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    Une femme disparaît
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    92 critiques spectateurs

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    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    31 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2012
    Un bon film d'Hitchcock, peut-être pas à ranger dans ses chefs-d'oeuvre pour autant. Le scénario est riche mais le suspense aurait pu être entretenu de manière plus efficace. On remarquera avec intérêt les références au contexte historique d'avant-guerre lors de certaines scènes.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2011
    Parmi les créations hitchcockiennes, "The Lady Vanishes" est une aventure condensée assez passionnante mélangeant les genres, efficace même si moins réaliste que d'autres de ses productions. Reste un moment cinématographique comme on le recherche, de grande qualité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Un très bon Hitchcock, captivant mais surtout très drôle, grâce au génial duo Charters et Caldicott, que je ne connaissais pas et qui apporte un second degré très anglais au film. La fin (à partir du moment où le train s’arrête) m’a moins convaincu. Les coups de feu et les invraisemblances donnent un côté Tintin qui n’est pas à la hauteur de l’intelligence dont fait preuve le scénario jusque là. Ça reste une belle découverte, qui me donne envie de découvrir la carrière anglaise d’Hitchcock.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Petit Hitchcock. Période anglaise (années 30), le film bien que porté par une intrigue sympathique, a quand même beaucoup vieilli. La première partie ressemble plus à une comédie et le film ne démarre vraiment qu'au bout d'une demi-heure. Ensuite on prend plaisir à enquêter avec les deux héros même si parfois les scènes (bastons, règlement de compte au pistolet...) sont un peu ridicules.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Le cinéma de Sir Alfred Hitchcock est toute une mise en scène entraînée, travaillée et maîtrisée, dans la bonne humeur américaine que l'on suit cette intrigue dans les Balkans, une enquête de disparition de dame âgée témoin gênant afin d'étouffer une affaire criminelle quelconque.
    Cette femme se volatilise, c'est une énigme pour une enquêtrice utile de se mettre en valeur dans cette œuvre, brillantissime bravo chapeau gentlemen English oh my lord and for the god sake ! Voilà, l'artiste virtuose clôt l'issue finale, le refrain instrument de musique et chant marquant du film.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    294 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2014
    Du très bon Hitchcock, avec une intrigue parfaitement fluide et maîtrisée, et une atmosphère. On ne s'ennuie jamais, notamment grâce à un duo d'acteurs particulièrement dynamique, et aux quelques rebondissements de l'histoire. L'enquête se révèle prenante, ponctuée par quelques moments d'action. "Une femme disparaît" ne manque pas non plus d'humour au second degré, ce qui se fera plus rare dans les productions hitchcockiennes ultérieures.
    Parkko
    Parkko

    160 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2010
    Ce film a 70 ans... Non mais sérieux quoi. C'est impressionant, y a pas d'autres mots je crois. Hitchock était vraiment (à mon sens) très très en avance sur son temps, avec vraiment un sens de la mise en scène, du rythme (le climax médian est vraiment bon !), etc...
    Il arrive à mêler humour et intrigue policière, il nous tient en haleine pendant toute la partie huis-clos, et le scénario, à la base très simple, est vraiment très intéressant.

    Alors pourquoi pas les quatre étoiles ? Tout simplement car le début est un peu décevant, mais ce n'est rien comparé aux dix dernières minutes qui sont un peu ratées à mon sens.

    Dommage, mais très bon film tout de même.
    Jahro
    Jahro

    55 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2015
    En 1938, Hitchcock n’a pas encore traversé l’Atlantique, et depuis son Albion natale, il en est toujours à répondre aux commandes. Soyez sans crainte : la reconnaissance ne saurait tarder. Thriller astucieux et retors, Une femme disparaît… et paf, le pitch. J’en révèle quand même un peu plus, l’intrigue se passe principalement à bord d’un Trans-Europ-pas-Express, où Margaret Lockwood et le fantasque Redgrave enquêtent sur la soudaine absence d’une bonne petite grand-mère. C’est un peu Miss Marple au secours d’un jeune couple, sauf que les rôles sont inversés et que l’homme qui causera la Psychose des Oiseaux a plus d’un tour dans son objectif. Surimpressions, plans obsédants, retournements de situation, paranoïa, magie et suspicions, le noir & blanc old-school gagne une seconde jeunesse : malgré les truquages d’avant-guerre, le futur maître du suspense réussit brillamment son examen pour Hollywood. Polar polyglotte et politique aux frontières de la schizophrénie, où d’excellents acteurs peignent une galerie de portraits haute en couleurs, il nous entraîne vers une terre inconnue, oppressante et cocasse, dérangeante et subtile, dont le carton en salles et l’estime qu’on lui voue ne surprendra personne. Alors, même si la loco change de sens, que les cascades vont à deux à l’heure et le décor défile sur un panneau, on retiendra bien plus qu’un charmant goût passé : c’est une authentique réussite, et ça, ça passe au-delà des âges.
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2020
    Après le succès de Jeune et innocent en 1937, Alfred Hitchcock, au sommet de son art en Grande-Bretagne, commence à jouir d’une grande réputation outre-Atlantique et s’apprête à conclure la décennie des années 1930 avec un thriller d’espionnage qui n’est pas sans faire penser au cadre et à l’atmosphère de l’une des œuvres majeures d’Agatha Christie, Le Crime de l’Orient-Express, publié seulement 4 ans plus tôt.
    Ce rapprochement est toutefois à nuancer. Là où Agatha Christie s’inspire d’une affaire médiatique de kidnapping, Alfred Hitchcock déroule son récit à la lumière de la menace nazie grandissante, un an avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Attribuer le rôle des méchants de ses films aux représentants de cette idéologie ténébreuse n’est pas chose nouvelle dans la filmographie du cinéaste, qui a commencé cette pratique dénonciatrice dès 1933, avec L’Homme qui en savait trop.
    Au départ, ce projet cinématographique n’était pas confié au maître du suspense, mais à Roy William Neil, producteur à la Gainsborough Pictures, contraint de laisser sa place après une blessure durant les premiers jours de tournage et un incident diplomatique avec la Yougoslavie relatif au traitement négatif des autorités du pays dans le script du film. Hitchcock arrive et remanie l’équipe du film, puis modifie le scénario en y ajoutant un ton léger et comique, qu’il mélange au genre dramatique de l’intrigue initiale. Il invente un nouveau pays, la Bandrika, et change quelques éléments scénaristiques.
    Ce nouveau long-métrage, basé sur le scénario du roman « The Wheel Spins », se tient presque à huit clos, dans la mesure où les décors varient peu. Dans une première partie au ton presque intégralement comique et proche du vaudeville, introduite par la maquette d’une gare faisant penser à celle de Jeune et innocent, les différents personnages sont présentés et introduits entre les murs d’un hôtel plein à craquer. Dans la seconde, le train en direction des Balkans voit se dérouler l’intrigue principale et dramatique, l’enlèvement de Miss Froy, une vieille dame anglaise en apparence ordinaire. Pour mener l’enquête, une jeune héritière américaine prête à se marier, Iris Mathilda Henderson, et un musicien fantasque et vif d’esprit, Gilbert Redman, s’associent pour interroger les différents témoins. Néanmoins, chacun d’entre eux dispose d’intérêts personnels qui les motivent à ne pas coopérer et qui font d’eux autant de suspects potentiels. Dans cette partie de Cluedo grandeur nature, nos deux détectives en herbe font fonctionner leurs cellules grises et mettent leur réflexion en commun jusqu’à mettre à jour un vaste complot impliquant des agents à la solde d’une autorité faisant penser à celle du régime nazi. A la veille de la Seconde Guerre mondiale et alors que cette idéologie menace l’Europe, Hitchcock stigmatise clairement le pacifisme, dénonce la neutralité et soutient l’entrée en guerre de l’Angleterre contre l’Allemagne. Le passager du train qui agite un mouchoir blanc est tué tandis que les deux amis anglais, représentants de la détermination britannique et longtemps restés indifférents au drame qui se joue dans le train, prennent les armes pour sauver le petit groupe d’une mort certaine.
    Pour porter son film à l’écran, Hitchcock fait confiance à deux inconnus : Margaret Lockwood, qui n'a alors que quelques seconds rôles derrière elle, et Michael Redgrave, célèbre au théâtre, qui obtient son premier et plus grand rôle au cinéma. Ce duo crève l’écran, prolongeant celui de Robert Donat et Madeleine Caroll dans Les 39 Marches, dans une même dynamique de séduction.
    De l’arrivée mouvementée et comique dans l’hôtel à l’épilogue au registre plus sérieux, le rythme ne faiblit jamais et le spectateur se retrouve coincé dans ce train, emporté dans cette enquête le long des chemins de fer. Dans ces wagons qui se suivent, les apparences sont trompeuses et on se rend compte à quel point le cinéaste a pu s’amuser à perdre le public avec des fausses pistes et des zones d’ombres. Pris au jeu, difficile de cacher son propre plaisir à participer avec le couple de premier plan pour dénouer cette affaire énigmatique.
    Quelques mois plus tard, après une dernière production (La Taverne de la Jamaïque), la période anglaise d’Hitchcock s’achève. Celle qui a offert ses premiers succès au réalisateur et qui lui a permis d’améliorer ses techniques cède sa place aux studios Hollywoodiens, qui donneront naissance aux plus grandes réussites hitchcockiennes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 août 2010
    L'un des meilleurs Hitchcock de cette période.
    Caine78
    Caine78

    6 716 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2008
    S'il est vrai qu'on peut avoir un peu de mal à être captivé par une introduction un peu poussive, on est rapidement rassuré par le véritable niveau du film : car voila un huit-clos d'une rare ingénuosité, ou l'on sent toute la maitrise du cinéaste pour créer un climat original, balancant systématiquement entre humour noir et suspense. SI bien qu'on est en définitive captivé par ce récit au demeurant plutot classique, mais d'une très grande vivacité et que la forme rend réellement intéressant captivant. De plus, chez Hitchcock, c'est la manière dont il surprend le spectateur qui est également jubilatoire, tant il a ce don de faire apparaitre l'humour au moment ou on s'y attend le moins, et ce avec un tel talent que cela semble toujours tomber à pic. On pourra alors regetter vingt dernières minutes un peu longuettes, et nettement moins prenantes, mais il n'en demeure pas moins que ce film a bien des atouts pour nous séduire et qu'au final, on est tout de même assez enchanté par l'ensemble. Epatant.
    GéDéon
    GéDéon

    86 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2023
    En 1938, Alfred Hitchcock réalise son avant-dernier film produit en Grande-Bretagne. Le scénario peut être découpé en trois parties distinctes d’inégale valeur. La mise en place de l’histoire avec la présentation des différents personnages bloqués dans un hôtel est plutôt réussie, avec une touche d’humour bien spécifique. De même, toute l’intrigue dans le train autour de cette femme qui a disparu est vraiment haletante. On ne sait plus qui croire ! Malheureusement, le dénouement est complètement bâclé et décevant, laissant un goût amer. Bref, un classique qui s’épuise sur la durée.
    kinophil
    kinophil

    20 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2013
    La surprenante première partie du film présente de manière un peu baroque et avec un humour forcé et assez lourd, les protagonistes bloqués par la neige dans un hôtel. Et puis le train peut partir et avec lui l'intrigue. Celle ci est un peu biscornue, et le traitement aventurier de la chose tient parfois de "Tintin en Moldavie", avec un caractère bande dessinée peu crédible. mais on se laisse prendre au divertissement de cette intrigue policière menée avec humour anglais par des personnages haut-en-couleur, et la mise en scène est de qualité.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2012
    Petite comédie policière très bien troussée à la fin de la période anglaise d’Hitchcock. Il règne dans ce film une bonne humeur communicative particulièrement dans le prélude à l’hôtel où un joyeux chari-vari s’instaure entre les différents clients. Vraiment on prend plaisir à suivre cette histoire abracadantesque d’enlèvement d’une mamie espionne dans un train. On n’y croit pas un instant mais le propos est ailleurs. Michael Redgrave est parfait en jeune gentleman volant au secours de la pauvre fiancée partant rejoindre son futur époux et qui constate la disparition de la vieille dame.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    299 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2009
    un excellent polar sur un échange de personnalité dans un huis-clos confondant, l'intensité montant étrangement au fur et à mesure jusqu'au climax (la scène du coffre bien sûr); les scènes de nuit étant de + extrêmement abouties.
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