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    Star Trek Sans limites
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    518 critiques spectateurs

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    S-Kayp
    S-Kayp

    151 abonnés 1 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 août 2016
    Dans la lignée des 2 premiers, ce 3ème volet est aussi excellent. Le scénario et la mise en scène sont supers, le film est bien rythmé, et les effets spéciaux sont top. Il ravira tous les fans de SF tout comme ceux de la série TV.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 août 2016
    Si l’action est bien là, tout l’essence du film réside dans une histoire purement philosophique comme l’ancienne génération (TOS) savait le faire. Sa mise en scène est superbe avec des moments très spectaculaires et d’autres où on se contente de contempler le magnifique spectacle qu’il nous propose sans jamais friser l’overdose ou la surenchère.
    Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
    CDRIX C.
    CDRIX C.

    47 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2016
    L'équipage de l'USS Enterprise version J.J Abrams se fait plaisir dans ce 3e épisode ! Chaque acteur y a sa place et étoffe son personnage. Tout le monde prend part à l'action et, visuellement, ce Star Trek a beaucoup plus d'envergure que les 2 précédents. Le démiurge Justin Lin élargit enfin le simple cadre du vaisseau et nous propose de contempler de nouveaux espaces, de vastes mondes, des décors inédits. Des scènes d'action spectaculaires et magnifiquement mises en scène. La caméra pivote et virevolte défiant les lois de l'équilibre et de la gravité, un véritable ballet d'action chorégraphié totalement maîtrisé. De la pure SF et un space-opera réussi avec une équipe qui donne sincèrement l'impression d'avoir envie de remettre le couvert. A noter : les savantes petites références à la franchise en général et le bel hommage rendu à Leonard Nimoy (plus spécialement lors d'une scène de dialogues entre Zachary Quinto et Karl Urban).
    VILLE.G
    VILLE.G

    55 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 août 2016
    Nase de chez nase, 10 fois nase.
    D'habitude je suis indulgent mais là la médiocrité est amplifiée par leur prétention. ça me met en colère.
    Scénario nase: aucun intérêt, des longueurs et des raccourcis incongrus, des incohérences absolues (deux personnages se retrouvent seuls à se battre, mal d'ailleurs, en plein milieu d'une base où se trouvent soit disant des milliers de soldats surentrainés!).
    Humour nase: Deux personnages font de l'humour après que leur vaisseau vient de s'écraser et que de nombreux membres de l'équipage viennent de mourir.
    Déguisements nases avec des masques des personnages à la limite du ridicule: Plastique grossier digne du mauvais carnaval
    Acteurs nases et quelconques. A leur décharge, ils ne sont aidés par les situations
    Décors nase, digne des séries japonaises des années 70 (dans une carrière de pierres avec 4 bambous et deux vagues structures).
    Cascades nase: les combats sont pathétiques.
    Un seul truc n'est pas mal: les effets spéciaux. Malheureusement ils paraissent incongrus par rapport au reste du film.
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2016
    La saga rebootée par J.J. Abrams en 2009 a encore de beaux jours devant elle. L'esprit initial est toujours là, Justin Lin a pris le relais sans rien dénaturer et même en revenant un peu plus aux sources que Into Darkness qui était un poil sombre. On a l'humour qu'il faut, l'action est grandiose, l'esthétique initiée par J.J. Abrams est de plus en plus belle.
    Côté histoire, rien de bien surprenant quand on connaît la saga, mais le grand méchant est imposant et n'est pas facile à battre. La belle surprise est le personnage de Jaylah qui s'intègre parfaitement aux autres membres de l'équipe. Il n'y a pas une star qui ressort, ils fonctionnent tous ensemble pour le grand bien du scénario, bien ficelé.
    L'un des meilleurs blockbusters de l'été voire même de l'année !
    Voir ma critique complète :
    Alscyom
    Alscyom

    24 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    Bon casting, bonne musique, bon style visuel et assurément mieux maitrisé que les 10 premiers films de l'ère classique de cette licence. Néanmoins l'âme des séries Star Trek : L'utopie humaniste, l'amélioration de soi, l'exploration n'y est absolument pas ni dans les deux précédents. Un bon blockbuster à peu près correct space-opera mais absolument pas du Star Trek.
    elbandito
    elbandito

    343 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mars 2017
    Treizième opus de la saga, "Star Trek Beyond" joue à fond la carte du divertissement familial et en cela il est une réussite. Seulement voilà, il aurait mérité à gagner en profondeur, notamment dans l’étude des personnages principaux auquel on ne s’attache guère, et dans son scénario trop conventionnel qui se contente de recycler les atouts infinis de la saga, laissant entrevoir un futur épisode "sans limites". Ou pas.
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    252 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 août 2016
    Troisième épisode du reboot de la saga après Star Trek et Star Trek Into Darkness sortis respectivement en 2009 et 2013 sous la direction de J.J. Abrams, Star Trek : Sans Limites de Justin Lin est probablement l’un des meilleurs films de cette saga que j’ai vu et aussi et surtout le meilleur blockbuster de l’été 2016 ! En résumé, j’ai tout simplement adoré ce Star Trek : Sans Limites, véritable moment de fraîcheur dans cette fin d’été très chaude et ensoleillée. Alors en pleine mission de cinq ans dans l’espace dans le but de découvrir de nouveaux mondes et de nouvelles civilisations, le célèbre équipage de l’USS Enterprise est soudainement attaqué par un mystérieux et puissant ennemi aux frontières inexplorées de l’espace. Dispersé aux quatre coins d’une planète inconnue, l’équipage du capitaine Kirk doit tout faire pour survivre afin de se retrouver et contrer ce nouvel ennemi qui menace la Fédération tout entière. Star Trek : Sans Limites était un des films les plus attendus de l’année, pas par tout le monde malheureusement aux vues de son succès plutôt timide au box-office. Et pourtant, fort de critiques positives voire très positives et de spectateurs plutôt emballés par ce troisième film du reboot de la saga, Star Trek : Sans Limites semble parti pour être celui qui aura le moins de succès au sein du reboot. Il y a de quoi être déçu pour lui et toute l’équipe qui a travaillé dessus car après une saison estivale où les grosses attentes se sont avérées être des déceptions mais des succès au box-office comme le désormais célèbre Suicide Squad, on commence à observer que les films qui sont bien accueillis par le public et bien notés fonctionnent moins bien que ceux qui sont très mal reçus la presse et par une partie du public (Jason Bourne, Star Trek : Sans Limites, S.O.S Fantômes,…). Mais bref, Star Trek : Sans Limites restera le meilleur blockbuster de l’été et se regardera plus souvent chez soi que le décevant Suicide Squad. Mais assez parlez de ce film, restons sur ce Star Trek : Sans Limites, la vrai bonne surprise de l’été (sans en être une pour moi vu que j’étais assez confiant !). Il faut bien dire que le film partait un peu mal avant sa sortie en salle… En effet, J.J. Abrams, réalisateur des deux premiers films qui ont su (re)conquérir les fans et se faire un nouveau public, a dû laisser sa place afin d’aller tourner ni plus ni moins que Star Wars : Le Réveil de la Force. Et le rôle vacant de metteur en scène atteignit, pour le malheur de certains à l’époque, entre les mains de Justin Lin, connu pour avoir réalisé trois volets de la saga Fast & Furious. Il faut dire que voir débarquer le réalisateur principal de la grosse saga vrombissante, moitié beauf et bourrine de Fast & Furious sur cette immense saga qu’est Star Trek, il y avait de quoi avoir peur. Mais au final non car j’ai tout de suite été rassuré par la discrète et excitante promotion du film qui commençait à nous montrer que Justin Lin avait fait de l’excellent travail. Et ce dès le premier teaser qui m’a tout de suite conquis : aventureux, fun, coloré, rock, jouissif,… bref tout ce qu’est le film au final, passant d’un teaser d’1min30 à un film de presque 2 heures ! Je vous le dis, j’ai carrément pris mon pied devant Star Trek : Sans Limites. Je ne m’attendais pas à autant aimer ce film puisque sortir après les deux excellents films de J.J. Abrams il fallait offrir quelque chose d’à la fois différent et dans la même ligné pour les égaler voire les surpasser. Et pour moi (mais peut-être que je m’emballe après ce premier visionnage, comme toujours), ce Star Trek : Sans Limites est pas loin de dépasser les films d’Abrams en terme de divertissement et de folie ! Certes les deux opus de J.J. Abrams sont plus stylisés dans la mise en scène, plus sombres, plus complexes tout en étant de superbes divertissements mais le film de Justin Lin est tellement efficace et encré vers le fun et le pure divertissement d’aventure de science-fiction que c’est juste magique ! Le scénario est un des nombreux points forts du film car Simon Pegg, l’interprète de Scotty, en est un des auteurs et a réussi à retrouver un certain esprit de Star Trek. Plus aventureux et épique que jamais, ce troisième film nous place directement dans le contexte des fameuses missions de cinq ans dans l’espace où l’équipage de l’USS Enterprise cherche de nouveaux mondes, de nouvelles civilisations, explore l’infini et l’inconnu, en clair l’esprit de départ de la série est là et devant Star Trek : Sans Limites on a l’impression d’être devant un des meilleurs épisodes de la série de l’ère Shatner et Nimoy mais avec un budget de 185 millions de dollars ! Alors oui certains reproche au film de ne pas assumer son titre Sans Limites qui stipule d’aller au-delà du connu, de passer par différentes planètes et que l’action se passe dans l’espace, or ici non, le film se passe principalement sur une seule et même planète et beaucoup moins dans l’espace. Le titre prend finalement tout son sens à la toute fin du film qui peut nous amener vers une quatrième aventure (que j’attends avec impatience désormais !). Mais pour revenir au scénario, il faut bien dire que Simon Pegg à fait de l’excellent boulot en réussissant à imprégner un esprit plus fun et aventureux et en prenant le risque de décevoir les fans par une histoire plus simple mais efficace, comme un épisode de série en fait. Mais personnellement, je n’ai pas trouvé que le scénario était plus classique, au contraire je l’ai trouvé assez original pour un Star Trek. Le fait de séparer l’équipage en plusieurs groupes permet une histoire plus dense où nous suivons les différentes péripéties de chacun jusqu’au rassemblement inévitable pour montrer la force de ce groupe lié par une belle amitié qui fait tout pour se rassembler (en libérant les captifs notamment) et lutter contre la menace qu’est Krall. Star Trek : Sans Limites est un vrai film d’aventure science-fiction prenant de bout en bout, bien que le début soit plus longuet que les deux autres qui nous avaient habitués à une scène d’action pour démarrer en trombe, alors qu’ici Justin Lin prend le temps d’installer son intrigue en évoquant notamment quelque chose que nous n’avions jamais vu je pense dans toute la saga : le quotidien de l’équipage pendant une mission de cinq années. Narrée en voix off par Chris Pine alias James T. Kirk, nous nous rendons compte dans cette séquence de la durée d’une telle mission, entendons les interrogations du capitaine sur ce genre de mission, sur le temps qui passe dans l’espace mais aussi sur l’importance de l’équipage qui apprend à vivre en communauté avec parfois des liens qui se tissent. J’ai beaucoup apprécié cette séquence au début du film qui pose bien l’un des éléments du film qu’est l’équipage et surtout ce qu’il représente pour Kirk. De plus cela apporte un certain réalisme que nous n’avions pas vu dans les films d’Abrams qui se concentraient plus sur les origines et les débuts de nos héros au sein de Starfleet. Ici ils sont en pleine action et mènent leur vie et leur mission comme une routine. Mais si le film démarre plutôt lentement, il ne faut pas oublier que nous avons Justin Lin à la barre et que le monsieur est avant tout un metteur en scène de film d’action. Deuxième point fort du film : l’action ! Tout explose, que ce soit le scénario, le rythme et l’Enterprise, lorsque notre équipage tombe dans un piège et est attaqué par un essaim de milliers de vaisseaux ennemis. Nous sommes dans un des meilleurs moments du film (si ce n’est le meilleur moment) qui n’est autre que la spectaculaire et violente attaque que subit l’USS Enterprise au bord de la frontière de l’espace connue. Justin Lin emballe cette longue séquence de destruction avec une redoutable efficacité et prend un malin plaisir à démembrer et faire crasher le vaisseau culte. Jamais Kirk et les siens n’ont été plus bas… Après cette scène d’action démente et géniale, le scénario se développe divisant ainsi l’équipage en petit groupe et nous fait découvrir un nouveau personnage très attachant en la personne de Jaylah interprété par la superbe Sofia Boutella qui comme certains critiques l’ont souligné n’est pas un personnage féminin à séduire, non, Jaylah est une survivante, une combattante et une future alliée décisive pour Kirk et ses amis. On ne veut qu’une chose, la revoir dans le prochain opus ! Et aussi, au niveau des nouveaux personnages puisqu’on aborde le sujet, comment ne pas évoquer le méchant du film interprété par un excellent Idris Elba qui se retrouve sous des tonnes de prothèses et de maquillages ultra dark et menaçant qui font de Krall un des meilleurs méchants que j’ai vu au sein de la saga Star Trek ! J’ai beaucoup apprécié ses motivations et surtout son histoire personnelle qui change de l’ordinaire et qui apporte une vraie originalité à l’intrigue qui se dirigeait vers quelque chose de plus classique et pas tant que ça finalement. Lorsque le méchant est très réussit, le film ne peut être que réussit et Star Trek : Sans Limites l’a compris. Avant de revenir sur l’action et les moments forts du film que j’évoquais si dessus avec l’attaque de l’Enterprise, parlons tout de suite de l’ensemble du casting étant donné que nous avons évoqué les géniales prestations d’Idris Elba et de Sofia Boutella. Pour cette troisième aventure tout le monde est de retour naturellement et les acteurs sont toujours aussi bons et le spectateur retrouve avec plaisir les relations qui unissent tous ces personnages attachants. Chris Pine livre un capitaine Kirk est plein questionnement sur son avenir dans Starfleet, sur son lien avec l’équipage de l’Enterprise et sur sa vie qui a été plus longue que celle de son père. L’acteur est juste parfait dans ce personnage charismatique, héroïque et plus mature que dans les précédents. Star Trek : Sans Limites est un film avant tout sur Kirk. Pour Zachary Quinto, interprète du fameux Spock, le personnage est également en proie à des questionnements sur son avenir au sein de l’équipage mais aussi sur sa vie et son héritage de Vulcain et s’interroge aussi sur la continuité de sa relation avec Uhura. Les deux personnages centraux de l’histoire sont donc dans ce film plus torturés, plus matures et tristes d’une certaine manière, ce qui confère une dimension plus tragique au film qui reste avant tout un divertissement explosif. Ensuite l’un des acteurs qui peut enfin s’exprimer c’est Karl Urban dans le rôle du docteur McCoy qui est beaucoup plus mis en avant que dans les précédents films et compose avec Spock un étonnant duo qui fonctionne très bien. Nous voyons enfin ce trio d’amis très liés qui apparaissait dans les six premiers films de la saga et donne envie d’en voir plus pour le prochain épisode. Simon Pegg revient lui, dans son rôle de Scotty et apporte cette touche d’humour au film qui fait plaisir à voir en tant qu’acteur mais aussi comme scénariste, Zoë Saldana retrouve son personnage du lieutenant Uhura mais semble un peu moins présente que d’habitude tout comme John Cho en Hikaru Sulu et enfin le regretté Anton Yelchin, décédé quelques mois avant la sortie du film à l’âge de 27 ans, apparaît lui beaucoup plus au sein de l’action du film dans son rôle de Checkov et livre probablement sa prestation la plus importante au sein de la saga. Le film lui est dédié. Et si nous revenons pour de bon à la mise en scène du film et à son rythme, il faut savoir qu’en fait Star Trek : Sans Limites va à cent à l’heure pendent 2h03 et multiplie les morceaux de bravoures les plus épiques de la saga rebootée ! Mention spéciale à la fameuse attaque de l’Enterprise en début de film pleine de tension et de suspense mais aussi à une scène qui m’a totalement conquis, vous savez ce fameux petit quelque chose qui vous fait vraiment aimer un film quand vous le voyez, quelque chose qui vous parle en terme de musique, de jeu ou de réalisation. Et je l’ai eu pour ce film. Cette scène c’est le face à face entre l’équipage de Kirk et l’essaim d’abeilles de Krall sous le son de « Sabotage » des Beastie Boys, clin d’œil au premier film de J.J. Abrams qui fait énormément plaisir. Cette scène est tout simplement folle où nos héros traversent une vague de flammes et d’explosions sous le son d’un bon rock’n’roll délirant à donner des frissons ! Le son est puissant, les basses sont à fond, la vitesse est là, le souffle des explosions est là,… bref une séquence de fun et de jouissance pure qui m’a totalement fait aimer ce film. Pour certains c’est probablement une scène anecdotique en terme de mise en scène mais pour moi ce fut le grand moment de Star Trek : Sans Limites, un moment anthologique même. Alors oui bien évidemment vous me direz que je n’évoque aucun défaut du film et que je fais un éloge total de ce blockbuster estival, or il y a bien évidemment quelques défauts comme ce début assez lent et moins prenant que les autres films, il y a pas mal de moments gros comme une maison voire improbables qui limite l’efficacité du film par moment (Scotty qui se retient d’une seule main à une falaise et lors de sa scène suivante on le retrouve dans la forêt en train de marcher tranquillement,… what the fuck comment est-il remonté ??! Et des scènes comme ça il y en a plusieurs malheureusement), des dialogues semble avoir été moins travaillé, peut-être la faute au doublage français, et enfin, la fin de ce film est identique à celles de J.J. Abrams et ça commence à énerver un peu de voir toujours les mêmes conclusions, ce qui en même temps renforce l’aspect hommage à la série originelle avec ce côté épisodique et qui ici renforce également le rôle de l’équipage qui prononce en cœur la fameuse phrase mythique de la saga. Mais voilà, hormis tous ces petits défauts par ci par là, Star Trek : Sans Limites est un excellent épisode de la saga, nostalgique, fun et rock, qui sera sans doute un de mes préférés. La mise en scène dynamique et efficace de Justin Lin lui permet de livrer le meilleur blockbuster de l’été 2016, rafraîchissant et ultra-divertissant ! Un film à voir pour passer un superbe moment de détente et si vous aimez la science-fiction épique et aventureuse teintée d’humour, foncez voir Star Trek : Sans Limites, croyez moi c’est de la bonne ! Sur ce, longue vie et prospérité les amis ! Et vite la suite !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 août 2016
    Une très très bonne surprise pour ce Star Trek. Grand amoureux de cette license j'ai eu quelque appréhension mais aucun doute après visionnage. Justin lin a su maîtriser l'ambiance de la license en y ajoutant un humour ou la connaissance des personnage est nécessaire à la compréhension qui ferait penser à une série mais surtout il donne vraiment l'impression de voir un équipage qui se complètent les uns les autres. L'action est classe et maîtriser et l'imagerie est magnifique. Un grand bravo a Justin Lin
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 août 2016
    Sauvé des limbes de la naphtaline cinématographique par J.J. Abrams et sa clique, la saga "Star Trek" est repartie sur de bons rails en 2009 grâce à une astuce scénaristique (et temporelle) permettant à la "nouvelle" franchise d'être l'équilibre parfait entre nostalgie et modernité (ce que doit être la définition de tout bon reboot en somme). Un deuxième épisode réécrivant de manière très maline le deuxième opus originel de la saga venait confirmer cette tendance avec une nouvelle incarnation du grand méchant Khan par un saisissant Benedict Cumberbatch. Tout n'était pas parfait (ces deux derniers films ont leurs détracteurs) mais "Star Trek" a clairement réussi à faire peau neuve tout en conservant son historique mythique et ce, sans froisser ses plus fervents fans. C'est donc avec le plus grand plaisir que l'on retrouve tout l'équipage de l'U.S.S. Entreprise parti explorer des contrées interstellaires inconnues pendant un voyage de 5 longues années comme dans les plus belles origines de la série.
    Mais, entre-temps, J.J. Abrams (toujours à la production) est parti se frotter à des sabres-laser d'une autre célèbre saga de SF, son remplaçant adoubé, Justin Lin, nous vient tout droit d'un univers où Vin Diesel fait des vroum-vroum depuis sept films sans apparemment lasser personne et Simon "Scotty" Pegg se retrouve promu au scénario. Tout cela nous conduit donc à la promesse d'un troisième épisode bourré d'action et d'humour tout en restant dans la continuité des deux précédents.

    Et la promesse est tenue... du moins, dans les grandes lignes.
    Annonçons-le direct, "Star Trek : Sans Limites" est un poil en-deçà de ses prédécesseurs. Le film pêche en premier lieu par une intrigue plus faiblarde qu'auparavant : l'U.S.S. Entreprise est une fois de plus malmené par un grand méchant avec une arme surpuissante et une dent contre la Fédération. Le scénario tente bien de nous surprendre sur la raison de ses motivations par un twist mais celui-ci se révèle vraiment trop prévisible (et surtout mal amené) pour nous donner une autre impression qu'un Idris Elba sous-exploité (on est bien loin de la figure imposante de Khan).
    Ensuite, les états d'âmes des personnages tournent un peu cruellement en rond, que cela soit les doutes de Kirk, Spock ou la relation Spock/Uhura, il n'y a rien de bien neuf à signaler, tout semblait avoir déjà été traité précédemment si bien que les personnages ne trouveront leur raison d'être que dans les scènes d'action du film.
    Enfin, concernant Justin Lin, il n'est hélas pas J.J. Abrams (on en vient même à regretter les fameuses lens flares, c'est dire !), il loupe carrément la première grosse scène d'action du film (l'assaut sur le fameux vaisseau au potentiel pourtant tellement dantesque) qui ressemble à un capharnaüm monstre réalisé dans une pénombre qu'une 3D inutile ne fait que renforcer (on n'y distingue rien, n'allez surtout pas le voir dans ce format).
    Heureusement, il se rattrape très vite par la suite par de vrais beaux morceaux de bravoure qui n'ont rien à envier à ses grands frères.

    Car, oui, passé un gros premier tiers qui laisse pour le moins dubitatif, "Star Trek : Sans Limites" se montre enfin sous son meilleur jour : des scènes d'actions véritablement épiques, des gadgets inventifs, une nouvelle venue qui apporte un doux vent de fraîcheur à l'ensemble (excellente Sofia Boutella), un chouette hommage à Leonard Nimoy et aux anciens qui ne sent nullement le passage obligé en s'intégrant dans la destinée du "nouveau" Spock ou encore la révélation de l'homosexualité de Sulu faite avec un certain tact et une normalité qui fait plaisir à voir. Comme dit plus haut, le scénario a beau ne pas être à la hauteur des deux précédents, peu importe, ce blockbuster n'a pas oublié d'être généreux et efficace au contraire de ses nombreux confrères de cet été.
    Si bien que, comme la plupart de tous les personnages à la fin du film, on a vraiment hâte de vite embarquer dans un nouveau voyage aux confins de l'espace. Et si J.J. Abrams pouvait revenir faire un tour à bord de l'Entreprise, ce serait encore mieux...
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2016
    Ce nouveau Star Trek aura connu beaucoup de bouleversement allant du départ de J.J. Abrams à la réalisation après avoir signé les deux très bon premiers opus jusqu'au décès de Leonard Nimoy durant la pré-production du film et celui de Anton Yelchin peu de temps avant la sortie de en salles de ce dernier opus. C'est donc dans le deuil que sort ce Star Trek Beyond, et il est clair qu'après ça la saga connaîtra beaucoup de changements. Ce qui ne fera probablement pas de mal à la saga, car ce nouvel épisode apparaît très vite comme celui de la redite. Malgré de nouveaux scénaristes en la personne de Simon Pegg et Doug Jung ainsi qu'une nouveau metteur en scène avec Justin Lin qui trouve enfin le moyen de faire autre chose que du Fast & Furious au cinéma, on se retrouve face à un opus old school, étant bien plus proche de la série d'origine, qui ne parvient pas à apporter de la nouveauté et s'embourbe dans une formule trop mécanique.

    On sent dans leur écriture que Simon Pegg et Doug Jung aime l'univers Star Trek et que ce sont des fins connaisseurs dans le domaine. La pop culture n'a plus de secrets pour eux et ils s'évertuent à offrir un spectacle généreux qui parlera aux fans comme aux néophytes de la saga culte. Pourtant malgré quelques bonnes idées comme le fait de pousser l'équipe à être séparer pour former des duos qui n'avaient pas forcément l'habitude d'évoluer ensemble par avant, qui se révèle être une astuce assez intéressante pour donner de l'épaisseur à tout les personnages. Même si ils sont beaucoup et que le film ne s'arrête jamais vraiment, empêchant que tous gagnent vraiment en profondeur, le tout se recentre habilement sur eux et devient un character piece assez plaisant. Notamment dans le portrait tout en finesse qui est fait du capitaine Kirk, le personnage gagne vraiment en puissance et est interprété par un Chris Pine en très grande forme. Spock reste légèrement en retrait au sein de ce film, même si Zachary Quinto est encore une fois impeccable, mais son personnage amène un bel hommage à Leonard Nimoy tandis que le duo comique qu'il forme avec McCoy fonctionne à merveille surtout que Karl Urban démontre un talent comique assez rafraîchissant.

    Après les autres personnages sont utilisés de manière un peu trop classique, la relation entre Montgomery et Jaylah est sympathique mais très cliché. Pourtant Jaylah devient assez vite un personnage très attachant malgré un background peu recherché mais qu'on aimerait revoir par la suite. C'est ce qui entoure tous ce qui touche aux antagonistes qui devient plus gênant. Non seulement les méchants sont ridicules, mais utiliser Uhura pour nous introduire à leur univers est assez maladroitement fait et peu crédible. Comme la manière d'amener les enjeux qui n'est pas des plus exaltante surtout que les motivations du méchant sont dérisoires et font clairement redite par rapport à ceux des deux précédents films. Idris Elba offre une partition caricaturale et se révèle encore moins réussi que Nero du premier film, ce qui était jusque là inimaginable. Mais c'est finalement dans cette répétition que le film tient sa plus grosse faiblesse, le déroulé de l'intrigue est quasi-identique par rapport aux deux précédents volets. Les rebondissements sont sans surprises et presque trop évidents et on se retrouve plonger dans une formule mécanique et sans génie qui déroule son récit sans trop de faux pas mais sans non plus exalter le spectateur. Le travail des personnages est donc plus intéressant que l'histoire en elle-même, qui tient au final sur un timbre poste et qui fait beaucoup de surplace. On est loin de la dimension politique et actuelle des deux précédents opus, on a perdu en profondeur au profit d'un divertissement estival tout ce qu'il y a de plus classique. C'est réussi mais c'est formaté et on est déçu car on n'attendait mieux d'un Star Trek. Même la romance homosexuelle, chose rare dans un blockbuster, et finalement survolé de manière trop succincte même si cela apporte une belle pudeur. Mais ça accentue bien le sentiment d'avoir fait tout un foin pour pas grand chose, ce qu'est un peu le film au final.

    Ce minimum syndical apparaît aussi dans la mise en scène en pilotage automatique de Justin Lin. Elle se montre quand même maîtrisé et assez abouti mais elle manque de génie. La scène de destruction de l'Enterprise est plutôt inventive dans sa manière de s'affranchir de tout gravité et de dépasser les barrières physiques, la caméra étant toujours en train de survoler le vaisseau passant d'un pièce à l'autre de manière très aériennes et fantomatiques. Cela permet d'avoir une séquence assez explosif, constamment en mouvement et vraiment efficace mais ce sera la seule scène mémorable du film. Après ça, les situations seront plus classiques et le film devient assez cheap dans ses décors, certains éléments faisant très carton-pâte. Même les scènes d'actions perdent en envergure, surtout à cause d'une gestion de la luminosité assez étrange qui rendent beaucoup de passages confus et illisibles durant les combats dans la nuit ou dans l'espace. Le climax est relativement mou et manque de mise en danger, la situation étant réglée avec bien trop de facilités et le film plonge un peu dans une recherche du cool qui le "marvelise" et qui ne colle pas vraiment avec la gravité des anciens opus. Le montage est moins incisif, la photographie plus laxiste dans sa gestion de la lumière et même le score de Michael Giacchino est moins mémorable que par le passé malgré qu'il reste de très bonne tenue. On sent que J.J. Abrams manque un peu sur le visuel, même si Justin Lin à le mérite de faire quelque chose qui lui est propre et évite de singer Abrams, et qu'il offre aussi un travail vraiment correct, il n'a quand même pas le talent de son prédécesseur.

    Star Trek Beyond est donc un bon film, il s'impose même parmi les rares blockbusters estivaux solides de cette année. Mais malgré le fait qu'il soit un divertissement réussi, il est aussi un Star Trek quelque peu décevant. Il n'a n'y la dimension de ses aînés, ni leur sens du spectacle, ce qui fait que l'on a le sentiment d'être devant un film assez inconséquent. Il n'apporte rien à la franchise et apparaît comme une redite par rapport aux deux opus d'Abrams. On est dans quelque chose de plus formaté, de moins ambitieux mais qui trouve son efficacité dans ses personnages et grâce à une aventure rythmé qui apporte son lot d'humour et d'action. L'écriture à ses limites mais est convenable, la mise en scène malgré quelques maladresses est plus que correct tandis que le casting est toujours aussi bon. On passe un bon moment mais c'est un épisode que l'on retiendra clairement moins que les précédents.
    Shawn777
    Shawn777

    584 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2024
    Le réalisateur emblématique de la saga "Fast & Furious" (puisqu'il en en a réalisé le plus il me semble), Justin Lin, reprend le flambeau de la trilogie reboot "Star Trek" initiée par J. J. Abrams, qui est en revanche le treizième de la toute la franchise, et c'est clairement le plus faible des trois, alors que c'était pourtant auparavant mon préféré ! Alors ce n'est pas forcément la faute de Lin, quoiqu'il manque tout de même la patte d'Abrams qui, outre ses lens flare, marquait les esprits par un style assez significatif, mais plutôt d'un scénario finalement assez basique. Et c'est pourtant très dommage car on sort enfin des vaisseaux pour aller explorer une planète ! Un peu comme dans "Star Trek : Insurrection" d'ailleurs et la comparaison avec ce film ne s'arrête pas là puisque l'antagoniste fait fortement pense aux Son'a, cette race d'extraterrestres qui ne vieillissent pas, enfin qui vieillissent lentement et très mal (un peu comme Madonna mais ce n'est pas le sujet). Bon, du coup, c'est bien sympa, on découvre d'autres territoires, d'autres races mais on délaisse un peu les personnages principaux qui ne sont plus tellement explorés et qu'on ne fait que survoler, ce qui est bien dommage ! En effet, ici, il s'agit d'un film de mission classique qui ne raconte finalement plus grand-chose sur une franchise qui a paradoxalement du mal à se renouveler malgré son univers sacrément riche ! En effet, c'était, pour moi en tout cas, le problème des premiers films qui tournaient finalement en rond et qui n'avaient, au bout d'un moment, plus grand-chose à proposer sinon des sous-textes philosophiques et progressistes assez malin et surtout très avant-gardistes (d'autant plus dans un élément de pop-culture aussi important et imposant, surtout aux États-Unis). En bref, "Star Trek Sans Limites" est loin d'être un mauvais film mais s'arrête au simple statut de divertissement, ce qui est dommage dans une franchise aussi innovante.
    Chuck Carrey
    Chuck Carrey

    311 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    En 2016, l'univers « Star Trek » fêtait ses 50 ans. Et quoi de mieux pour fêter ça que de sortir un nouveau film ? D'autant plus que les deux précédents long-métrages réalisés par J.J. Abrams afin de relancer la saga sur de nouvelles bases avaient plutôt bien fonctionné. Oui mais voilà, Abrams était depuis parti chez les concurrents réaliser « Star Wars : The Force Awakens », et les deux scénaristes principaux Roberto Orci et Alex Kurtzman, sont eux aussi partis sur d'autres projets. Le trio n'est resté qu'en tant que producteur sur la saga. Cette nouvelle suite ne partait pas franchement sur de bons augures... C'est Simon Pegg, également interprète de Scotty depuis le reboot, et Doug Jung qui sont chargés d'écrire le scénario. On connaissait l'acteur britannique surtout pour ses rôles et films comiques. La question était de savoir s'il était capable de co-écrire un blockbuster à presque 200 millions de dollars. Clairement, la réponse est oui. L'histoire en elle-même ne réserve pas beaucoup de surprise. En revanche, il y a une bonne utilisation de tous les personnages. Ils sont assez nombreux mais ont pourtant tous leur importance et aucune ne semble véritablement délaissé. Un nouveau fait même son apparition, Jaylah jouée par la française Sofia Boutella qui s'en sort bien, et apporte un peu de fraîcheur à l'équipage. Idris Elba incarne également un adversaire convaincant mais qui aurait sûrement mérité d'être mieux développé. Le reste du casting est globalement irréprochable. Dans l'ensemble, le scénario est bon avec plusieurs touches d'humour au fil du récit et la thématique de la recherche d'identité est convenablement traitée. D'accord, le script est bon, mais qui pour remplacer J.J. Abrams ? C'est le cinéaste américano-taïwanais Justin Lin qui fut choisi. Il s'est notamment fait connaître en réalisant les « Fast & Furious » 3 à 6. En sachant cela, ce n'est pas forcément rassurant. Sauf que Lin a prouvé avec ces films qu'il était tout à fait capable de filmer des scènes d'action et les rendre nerveuses tout en gardant la lisibilité. Et ça, on le retrouve justement dans « Star Trek Beyond ». Les scènes d'action sont spectaculaires et contiennent de très beaux plans, probablement hérités du style Abrams, lorsque le vaisseau fait face à des obstacles plus grands que lui. Par contre, la réalisation de Justin Lin est moins efficace lors des scènes de combats au corps-à-corps, il place sa caméra trop près des personnages ce qui rend les mouvements un peu confus parfois. Ces scènes sont cependant assez peu nombreuses. N'est-pas Abrams qui veut, donc, mais Lin propose tout de même une mise en scène fidèle aux précédents volets et non dénuée de qualités. Les autres éléments techniques du film sont sans surprises. Les effets spéciaux sont superbes et les maquillages-prothèses également; Michael Giacchino qui est de retour compose une bande originale réussie avec un titre remarquable lors de la découverte de Yorktown, et évidemment le thème principal qui fait toujours autant rêver. Ce troisième opus depuis le reboot de 2009 constitue donc un très bon space-opera comme on en voit trop peu. On prend toujours autant de plaisir à suivre les membres de l'USS Enterprise dans leurs voyages interstellaires. Parés pour une nouvelle mission !
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2017
    Star Trek Beyond est un bon film, bon, je ne l'ai pas forcément trouvé extraordinaire, mais c'est pas mal.
    C'est un blockbuster bien fait. Les effets spéciaux sont très bonne qualité. Pas de reproche possible là-dessus. Les maquillages et les costumes sont aussi très futuristes. Les décors sont classes. Sur ces points-là, le film est même très esthétique. La série de films lancée en 2009 par celui d'Abrams a réussi à vraiment rendre hommage à la série télévisée et cinématographique d'origine, les moyens en plus.
    L'histoire se tient. Je l'ai néanmoins trouvée moins intéressante que celle de Star Trek (2009) et de Star Trek Into Darkness.
    Les scènes d'action marchent bien, elles sont suffisamment divertissante.
    Les acteurs sont toujours aussi bons que ce soit Pine, Quinto, Urban, Saldana, Pegg, Cho et Yelchin (c'est d'ailleurs bien dommage que pour sa dernière apparition à l'écran, son personnage soit relayé presque au second rang). La cohésion de groupe est toujours aussi perceptible. Sofia Boutella est très bien également. Par contre, malgré son indéniable talent, Idris Elba est assez peu marquant comme méchant (la faute sans doute à un script le rendant assez inintéressant).
    La musique de Michael Giacchino est toujours aussi bien (même s'il n'y a pas grand chose de nouveau par rapport aux compositions des précédents opus).
    C'est bien, mais s'il doit y avoir un prochain film dans cette franchise, il faudrait que les studios qui la produisent, se ressaisissent un peu afin d'apporter la fraîcheur qu'il y avait dans le premier opus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 août 2016
    Excellent Film. Aprés Deux Premiers Episodes monumentales, le réalisateur Justin Lin succède avec brio au talentueux JJ Abrams qui parvient a livrer un Troisieme Volet plus Intimiste et Epique que ces prédécesseurs tout en faisant honneur aux véritables fans de la saga originelle.Pour Commencer la Mise en Scéne est magnifiquement orchestré avec quelques plans séquences bluffants qui nous emmène dans les profondeurs de l'espace jusqu' a de nouveaux lieux enrichissant et magnifique visuellement dont en autant emporter par une BO magistral du compositeur Michael Giacchino qui livre des partitions musicales entraînantes et fortes qui sied merveilleusement au long métrage. Ensuite le Scénario est Captivant du début a la fin tout en reservant quelques références habiles a l'univers de Star Trek dont les connaisseurs seront combler tout en allant a un rythme éndiablé qui va cent a l'heure au cours des 2h00 sans nous laisser sur sa faim, ajouter a cela des Séquences D'Actions innovantes et lisible qui nous en met plein la vue grâce notamment a des Effets Spéciaux Spectaculaires et des morceaux de bravoures Scotchantes tout en n'oubliant pas d'y apporter quelques notes D'Humour et D'Emotion qui sont plus présents que jamais. Enfin on retrouve avec grand plaisir l'équipage de l'USS Entreprise qui reste plus soudé que jamais tout en étant confronté a des enjeux plus élevée et personnel dont on retrouve entre autres le courageux et intrépide Capitaine Kirk dont l'acteur Chris Pine prouve qu'il est née pour jouer ce role, a ses cotés on retrouve l'emblématique Spock qui est rejoint par le pessimiste médecin de bord Bones ainsi que la ravissante Uhura,l'ingénieur dynamique Scotty mais aussi les personanges de Sulu et Chekow qui un peu plus impliqué dans ce volet dont on peut saluer la performance irréprochable et respectives de Zachary Quinto,Zoe Saldana,Simon Pegg,John Cho ainsi que les regrettés Léonard Nimoy et Anton Yelchin dont le film parvient a leur rendre a ces deux immenses acteurs un magnifique hommage et pour combler le tout ce nouvel épisode marque l'arrivé fracassant de deux nouveaux venus de la saga avec d'un coté la sublime et athlétique actrice française Sofia Boutella qui vient rafraîchir l'univers Star Trek dans la peau de Jaylah une allié extraterrestre au tempérament de feu qui s'avére comme une allié de premier choix pour l'équipage de l'Entreprise et de l'autre le talentueux acteur Idris Elba excelle avec panache dans la peau du mystérieux et intriguant antagoniste de la saga sous les traits de Krall qui est un adversaire de poids face a nos explorateurs de l'espace qui n'a rien a envier aux précédents adversaires jouer respectivement par Eric Bana et Benedict Cumberbatch. En Conclusion, Star Trek Sans Limites est une formidable suite de la saga rebooter par JJ Abrams et qui reste dans la parfaite continuité de ces aînées en étant plus Spectaculaire,Trépidant,Drole et Emouvant dont les inconditionnels de Space Opéra ainsi que les Trekkies et les non initiés qui sera combler par cette nouvelle aventure et dont on espère revoir nos aventuriers de l'espace dans de nouvelles aventures de qualité.
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