'être si mauvaise qu'on le dit ! Enfin, c'est peut-être qu'une impression mais je trouve les critiques assez dures envers ce film et même avec l'ère Brosnan de manière générale qui est, en revanche pour moi, la meilleure de la saga. Bref, James Bond doit cette fois protéger Elektra King, fille d'un magnat du pétrole qui vient d'être assassiné au MI6. Eh oui, enfin un peu d'action au siège du MI6, je crois même que c'est la première fois dans la saga que quelque-chose s'y passe vraiment (hormis le fait de donner des ordres de mission et de faire des blagues de cul avec Moneypenny) mais c'est également la première fois que M est réellement impliquée dans une mission ! Sans en dire plus pour ne pas spoiler, ce M interprété par Judi Dench est beaucoup plus impliqué dans les films que ses homologues masculins et continuera de l'être durant l'ère Craig, du moins une partie. Mais bref, fini donc depuis depuis longtemps les complots du SPECTRE et les problèmes géopolitiques, James Bond se concentre cette fois sur un problème plus personnel (qui n'est pas sans rappeler "Permis de tueur", même si ici, Bond ne va pas jusqu'à donner sa démission mais fait de tout de même de sa mission une sorte d'affaire personnelle) et s'attache beaucoup à sa protégée. Mais Elektra n'est pas la seule James Bond Girl du film puisque l'on y retrouve également le Dr Christmas Jones qui fait quant à elle beaucoup penser à Lara Croft, à la fois dans l'attitude et bien-sûr dans les habits (lors de la sortie du film, la première trilogie venait d'avoir beaucoup de succès donc la comparaison n'est pas si déconnante, d'autant plus que ce sont des jeux britanniques). Le film a également un grand méchant, le Renard, dont les cicatrices peuvent faire penser au Blofeld interprété par Donald Pleasance et qui campe ici un antagoniste bien cliché (mais en même temps, rares sont ceux qui ne le sont pas dans les films de la franchise). Mais c'est sans compter sur une série de twists qui n'a, je l'avoue, plus trop d'effet sur moi car ça doit être le film de franchise que j'ai vu le plus de fois (la scène de l'appareil de torture m'avait d'ailleurs marquée). Alors certes, c'est un épisode qui est "moins en forme" que le précédent et le suivant dans le sens où nous avons un peu moins de scènes d'action et quand elles sont là, elles ne sont pas super originales mais on ne s’ennuie pas pour autant et on pourra néanmoins retenir la scène des hélicoptères au port qui est excellente ! Du côté du casting, nous retrouvons donc Pierce Brosnan mais nous avons également cette fois Sophie Marceau, quoiqu'on en dise excellente dans le rôle d'une James Bond Girl, Denise Richards et Robert Carlyle qui jouent également très bien. "Le Monde ne suffit pas" n'est donc certes pas l'épisode le plus passionnant de la franchise mais reste quand même très réussi dans l'ensemble !
Le Monde ne suffit pas est l'un des opus les plus marquants de la saga, et pour cause. Un casting consécration, bien à l'image de Bond, et de ce que la franchise nous propose depuis ses débuts. L'ère "Brosnaniènne" dans toute sa splendeur, où chaque nouvel opus sera plus attractif encore que son prédécesseur. Une chose est sûre, l'acteur y aura consacré de son talent et de son énergie pour nous en mettre plein les mirettes et nous émerveiller d'un spectacle explosif. On retrouve ici la Bond Girl la plus sensuelle de l'histoire de la saga: Sophie Marceau, femme fatale venimeuse par excellence. Le genre de femme auprès desquelles l'agent double 0 y laisse trop souvent des plumes, au péril de sa vie. Entre un jeu de charme diabolique, et un ennemi redoutable, immunisé contre la douleur, mieux vaut garder la tête sur les épaules et redoubler d'ingéniosité. Mais c'est à travers un périlleux cheminement d'embûches qu'il déjouera un autre plan machiavélique. Aidé accessoirement par la ravissante Denise Richards, à toute allure dans un réseau de pipeline à pétrole. L'action est au rendez-vous d'un divertissement de premier choix, sans aucun temps mort, et avec la bonne dose d'humour british qui colle parfaitement au personnage. 19ème chassé croisé mémorable pour ce phénomène intergénérationnel. 4,5/5
Après l’archétypal mais exemplaire Demain ne meurt Jamais, les producteurs choisirent Michael Apted pour réaliser le dix-neuvième opus de la saga, Le Monde ne suffit pas, avec deux changements importants et non négligeables dans la franchise.
Tout d’abord, c’est le dernier James Bond qui utilise Desmond Llewellyn, véritable âme de la franchise dans le rôle de Q. Sa dernière scène est d’ailleurs fabuleuse, avec sans doute l’acteur avec qui il avait la meilleure alchimie, Pierce Brosnan. Ce dernier continue d’interpréter Bond avec un tel aplomb et talent qu’il est largement éligible comme meilleur Bond de l’histoire de nos jours. Le deuxième changement, c’est la première fois qu’on voit une James Bond Girl comme Némésis principale de notre héros. En effet, Sophie Marceau (d’une fadeur horrifiante) est la première lead villain féminine de la saga, aidé de l’excellent Robert Carlyle dans ce film. La première heure du film donne raison aux choix des producteurs, tant elle est excellente, avec un pré-générique fantastique de 14 minutes, le plus long de la franchise. Malheureusement, c’est dans la deuxième heure, avec cette intrigue bien trop compliquée et finalement assez inintéressante pour pas grand-chose, Denise Richards est une James Bond Girl médiocre et le film manque clairement de seconds rôles intéressants. La chanson-titre est d’ailleurs un véritable manqué, après une période excellente point de vue musical, depuis A View to a Kill et ce générique génial de Duran Duran.
Le Monde ne suffit pas souffre d’un trop plein gênant pour la vraie qualité du film, mais il est impensable de le compter comme un mauvais film tant il y a des éléments intéressants dans ce métrage. Un bon cru, mais clairement moins bon que le précédent.
Un assez bonbon ! Enfin,je veux dire un assez bon James Bond ! Pierce Brosnan joue juste, tout comme Sophie Marceau dans son rôle (mais chut, je n'en dirai pas plus). Le scénario et le suspens sont solides, et les "méchants" ont de la gueule, comme on dit... En parlant de méchant, Robert Carlyle est méconnaissable en Renard ! Je n'ai réalisé que c'était lui qu'au générique de fin, et pourtant, cet acteur est reconnaissable ! Lorsqu'il a des cheveux...
Un James Bond haletant. Un gros film d'action toujours porté par le charismatique Pierce Brosnan. Robert Carlyle est bluffant en méchant qui ne ressent rien et Sophie Marceau est excellente (et impitoyable) en James Bond Girl. Sans oublier un Robbie Coltrane hilarant. Seul bémol.. Le jeu moisi de Denise Richard qui, certes, à un beau physique mais clairement pas un grand talent d'actrice.
Un pré-générique sur la Tamise qui annonce du lourd mais qui ne sera jamais confirmé par la suite. Pierce Brosnan en mode protection rapprochée pour ce qui s’avère être son Bond le moins délectable, tant la recette ne prend dans « Demain Ne Suffit Pas ». De Sophie Marceau, qui spoiler: tourne sa veste son l’effet du syndrome de Stockholm , à Denise Richards, le casting féminin est un vrai plaisir pour les yeux. Et c’est le seul car niveau crédibilité, on n’est loin du compte, la palme revenant haut la main à l’actrice américaine dans le rôle d’une scientifique (Docteur... ah oui pardon) en physique nucléaire (ben voyons). Même le bad guy Robert Carlyle fait preuve d’un excès qui n’avantage nullement son personnage. A noter que c’est dans cet épisode que l’incontournable Desmond Llewelyn - Q - tire sa révérence.
Un James Bond assez classique avec Brosnan qui s'installe dans ce rôle où il est moyennement convaincant mais cela pourrait être pire. Marceau est plutôt une bonne surprise c'est un rôle à sa mesure, le tout est comme d'ordinaire assez itinérant et rocambolesque. Rien de très innovant mais pas le pire du genre.
Dix-neuvième. Voilà dix-neuf fois que James Bond sauve le monde. Dans Le Monde Ne Suffit Pas, l'agent 007 doit empêcher un terroriste mondial de faire exploser une bombe au plutonium et ainsi détruire la planète, ce qui n'est pas commun dans la franchise. Pour l'aider dans sa tâche, la sulfureuse Denise Richards et Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid). Face à lui, le diabolique Robert Carlyle et Sophie Marceau, dans un rôle de peste. Un James Bond relativement correct qui, s'il oublie à nouveau d'éviter les gaffes, reste pour une fois assez attrayant.