La bande annonce avait l'air sympa mais quelle déception au final. On tourne en rond, linéaire et sans action, Français quoi. Ils montent un réseau de prostitution au sein de leur FAC avec une telle facilité et avec des gens sans aucun problème. Et une histoire d'amour évidente mais non assouvie conformément au script rigide et incohérent. Un film d'amateur fait avec des amateurs
Pour faire simple, quasiment tout est réussi dans ce film, mention spéciale aux acteurs. Mais parce qu'il y a un mais, une fois le film fini on se rend compte que beaucoup de petites intrigues ou détails nous sont montrés et ne sont finalement pas développés ou s'avèrent totalement inutile.
Un concentré de clichés sur les écoles de commerce, un film somme toute assez réducteur. Certes il faut alerter sur certaines pratiques de ces grandes écoles, mais pas jusqu'à les "dénigrer". A noter : quelques notes d'humour, et des acteurs qui jouent très bien. Ce n'est pas du tout un must see, mais à voir par pur curiosité. On aurait préféré que le réalisateur aille plus loin et que la réflexion soit plus fine, dommage qu'il soit tombé dans de "l'évidence" !!
Film à préjuger, il faut y aller en roue libre et çà passe, crème. Sincèrement, çà fonctionne. Une première partie que je trouve un peu longue à enclencher. Des scènes un peu banales qui se succèdent. Une seconde nettement meilleure. Un vrai parti pris, autant scénaristique que visuel. Une bande son galvanisante qui fait partie prenante de l'atmosphère que veut donner Kim Chapiron à son long métrage. Un trio de jeunes acteurs brillants par un jeu bien vu, qui fait réel à l'écran. Bonne surprise.
Un sujet peu original mais traité de manière original, plus proche du documentaire que de la teen comédie à la American Pie. Le tout est passionnant et se suit avec plaisir, grâce également à des acteurs formidables, mention particulière à l'attachante Alice Izaac (qui illuminait déjà de sa présence les quelques scènes où elle apparaissait dans le mauvais Fiston). Même si le scénario est un peu gros, le parallèle entre les lois du marché et celles du sexe dans les Écoles est intéressant. Même si ce n'est pas le choc comme fut Dog Pound, Kim Chapiron est définitivement un réalisateur à suivre.
Je suis super déçue par ce film ! La fin est nulle. Je m'attendais à quelque chose de plus poussé.Mais le film tourne en rond. Le jeu d'acteur reste bon.
Un film qui se veut moderne et drôle, qui, au final, aborde un sujet intéressant mais à travers un angle un peu étrange qui manque de pertinence. Une critique plus détaillée et d'autres sur
Kim Shapiron avoue "intéressant de faire une petite promenade avec eux". Eux, les étudiants. Une balade donc dans un milieu universitaire facilement reconnaissable.
Je pensais voir un film plus incisif. Plus dérangeant. Il n'en est rien. L'ennui m'a gagné très vite malgré une réalisation plutôt trépidante et quelques rares dialogues parfois savoureux.
J'ai trouvé l'écriture du tout jeune Noé Debré d'une extrême banalité. À l'écouter il travaillerait actuellement sur dix scénarios différents. Ça peut paraître beaucoup et faire peur en même temps, quand on écoute son interview du 23 mars sur Canal +.
Les dernières images tombent complètement à plat, et le film ne gagne rien à vouloir mettre en avant quelques idées sordides tirées d'un soi-disant fait divers des années 70.
En sortant de la séance j'ai demandé à quelques jeunes présents dans la salle ce qu'ils avaient pensé du film. "Assez réussi sur la forme" m'a répondu l'un deux. "Insultant pour les filles" a répliqué sa voisine." tout en rajoutant que le film ne reflète en rien une quelconque réalité. De mon côté, sûrement trop vieux pour me laisser prendre au jeu, je ne me risquerai pas de le conseiller.
Dans le film de Cécile Telerman qui sortira le 9 avril, Alice Isaaz est autrement plus convaincante, et surtout beaucoup mieux employée, dans un rôle très difficile qui ne permet pas la moindre faute.
Je reste toutefois persuadé que le réalisateur qui a su mettre en scène un "Dog Pound" nous permet d'espérer mieux que cette laborieuse "crème de la crème".
Le sujet, pourtant intéressant à la base, n’est pas forcément traité au mieux, notamment du fait d’un scénario qui, tout en étant trop caricatural, oublie pas mal d’éléments. Ça reste quand même pas si mauvais, notamment grâce à une réalisation dans l’ensemble soignée.