Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
A l'évidence, le blockbuster de l'été.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le spectateur amoureux de science-fiction se laissera emporter dans un tourbillon d’action.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
C'est paradoxalement ce parcours sans surprise qui constitue le principal atout de ce troisième volet : son côté familier, presque léger et, surtout, débordant de sincérité. Comme si, cette fois, la relève était mieux qu'assurée, installée.
Gala
par Marie Hayne
Un résultat qui tient ses promesses tant pour les vieux Trekkies (fans depuis toujours de la série) que pour les jeunes amateurs de SF.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socas
Ou comment faire en sorte qu'une quinquagénaire franchise ne manque jamais (de substance) et ravisse perpétuellement ses fans...
Le Point
par Philippe Guedj
Plus humain, plus attachant, marqué en sourdine par le deuil de Nimoy puis, après le tournage, par celui d'Anton Yelchin (le film leur est dédié), Star Trek : sans limites réussit noblement sa mission divertissement, sans nous donner l'impression de nous prendre pour des demeurés.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
“Star Trek sans limites” renoue avec l'esprit de découverte et d'exploration de la série originelle, au fil d'un récit plaisant, mouvementé et spectaculaire.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Sorte de fantasmes de couvertures science-fictionnelles des années 60, les délires grisants de Star Trek Sans Limites réussissent l'inespéré : donner un aperçu du potentiel encore inexploité du genre, là où le dernier Star Wars se contentait de ressortir (avec savoir-faire, certes) les marmites de pépé.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Metro
par Jérôme Vermelin
A défaut de surprendre, ce Star Trek Sans Limites fait très bien son job.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
On retrouve ce qui faisait la grandeur de la série originelle : une SF humaniste, sans cynisme.
Première
par Sylvestre Picard
Une vision de cinéma modeste et progressiste. Limite audacieuse, en fait : "to boldly go". Mission accomplie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Le troisième volet du reboot initié par J.J. Abrams continue de nous faire rêver.
Télé 2 semaines
par Emilie Meunier
Diablement efficace, ce nouvel opus tire notamment sa force de ses personnages. Les liens se resserrent entre les différents protagonistes, dont l’attachant duo formé par le capitaine Kirk et le Vulcain Spock (Zachary Quinto).
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
L'Obs
par François Forestier
Ni meilleur ni pire que les films précédents, "Star Trek sans limites" remplit le contrat et coche toutes les cases. Il y a des gags, un peu de suspense, beaucoup d’action, et on apprend que Sulu, le barreur asiatique du vaisseau, est gay. Les fans seront comblés. Les autres, bof.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Il faut dire qu’on en est au 13e épisode et qu’il faut aller chercher de plus en plus loin la nouveauté. Pour le coup, même si le film s’éparpille un peu en route, le contrat est honnêtement rempli, qui respecte l’esprit originel, avec de bons effets spéciaux.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Dans le genre, ça défrise plus qu'Independence Day. Sinon, le capitaine Kirk a des états d'âme et le Vulcain Spock a toujours les oreilles pointues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Noémie Luciani
Plutôt plaisant et bien articulé, ce divertissement galactique peinera cependant à susciter l’enthousiasme sur tous les autres points.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le cinéaste reprend à la lettre les acquis de son aîné Abrams, et y insuffle ce sentiment d'extrême familiarité (...) Dans cette féérie numérique, Star Trek : Sans limite ne repousse sans doute aucune frontière, mais il parvient à illuminer avec conviction celles qui existent.
Paris Match
par Yannick Vely
Episode de transition qui file à vitesse de l’hyperespace, "Star Trek : sans limites", sans démériter sur le plan de l’action, manque donc à la fois de profondeur et de nouveauté. Reste le plaisir de retrouver les héros de la saga : Spock, Kirk, Scotty, Bones, Nyota, Chekov, servis équitablement et avec beaucoup d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
La bonne idée est d'avoir invité l'acteur Simon Pegg à participer au scénario. Il lui apporte humour habile et dérision. Les autres acteurs mêlent légèreté et conviction, le registre favori de Chris Pine, la tête d'affiche. Tout ça finit par faire décoller cette grosse machine qui célèbre joliment l'esprit d'équipe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Malgré des efforts de spectaculaire qui ajoutent de l’intérêt à l’expédition spatiale, le 3e volet contemporain deStar Trek ressemble davantage à un épisode destiné principalement aux fans de la saga qui y retrouveront la tendance au kitsch d’une franchise avant tout destinée au public anglophone.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Libéré de tout impératif de grandeur et d’innovation, la saga rentre donc dans le rang en tentant de sauvegarder comme elle peut la vista des débuts, avec la certitude tranquille de repartir quoi qu’il en soit vers l’infini du grand spectacle, non plus pour briller d’un nouvel éclat mais simplement pour faire proprement le boulot.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Josué Morel
C’est par cette incapacité à recouvrir la vitalité des films d’Abrams que le vernis de permanence de ce Star Trek : Sans limites craquelle : si les morts de Leonard Nimoy et d’Anton Yelchin hantent curieusement ce film-fontaine de jouvence, c’est une autre absence, celle du père (re)fondateur, dont souffre surtout cette suite ratée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui se voudrait de l'autodérision dans "Sans limites" se révèle une faute de goût, voire du mépris pour les "Trekkies", sinon tout amateur de science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Ce "Star Trek sans limites" atteint bien ses limites : héros sans surprise, scénario préférant les effets spéciaux aux idées, suspense platounet.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’atmosphère mélancolique du début cède sa place à une intrigue conventionnelle, qui manque de rythme et d’ambition. Reste un spectacle visuellement splendide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Julien Gester
D’où le sentiment que des élans contraires travaillent en son cœur à affadir le film. L’un (le scénario) qui tire à toute force vers la comédie de mœurs sans qualité en milieu extraterrestre, l’autre (la caméra) qui, sevrée une heure durant de son carburant préférentiel, frôle l’état végétatif (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
(...) les scénaristes n'ont fait que recycler les éléments constitutifs de la série, par peur sans doute de perdre les amateurs qui aiment retrouver régulièrement leurs personnages.
Télé 7 Jours
A l'évidence, le blockbuster de l'été.
20 Minutes
Le spectateur amoureux de science-fiction se laissera emporter dans un tourbillon d’action.
Charlie Hebdo
C'est paradoxalement ce parcours sans surprise qui constitue le principal atout de ce troisième volet : son côté familier, presque léger et, surtout, débordant de sincérité. Comme si, cette fois, la relève était mieux qu'assurée, installée.
Gala
Un résultat qui tient ses promesses tant pour les vieux Trekkies (fans depuis toujours de la série) que pour les jeunes amateurs de SF.
L'Ecran Fantastique
Ou comment faire en sorte qu'une quinquagénaire franchise ne manque jamais (de substance) et ravisse perpétuellement ses fans...
Le Point
Plus humain, plus attachant, marqué en sourdine par le deuil de Nimoy puis, après le tournage, par celui d'Anton Yelchin (le film leur est dédié), Star Trek : sans limites réussit noblement sa mission divertissement, sans nous donner l'impression de nous prendre pour des demeurés.
Les Fiches du Cinéma
“Star Trek sans limites” renoue avec l'esprit de découverte et d'exploration de la série originelle, au fil d'un récit plaisant, mouvementé et spectaculaire.
Mad Movies
Sorte de fantasmes de couvertures science-fictionnelles des années 60, les délires grisants de Star Trek Sans Limites réussissent l'inespéré : donner un aperçu du potentiel encore inexploité du genre, là où le dernier Star Wars se contentait de ressortir (avec savoir-faire, certes) les marmites de pépé.
Metro
A défaut de surprendre, ce Star Trek Sans Limites fait très bien son job.
Ouest France
On retrouve ce qui faisait la grandeur de la série originelle : une SF humaniste, sans cynisme.
Première
Une vision de cinéma modeste et progressiste. Limite audacieuse, en fait : "to boldly go". Mission accomplie.
Public
Le troisième volet du reboot initié par J.J. Abrams continue de nous faire rêver.
Télé 2 semaines
Diablement efficace, ce nouvel opus tire notamment sa force de ses personnages. Les liens se resserrent entre les différents protagonistes, dont l’attachant duo formé par le capitaine Kirk et le Vulcain Spock (Zachary Quinto).
L'Obs
Ni meilleur ni pire que les films précédents, "Star Trek sans limites" remplit le contrat et coche toutes les cases. Il y a des gags, un peu de suspense, beaucoup d’action, et on apprend que Sulu, le barreur asiatique du vaisseau, est gay. Les fans seront comblés. Les autres, bof.
Le Dauphiné Libéré
Il faut dire qu’on en est au 13e épisode et qu’il faut aller chercher de plus en plus loin la nouveauté. Pour le coup, même si le film s’éparpille un peu en route, le contrat est honnêtement rempli, qui respecte l’esprit originel, avec de bons effets spéciaux.
Le Figaro
Dans le genre, ça défrise plus qu'Independence Day. Sinon, le capitaine Kirk a des états d'âme et le Vulcain Spock a toujours les oreilles pointues.
Le Monde
Plutôt plaisant et bien articulé, ce divertissement galactique peinera cependant à susciter l’enthousiasme sur tous les autres points.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste reprend à la lettre les acquis de son aîné Abrams, et y insuffle ce sentiment d'extrême familiarité (...) Dans cette féérie numérique, Star Trek : Sans limite ne repousse sans doute aucune frontière, mais il parvient à illuminer avec conviction celles qui existent.
Paris Match
Episode de transition qui file à vitesse de l’hyperespace, "Star Trek : sans limites", sans démériter sur le plan de l’action, manque donc à la fois de profondeur et de nouveauté. Reste le plaisir de retrouver les héros de la saga : Spock, Kirk, Scotty, Bones, Nyota, Chekov, servis équitablement et avec beaucoup d’humour.
Télérama
La bonne idée est d'avoir invité l'acteur Simon Pegg à participer au scénario. Il lui apporte humour habile et dérision. Les autres acteurs mêlent légèreté et conviction, le registre favori de Chris Pine, la tête d'affiche. Tout ça finit par faire décoller cette grosse machine qui célèbre joliment l'esprit d'équipe.
aVoir-aLire.com
Malgré des efforts de spectaculaire qui ajoutent de l’intérêt à l’expédition spatiale, le 3e volet contemporain deStar Trek ressemble davantage à un épisode destiné principalement aux fans de la saga qui y retrouveront la tendance au kitsch d’une franchise avant tout destinée au public anglophone.
Chronic'art.com
Libéré de tout impératif de grandeur et d’innovation, la saga rentre donc dans le rang en tentant de sauvegarder comme elle peut la vista des débuts, avec la certitude tranquille de repartir quoi qu’il en soit vers l’infini du grand spectacle, non plus pour briller d’un nouvel éclat mais simplement pour faire proprement le boulot.
Critikat.com
C’est par cette incapacité à recouvrir la vitalité des films d’Abrams que le vernis de permanence de ce Star Trek : Sans limites craquelle : si les morts de Leonard Nimoy et d’Anton Yelchin hantent curieusement ce film-fontaine de jouvence, c’est une autre absence, celle du père (re)fondateur, dont souffre surtout cette suite ratée.
Franceinfo Culture
Ce qui se voudrait de l'autodérision dans "Sans limites" se révèle une faute de goût, voire du mépris pour les "Trekkies", sinon tout amateur de science-fiction.
L'Express
Ce "Star Trek sans limites" atteint bien ses limites : héros sans surprise, scénario préférant les effets spéciaux aux idées, suspense platounet.
Le Journal du Dimanche
L’atmosphère mélancolique du début cède sa place à une intrigue conventionnelle, qui manque de rythme et d’ambition. Reste un spectacle visuellement splendide.
Libération
D’où le sentiment que des élans contraires travaillent en son cœur à affadir le film. L’un (le scénario) qui tire à toute force vers la comédie de mœurs sans qualité en milieu extraterrestre, l’autre (la caméra) qui, sevrée une heure durant de son carburant préférentiel, frôle l’état végétatif (...).
Positif
(...) les scénaristes n'ont fait que recycler les éléments constitutifs de la série, par peur sans doute de perdre les amateurs qui aiment retrouver régulièrement leurs personnages.