AlloCiné
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Votre avis sur La Crème de la Crème ?
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Un conte générationnel qui dresse un portrait acide d'une jeunesse désenchantée. Sulfureux mais un peu cheap malgré une réal plutôt stylée.
Artriste
Troisième film de Kim Chapiron, La Crème De La Crème est à l'image de ce que sait faire son réalisateur, c'est à dire un concept intéressant mais mal mis en application. En effet, il trouve toujours des idées de départ qui donnent envie mais le résultat est loin d'être à la hauteur de l'attente. L'histoire ici n'est pas du tout exploité comme il se doit et au bout de même pas une heure on a tout vu et le dernier tiers restant n'a plus aucun intérêt. L'école et les études ne sont qu'un prétexte et le cadre n'est pas assez utilisé. La petite bande des quatre est sympathique mais les personnages manquent clairement d'épaisseur et les dialogues sont trop peu intéressants. Ils sont linéaires et n'évoluent à aucun moment. Rien n'est bien développé que ce soit le club ou les familles des protagonistes. Il n'y a pas d'enjeu et on sent que ça n'a rien à raconter. Alors oui c'est très sexualisé mais au final c'est faussement subversif et c'est plutôt sage. On sent à travers la réalisation - qui est travaillé mais qui manque de personnalité - que Kim Chapiron essaye de nous faire ressentir des sensations avant toute chose mais n'est pas Gaspar Noé qui veut. Pourtant ça fonctionne à quelques rares moments et notamment pendant la scène
spoiler:
ou ils prennent de la mdma
ou il se passe ce quelque chose. Malheureusement ces passages là sont bien trop rares. Heureusement que la magnifique Alice Isaaz crève l'écran par sa beauté et son jeu pour donner un intérêt à tout ça, car dès qu'elle apparaît à l'image j'ai été subjugué. Le reste de la troupe d'acteurs est convaincantes mais sans éclat même si j'ai bien apprécié Jean-Baptiste Lafarge. Autre point fort, la b.o. composée de chansons que j'aime beaucoup et qui est toujours utilisée à bon escient. La fin pour sa part ne sert à rien. On sent bien qu'il ne savait pas comment clore cette histoire qui n'en n'ai pas une. Pour autant j'ai beaucoup aimé la dernière scène spoiler: avec ce baiser fougueux accompagné par la sublime chanson de Sébastien Tellier
. Mettre de jolies femmes dans un film ne suffit pas et La Crème De La Crème en est l'exemple même. Dommage car il y avait mieux à faire et en l'état c'est un film tout juste bon qui s'oubliera très vite.
ou il se passe ce quelque chose. Malheureusement ces passages là sont bien trop rares. Heureusement que la magnifique Alice Isaaz crève l'écran par sa beauté et son jeu pour donner un intérêt à tout ça, car dès qu'elle apparaît à l'image j'ai été subjugué. Le reste de la troupe d'acteurs est convaincantes mais sans éclat même si j'ai bien apprécié Jean-Baptiste Lafarge. Autre point fort, la b.o. composée de chansons que j'aime beaucoup et qui est toujours utilisée à bon escient. La fin pour sa part ne sert à rien. On sent bien qu'il ne savait pas comment clore cette histoire qui n'en n'ai pas une. Pour autant j'ai beaucoup aimé la dernière scène spoiler: avec ce baiser fougueux accompagné par la sublime chanson de Sébastien Tellier
. Mettre de jolies femmes dans un film ne suffit pas et La Crème De La Crème en est l'exemple même. Dommage car il y avait mieux à faire et en l'état c'est un film tout juste bon qui s'oubliera très vite.
La crème de la crème qui est le titre original du film est une version française audacieuse et jeune du genre film d'étudiant. Le film est très français. Cela signifie que c'est une approche pour montrer la réalité sans prendre de raccourcis, ni pour expliquer, ni pour les pensées d'élèves adolescents désillusionnés sans aucun scrupule. Les appeler la crème de la crème qui signifie la crème de la récolte est évidemment avec beaucoup d'ironie. Pourtant le contenu est vraiment tiré par les cheveux. Nous rencontrons des élèves d'écoles de métiers avec des pulsions sexuelles qui fréquentent une école chic. Ils décident de louer des jeunes pour aller à des fêtes, étant les souteneurs de l'école. La Crème de la Crème a eu du mal à garder mon intérêt ce qu'il ne devrait pas se passer avec une intrigue assez excitante. Mais c'est le côté surtout narratif du film. Le film essaie d'être sexy sans être sexy, drôle sans être drôle et quand le film se transforme en quelque chose d'intéressant il brise soudainement l'instant. Pourtant c'est en partie explicite en ce qui concerne les parties sexuelles. Je trouve que de nombreux films dramatiques français ont cela et pourraient apprendre de certains des films d'action français récents qui gèrent très bien le récit. Celui-ci ne le gèrent pas. Pourtant le film vaut le détour seulement s'il était refait à Hollywood. En fait il n'y a de la crème que dans le titre...
Fêtons le cinéma
La Crème de la crème enferme le spectateur dans un microcosme mercantile duquel il ne ressort qu’à de rares occasions, partageant alors la voiture et les chansons françaises braillées à tue-tête par notre trio principal. Et même les percées hors du cercle d’excellence sont placées sous le signe de l’ethnographie, cette science qui étudie l’homme en prenant en compte son milieu social et culturel. Ce faisant, Kim Chapiron atteste la contamination généralisée du virus de la réussite chiffrée qui gangrène l’élite économique du pays – et d’Europe – ainsi que sa perception du monde : tout doit être évalué, coté, estimé selon les pertes et les profits attendus, tout se remet en jeu grâce à l’argent, les corps circulent dans ces dédales de couloirs que sont l’internat et la boîte de nuit. À l’absence de cours véritables répond une mise en pratique des savoirs : ne rien apprendre, seulement constituer un réseau de relations pour garantir le succès de demain. Aux carences érotiques répond l’amour-marchandise à grands renforts de billets et de cotisations. Voici venir le point névralgique du long métrage, point qui concentre les douleurs et les espoirs, point vers lequel gravite, sans le savoir, une jeunesse qui se déguise en grandes personnes : l’amour. Qu’est-ce qu’aimer dans un petit monde obsédé par le profit, un monde où tout a un prix, un monde de faux semblants ? Aimer, c’est se raccorder in extremis à l’humain, même devant un conseil de discipline, c’est faire tomber les vestes, les chemises et les pantalons de marque pour partager un baiser, un lit, une histoire. Sous ses aspects corrosifs et libertaires, La Crème de la crème rétablit un ordre des choses on ne peut plus rétrograde, en ce sens témoignant davantage de la focalisation du réalisateur que de ses protagonistes principaux : un amour au-delà des frontières sociales, un amour impossible qui éclot dans un champ de fumier telle une pousse de fraise encore jeune et que la croquade des mûres aura permis de laisser intacte. Le film rapporte, en somme, un mûrissement dans le mouvement même d’un pas de côté, il répand la crème sur les fraises pour mieux donner à voir et à vivre l’ascétisme nécessaire à l’éclosion d’un amour véritable. Parti pris intéressant, mais parti pris qui restaure au sein d’un édifice vicié une pirouette moralisatrice contestable. Face à l’immoralité, le film paraît donc se dérober, en dépit de quelques fulgurances érotiques plutôt réussies.
Aguicheur au commencement, Chapiron nous livre au final un récit trop léger qui ne nous explose pas en bouche.
Alors là chapeau 🎩..... un début qui annonce les hostilités, la crème de la crème, c’est l’élite qui compose cette fiction grotesque sexy réalité au sein de notre belle société, des étudiants de l’école de commerce, on se frotte les mains déjà, préparons les copies, seront les acteurs politiques de demain.
Les diplômés dans la poche, dès maintenant !! Le mot d’ordre est à compacter, on commence d’abord par regarder, on écoute, on étudie, on observe, on analyse et on suit cette comédie satyre absolument captivante, l’élitisme et ses poulains intellos avec leurs poireaux, délirant à souhait !!!
Beaucoup de politesse et respectueusement dans cette critique élaborée, trop bien foutue comme intrigue, regardez-vous tout autour de l’amphithéâtre, regardez bien attentivement les yeux ouverts, ayez un peu de jugeote de croire ce que vous croyez savoir en voyant.
Malgré votre science infuse et vos diplômes certifiés dont personne ne doutera, mes chers camarades du bahut, les copains copines d’abord laissez-passer, ce que vous êtes devenus avec beaucoup d’intelligence que nous conte ce film de 2014 jusqu’à présent.
Les scènes olé olé, bande annonce plus affichage publicitaire, ce n’est rien qu’une façade comparée à ce chef-d’œuvre dévoilant la culture française des grands penseurs, et les grandes écoles fréquentés par sa jeunesse qui s’amuse comme des fous et folles.
C’est du ciment ultra bétonné comme scénario, un monde à part sépare les spectateurs de cette romance de riche, c’est chic chic et choc pas trop, c’est comme ça...... que la mise en scène est géniale....!
La partie immergée de l’iceberg sous l’immensité de l’océan révèle les dessous clichés cyniques grossiers véridiques, pour une réalisation fréquentant ce milieu huppé festif fréquence DJ radio FG coca-whisky rave party.
Et c’est parti pour le show chaud le chaudron les universitaires fils et filles à papa 👴et maman, comment ça va les études bourses majors obéissant aux lois du marché, depuis chez nous les vignes puisque jusqu’où ça ira les limites ?
Vous le saurez en regardant ces acteurs qui ressemblent comme des gouttelettes d’eau à des américains, c’est normal tout à fait, il suffit de rechercher, ce sera trop facile.
La finale qui expédie la sentence pour les maquereaux du marketing, la finance est pour le loup de Wall Street, une sorte de remake spirituel, Martin Scorsese sait la décision du conseil de discipline des hautes instances commerciales que rendra le jury.
La menteuse manipulatrice maligne, une actrice à suivre la filmographie, se roulera des pelles en une partie romantique vidéo finish, like american teen movie style, le cinéma d’Hollywood format, juste au moment de la sanction définitive exclusion, le chantage presse pour coup de pression.
Ils sont au courant avec leurs cinq étoiles chefs hôteliers en première pôle position du podium, le tapis rouge de la visibilité, ça ne marche pas à tous les coups de pub.
Les diplômés dans la poche, dès maintenant !! Le mot d’ordre est à compacter, on commence d’abord par regarder, on écoute, on étudie, on observe, on analyse et on suit cette comédie satyre absolument captivante, l’élitisme et ses poulains intellos avec leurs poireaux, délirant à souhait !!!
Beaucoup de politesse et respectueusement dans cette critique élaborée, trop bien foutue comme intrigue, regardez-vous tout autour de l’amphithéâtre, regardez bien attentivement les yeux ouverts, ayez un peu de jugeote de croire ce que vous croyez savoir en voyant.
Malgré votre science infuse et vos diplômes certifiés dont personne ne doutera, mes chers camarades du bahut, les copains copines d’abord laissez-passer, ce que vous êtes devenus avec beaucoup d’intelligence que nous conte ce film de 2014 jusqu’à présent.
Les scènes olé olé, bande annonce plus affichage publicitaire, ce n’est rien qu’une façade comparée à ce chef-d’œuvre dévoilant la culture française des grands penseurs, et les grandes écoles fréquentés par sa jeunesse qui s’amuse comme des fous et folles.
C’est du ciment ultra bétonné comme scénario, un monde à part sépare les spectateurs de cette romance de riche, c’est chic chic et choc pas trop, c’est comme ça...... que la mise en scène est géniale....!
La partie immergée de l’iceberg sous l’immensité de l’océan révèle les dessous clichés cyniques grossiers véridiques, pour une réalisation fréquentant ce milieu huppé festif fréquence DJ radio FG coca-whisky rave party.
Et c’est parti pour le show chaud le chaudron les universitaires fils et filles à papa 👴et maman, comment ça va les études bourses majors obéissant aux lois du marché, depuis chez nous les vignes puisque jusqu’où ça ira les limites ?
Vous le saurez en regardant ces acteurs qui ressemblent comme des gouttelettes d’eau à des américains, c’est normal tout à fait, il suffit de rechercher, ce sera trop facile.
La finale qui expédie la sentence pour les maquereaux du marketing, la finance est pour le loup de Wall Street, une sorte de remake spirituel, Martin Scorsese sait la décision du conseil de discipline des hautes instances commerciales que rendra le jury.
La menteuse manipulatrice maligne, une actrice à suivre la filmographie, se roulera des pelles en une partie romantique vidéo finish, like american teen movie style, le cinéma d’Hollywood format, juste au moment de la sanction définitive exclusion, le chantage presse pour coup de pression.
Ils sont au courant avec leurs cinq étoiles chefs hôteliers en première pôle position du podium, le tapis rouge de la visibilité, ça ne marche pas à tous les coups de pub.
Très bon film, les acteurs jouent tous super bien et les actrices sont...TOUTES..ultra bonnes !
Et pourtant c'est bien plus philosophique que ça n'en a l'air dans la Bande annonce. Un peu de prise en compte sociale dans ce film économique.
Bref, j'ai beaucoup aimé (et le fait de reconnaître certaines personnes qui plus tard ont percés sur la tv fr est tjrs sympas, ex. SERGE ou Claire Chust <3 )
Et pourtant c'est bien plus philosophique que ça n'en a l'air dans la Bande annonce. Un peu de prise en compte sociale dans ce film économique.
Bref, j'ai beaucoup aimé (et le fait de reconnaître certaines personnes qui plus tard ont percés sur la tv fr est tjrs sympas, ex. SERGE ou Claire Chust <3 )
Un propos fort intéressant !
Des nerds puceaux ne comprenant rien aux relations humaines décident d'appliquer des règles macro-économiques pour parvenir à séduire la gente féminine.
Ils les paient d'abord afin de pouvoir les côtoyer. Leur cours augmente fatalement aux yeux des autres femmes car ils sont vus aux bras de belles Demoiselles attirantes. Leur capital séduction s'envole ! Alors pourquoi ne pas créer un nouveau marché (prostitution) et appliquer cela à d'autres afin de gagner sa vie (proxénétisme) ? Mais attention à ne pas saturer le marché. Il faut savoir se diversifier...
Alors c'est un peu tiré par les cheveux mais l'atmosphère est assez prenante. J'aurais préféré un film un peu moins consensuel et plus abouti dans son propos. Cela reste bien sage !
Des nerds puceaux ne comprenant rien aux relations humaines décident d'appliquer des règles macro-économiques pour parvenir à séduire la gente féminine.
Ils les paient d'abord afin de pouvoir les côtoyer. Leur cours augmente fatalement aux yeux des autres femmes car ils sont vus aux bras de belles Demoiselles attirantes. Leur capital séduction s'envole ! Alors pourquoi ne pas créer un nouveau marché (prostitution) et appliquer cela à d'autres afin de gagner sa vie (proxénétisme) ? Mais attention à ne pas saturer le marché. Il faut savoir se diversifier...
Alors c'est un peu tiré par les cheveux mais l'atmosphère est assez prenante. J'aurais préféré un film un peu moins consensuel et plus abouti dans son propos. Cela reste bien sage !
Un teen movie français qui raconte avec intelligence une jeunesse heureuse et désenchantée, à la fois arrogante qui cherche constamment à ce trouver, avides de transgressions et d'excès afin de tester leurs limites. Malgré une fin un peu vite expédiée, le scenario tiens en haleine, la mise en scène est efficace et les acteurs principaux sont convaincants.
Personnellement j'ai adoré, on rentre vraiment dans les personnages :) Ca ne représente pas la réalité exxxacte des grandes écoles mais c'est quand même très intéressant de se plonger dans le coté obscur de l'élite haha perso j'ai passé un excellent moment :)
A la fois original et délirant, et assorti d’un casting prometteur malgré son manque de célébrité, ce qui nous donne une comédie dramatique excentrique d’un Kim Chapiron, qui n’oublie pas ses thématiques fétiches tels que celle la jeunesse en dérive, et d’un monde rempli de perversions. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Pire film de tout les temps. "La crème de la crème", on se moque pas de vous.
Tout, l'intrigue, le scénario, les acteurs. Et une fin splendide.
Tout, l'intrigue, le scénario, les acteurs. Et une fin splendide.
Stephenballade
D’un côté nous avons la crème : une école de commerce, soi-disant l’une des meilleures de France, où les étudiants ayant la chance de l’avoir intégrée sont destinés à devenir l’élite de demain. De l’autre, nous avons la crème : un mec est en train de se palucher avec beaucoup d’entrain devant un film porno en 3D. Laquelle de ces deux crèmes va être choisie ? L’une ou l’autre ? Misère, ça fait peur… A moins que... les deux ? Eh bien le roulement de tambour sera de courte durée Le scénario de "La crème de la crème" va se diriger vers une seule et unique crème, laissant complètement de côté les cours donnés dans les amphithéâtres. Comme s’ils n’existaient pas. La seule chose qui a été gardée, c’est l’enseignement tiré et mis en pratique dans la vie quotidienne des étudiants sur le campus. Cette vie parascolaire semble assez bien retranscrite : fiestas à gogo (distillée sur une très bonne B.O. et pas seulement sur les séquences discothèques), et des groupes très fermés qui se dessinent. Ça, tout le monde le sait. Et puis une poignée d’entre eux ne calculent que des conneries, manipulant au passage les uns et les autres grâce à une utilisation chirurgicale des mots soigneusement choisis. Ça aussi, tout le monde le sait. Certains élèves sont plus influençables que d’autres, et/ou parce que d’autres voient tout simplement un moyen de mettre un terme à leur désir profond, voire leur détresse intérieure. L’orientation choisie pour ce film existe. Ou a dû exister. Disons que ce n’est pas difficile à imaginer. Pas la peine de le nier, nous avons été plus ou moins tous étudiants un jour ou l’autre. Enfin tous ceux qui ont eu la chance de prolonger ne serait-ce qu’un peu leurs études. Mais comment dire ? Ce film n’a aucun intérêt. D’autant plus que le point de vue proposé est placé uniquement au niveau de celui de ces jeunes. Même le semblant de morale est ruiné par les dernières images qui tombent à plat et qui nous font dire : « et ça se termine comme ça ? ». Eh bien oui, ça se termine comme ça. Et surtout, ça ne donne pas envie d’envoyer ses enfants dans cette université aux cours fantomatiques. En résumé : ennui assuré par cette vue dégradante de la personne, mais une bonne B.O. à écouter.
Film intéressant et original. Le film bien sûr caricature le monde des grandes écoles en accentuant certains penchants dans les mentalités des grandes écoles : l'obsession de la réussite, de l'argent et de la beauté, le réseautage, la reproduction sociale et l'entre soi méprisant envers d'autres milieux. Certains aspects sont bien dépeints même si évidemment les mentalités des grandes écoles sont plus ouvertes, progressistes et les profils plus divers qu'on pourrait le croire. Concernant le scénario, il est moins sulfureux que la très racolleuse bande annonce laisse croire et déroule en plus de l'intrigue principale des intrigues étudiantes assez banales : l'amour entre gens de conditions différentes, le client amoureux de sa prostitué.
Au final, un film avec une idée mais pas vraiment de scénario derrière.
Au final, un film avec une idée mais pas vraiment de scénario derrière.
C'est le genre de film soit l'on aime, soit l'on déteste. Je l'ai détesté. Mais pourquoi donc? :
1)Les clichés : les trois principaux personnages sont tellement stéréotypés. On a Kelly qui se fait passer pour une homosexuelle pour ne pas se faire aborder, on n'y croit pas une seconde. Ensuite, Dan, le coincé du film au physique banal qui a du mal à sortir avec les filles. Et enfin, Louis le fils de riche toujours sûr de lui. Ça aurait pas été mal de faire des personnages mieux développés. Mais le réalisateur a visiblement décidé de ne pas trop se casser la tête.
2)Le scénario : Ils font quasiment du proxénétisme, mais ça n'a pas l'air de les gêner. À aucun moment ils se disent que c'est mal.
3)Les femmes: dans ce film les femmes sont traitées comme des marchandises, 40,60 euros ça suffit pour en mettre une dans son lit. Ah au il y a un discours totalement absurde qui sort de la bouche de Kelly lorsque cette essaye de convaincre des filles à aller des soirées. On entend un truc du genre : "C'est ta beauté qui détermine le reste de ton avenir, pas ton éducation ou tes capacités"
4) La scène finale : Alors ça c'est le coup de grâce. Une scène gênante et insensée. On va éviter le spoil. 1,5/5
1)Les clichés : les trois principaux personnages sont tellement stéréotypés. On a Kelly qui se fait passer pour une homosexuelle pour ne pas se faire aborder, on n'y croit pas une seconde. Ensuite, Dan, le coincé du film au physique banal qui a du mal à sortir avec les filles. Et enfin, Louis le fils de riche toujours sûr de lui. Ça aurait pas été mal de faire des personnages mieux développés. Mais le réalisateur a visiblement décidé de ne pas trop se casser la tête.
2)Le scénario : Ils font quasiment du proxénétisme, mais ça n'a pas l'air de les gêner. À aucun moment ils se disent que c'est mal.
3)Les femmes: dans ce film les femmes sont traitées comme des marchandises, 40,60 euros ça suffit pour en mettre une dans son lit. Ah au il y a un discours totalement absurde qui sort de la bouche de Kelly lorsque cette essaye de convaincre des filles à aller des soirées. On entend un truc du genre : "C'est ta beauté qui détermine le reste de ton avenir, pas ton éducation ou tes capacités"
4) La scène finale : Alors ça c'est le coup de grâce. Une scène gênante et insensée. On va éviter le spoil. 1,5/5
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