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Un visiteur
4,0
Publiée le 6 avril 2014
Étonnamment surprise pour un film que j'aurais pensé juste moyen. Bon jeu d'acteur, une histoire bien faite. Plus pour les jeunes par contre (18-30 ans)
La vrai prouesse de ce film c'est de nous faire croire qu'il est seulement mediocre jusqu'à la dernière minute. Alors qu'il est vraiment nul ! Plein de clichés un peu absurde, il en devient drôle malgré lui !
Mention spéciale au scénariste qui réunit dans un même cours de management les premieres années et les deuxièmes années... comme c'est pratique ! Surtout pour les apprentis proxénète !
bref, une bonne tranche de rire sarcastique pour : - Les caissières - Les vendeuses Sephora - Les vendeuses Starbuck - Les diplômés d'école d'ingénieurs - Et surtout pour ceux qui sortent d'une école de commerce
Par rapport à ce à quoi je m'attendais, ça a plutôt été une bonne surprise que ce film sur la société moderne actuelle, le rapport à la consommation et au sexe.
Bien qu'ayant tout à fait compris le propos du film, ce que le cinéaste a voulu faire passer comme message, je ne mets qu'une étoile car aller voir au cinéma un film montrant un milieu cynique, racoleur et immoral tel que celui-ci qui nous est dépeint, ce n'est pas du divertissement sympathique et agréable, c'est plutôt se faire du mal.
Je sors du visionnage de ce film et mon sentiment est mitigé : * point positif : ce film est bien fait, il y a une bonne réalisation technique, et on ne s'ennuie pas, * point négatif : ce film montre le monde cynique et violent dans lequel on vit (pas de morale, argent facile, prostitution) et c'est terrible et vraiment déprimant.
Alors que l’on nous a vendu le film comme une œuvre générationnelle subversive traitant avec cynisme des marchés sexuels liés à la démocratisation du phénomène de prostitution étudiante, La crème de la crème n’est en fait rien de plus qu’un campus-movie sans éclat. L’âge des personnages étudiants en commerce aura en définitive moins servi à Kim Chapiron à bâtir une étude sociologique d’une jeunesse dans laquelle il ne semble plus se reconnaitre, qu’à justifier les caméos de ses amis issus de la scène musicale française en guise de guest-stars à les fêtes orgiaques qui, à ses yeux, semblent être le principal élément de la formation des futures élites nationales (d'ailleurs le fait que ceux-ci n'écoutent que la musique française est la seule audace artistique, et même politique, du film). Le parallèle fait entre les ficelles financières et le proxénétisme au sein de la vie étudiante, censé être au cœur du scénario, ne couvre au final que trois lignes de dialogues. Le reste du récit n’a pour seuls arguments que les bluettes entre les deux couples qui cherchent à se former. Dans le trio d’acteurs, seul Jean-Baptiste Lafarge, et son sourire carnacier, semble à sa place, car Alice Isaaz et Thomas Blumenthal ne sont pas convaincants et n’aident pas à nous rappeler que le film ne fait rien d’autre que de brasser de l’air.
Ce film ne sera pas la crème de la crème. Le scénario n'est pas captivant, il est peu intéressant, et dénué de sens et de cohérence, et à part deux ou trois moments sympa, on s'ennuie ! On a spoiler: une histoire d'amour suggérée mais pas vraiment exploitée sauf à la toute fin du film, et pourquoi finir ainsi ?!
embalé par la crtique des médias et le sujet du film, j'ai été ensuite trés déçu de la forme qu'à employé le réalisateur : pas de cohérence, des dialogues inconsistants, des acteurs sans charisme ou qui se la pétent (sauf l'actrice principale) et une fin en soupe de langue un peu ridicule. Et je ne parle pas de la chanson de Carla Bruni, ni de la pub pour Lacoste, Dior, ...Bref, désolé, mais pour moi, c'est raté...
Mal écrit d'abord, on ne comprend pas vraiment comment ça fonctionne le réseau et surtout on ne comprend pas les motivations des personnages. Le personnage interprété par Thomas Blumenthal n'est pas bien écrit: il a l'air d'un benêt et l'interprétation premier degré par l'acteur le rend ridicule. Dans ce film sans scénario, sans véritable talent (vous imaginez la comparaison avec The Social Network ?!!!), seule surnage la splendide Alice Isaaz. Le réalisateur la sert bien. Sinon quelle barbe ce film, avec sa prétention d'être un film de jeune ! Quel producteur a pu accepter ce scénario et une telle absence de mise en scène ? Elalouf a confondu un étron avec de l'or.