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    La Crème de la Crème
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    3,0
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    Avis 2 GL
    Avis 2 GL

    22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2014
    Pour le coup.. jolie surprise. On parle beaucoup de Babysitting (c'est pas le même registre ok).. mais la Crème de la Crème est à découvrir, vraiment.. rien que déjà pour ces jeunes acteurs.. à un futur prometteur sans doute..
    nathaliewell
    nathaliewell

    21 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2014
    On pourrait penser que ce film n’a pas de morale, qu’il préconise la prostitution ou qu’il la banalise, mais tout le talent du réalisateur, qui est aussi co- scénariste, est de faire d’un film a priori amoral un film d’une éthique plus qu’intéressante et cela en utilisant l’humour. Je trouve très talentueux d’avoir pu pointer du doigt une jeunesse dans le monde des « grandes écoles » qui peut se croire au dessus de tout, sans limites, capable du pire en se pensant être les meilleurs. Chapiron a réussi au travers d’excellentes métaphores de théories économiques et sociétales à en faire un film vraiment intéressant. Film qui au final nous confirme que ce qui fait tourner le monde sont bien ces trois principales choses : L’argent, le sexe et l’amour. Un film subversif où l’on ri souvent car c’est vraiment drôle. Une bande originale qui ajoute à cette bonne humeur que l’on ressent. Les acteurs, pour la plus part « inconnus » du grand public livrent là une belle performance avec une notion spéciale à Karim Ait M’Hand qui joue le rôle de Jaffar.
    MadAngelus
    MadAngelus

    51 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2014
    La Crème de la Crème décrit avec intelligence un milieu méconnu, il parvient à développer simultanément une critique des dérives du système et une histoire d'amour réaliste et belle avec la jeune mais excellente actrice Alice Isaaz. Vraiment une très bonne surprise.
    Laurent C.
    Laurent C.

    257 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Voilà un film aussi vain qu'inutile. Si quelques scènes de Grace ponctuent le film, il s'étire en longueur pour ne rien dire d'autre que fatuité et orgueil.
    BeatJunky
    BeatJunky

    151 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2014
    Un peu déçu, je m'attendais à une critique du système de grandes écoles plus directe et plus corrosive.... Mise à part l'interprétation assez brillante de la nouvelle génération des acteurs français, c'est un peu brouillon et ne frappe pas assez fort. Le scénario ne m'a pas emballé comme la plupart des spectateurs de la salle qui baillait! Je m'attendais à un film choc de la part de Chapiron....
    Dommage pour moi!
    Yves G.
    Yves G.

    1 465 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 avril 2014
    Je suis allé voir "La crème de la crème" pousser par la nostalgie.
    Nostalgie de l'époque - fort lointaine - de mes années d'étudiant en école de commerce.
    Car - le croirais-tu ami lecteur - j'ai moi aussi été jeune ! Je me suis moi aussi déhanché sous les sunlights le mercredi soir à l'ESSEC au son de "Enola Gay" et "Pourvu qu'elle soit douce" ....
    Les choses semblent avoir bien changé sur les campus puisque, à en croire Kim Chapiron, les étudiants aujourd'hui mettent en pratique les théories néolibérales du marché et organisent à Jouy (la bien nommée) ou à Cergy des réseaux de prostitution. Tout le monde y trouve son compte : les caissières d'Auchan qui arrondissent leurs fins de mois et les puceaux de Louis-le-Grand qui font ainsi monter leur côte auprès de leurs camarades de promo.

    Dénonciation anti-capitaliste du dévoiement de nos élites ? "Avant-propos acnéique du Loup de Wall street" comme l'écrit audacieusement la critique de Paris-Match ? Version trash des campus movie américains trop romantiques ? Peut-être. Mais surtout énorme ratage où rien n'est crédible depuis les dialogues copiés-collés des pires séries télé, les personnages censés incarner une différence de classes dont nous nous contre-fichions, jusqu'à un épilogue ridicule qui transforme ce qui ambitionnait d'être une fable cynique en bluette inepte.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 avril 2014
    Il y a dans La Crème de la crème deux scènes de fête assez réussies : dans la première, on aperçoit Xavier de Rosnay et Gaspard Augé de Justice, dieux impassibles posant au milieu des élites. Il suffit d'un signe de main de l'un d'eux pour faire se lever la crème de la crème : cette scène semble dire que ce n'est pas la musique de Justice qui fait remuer les étudiants, mais simplement ce qu'ils représentent : un groupe arriviste qui gère parfaitement son business. Bien vu. Dans l'autre scène de fête, les personnages ont des déguisements qui évoquent des stations du métro parisien : Louis, le Jesse Eisenberg du film (Jean-Baptiste Lafarge) apparaît tout en blanc (Louis Leblanc!), le visage maquillé, il ressemble à un vampire d'école de commerce. Trop courte, cette scène indique une direction qu'aurait pu prendre le film s'il avait osé, plus nettement, transformer le discours libéral de ses personnages en vision de carnaval: il ne suffit pas de citer Le Jardin des délices de Jérome Bosch pour ressembler au Loup de Wall Street, c'était le rythme de la mise en scène qui devait indiquer le mouvement carnavalesque du film, mais son mouvement tend plutôt vers l'essouflement, il est à l'image de l'économie du réseau de prostitution créé par les trois personnages principaux : d'abord florissant, le marché sature assez vite et le film s'en désintéresse pour sonder les émois de Louis et Kelly (Alice Isaaz) et tendre vers un happy end. Pour avoir joué avec le feu, Louis et Kelly doivent donc passer en conseil de discipline : peu soucieux de la sanction, Louis embrasse Kelly devant la direction de l'école. Ce baiser est comme un doigt d'honneur fait à la business-school, il ramène le film dans le droit chemin, celui d'une morale du sentiment qui discrédite le discours libéral des personnages et la thèse houellebecquienne qui sert de fondement au club qu'ils ont fondé pour faire le bonheur des étudiants exclus du marché sexuel. Dans Extension du domaine de la lutte, Houellebecq expliquait que le libéralisme, appliqué à la vie sexuelle, provoquait des « phénomènes de paupérisation absolue. Certains font l'amour tous les jours ; d'autres cinq ou six fois dans leur vie, ou jamais. Certains font l'amour avec des dizaines de femmes ; d'autres avec aucune […]. En système sexuel parfaitement libéral, certains ont une vie érotique variée et excitante ; d'autres sont réduits à la masturbation et la solitude ». Il est regrettable que le film n'ait pas osé aller au bout de cette logique, qu'après avoir vendu aux autres une vie de couple sinistre (avec mariage, divorce et « prestations compensatoires »), Louis et Kelly finissent par s'écoeurer de leur discourset qu'ils croient que leur baiser sonne comme une claque au visage de la direction de leur école. Comme si l'amour pouvait endiguer le libéralisme... Il faut être bien naïf pour conclure le film sur une scène aussi sage : croyant se dresser contre un système, Louis et Kelly en sont en fait les produits les plus aboutis. Car il y avait deux garçons au conseil de discipline : Louis, le winner, et Dan (Thomas Blumenthal) dont la vie sexuelle est plus compliquée. Entre les deux le cœur de Kelly n'a jamais balancé et il n'est pas sûr que Kim Chapiron et Noé Debré aient bien conscience du profond conformisme du choix de leur personnage. Figer le baiser final sur L'Amour et la violence de Sébastien Tellier ne fait pas entrer le moindre lyrisme dans le film. Le choix de Kelly est, au fond, un choix de bonne élève. Espérons que la direction la gardera parmi ses recrues. Dans le langage de la business school, le choix de Kelly a une traduction : cela s'appelle « sécuriser son investissement ».
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 avril 2014
    Une brève ouverture sur les écoles de commerce et la jeunesse aisée qui m'était peu connu.
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    49 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2014
    Bien qu'un peu trop caricatural, ce film donne un bon aperçu des "dérives" ( primauté du réseau, alcool à foison, logiques du chacun pour soi ) que l'on peut trouver dans les grandes écoles et notamment les écoles de commerce . Cependant, leur idée d'appliquer les lois libérales sur le marché du sexe de leur école, bien qu'originale, reste un peu floue et peu réaliste ( logiquement, si tous les garçons ont recours à leur club et que leur club est connu, cela ne fonctionne plus rapidement non ? ) . Par ailleurs, il aurait été judicieux de davantage décrire les autres aspects d'une école de commerce et de varier un peu les personnages même si le trio au centre du film est intéressant à suivre. Quant à la fin, elle est décevante et laisse un gout d'inachevé, un peu à l'image du film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 avril 2014
    Kim Chapiron s’aventure toujours sur des terrains accidentés. Pas consensuel pour deux sous, c’est la vie estudiantine qui constitue le décor de son long-métrage. Une joyeuse petite bande, membre d’une grande école de commerce aux accents élitistes, s’épanouit le plus régulièrement possible en organisant de bruyantes soirées, arrosées de cocktails en tous genres, où des étudiants suintants tentent de créer des liens en entonnant, entre autres les ritournelles de Michel Sardou ou de Michel Fugain.
    Le casting, volontairement varié, fait la lumière sur cette jeunesse pressée de vivre, en montrant avec détails et tendresse les différences entre les trois principaux personnages masculins.
    Le beau gosse, Louis, fils de jeunesse dorée, pleinement conscient que les filles faisant partie de son aréopage murmurent entre elles d’inavouables souhaits le concernant. Ses deux complices, Dan, d’abord, post-ado au grand coeur que les filles effraient et qui commet, comme un réflexe compulsif, toujours la même erreur, celle d’être trop gentil; puis Jaffar, chaleureux, cinquante idées à la minute, sa libido sans cesse dans la zone rouge, fasciné par la gente féminine et tellement pressant qu’il flingue systématiquement toute illusion de romantisme, notion tellement rassurante pour ces demoiselles pourtant assez délurées. C’est d’ailleurs troublant de voir à quel point les personnages féminins du film ont déjà des allures de femmes fatales, maîtrisant leur pouvoir de séduction sur leurs comparses jouant les caïds mais ressemblant à des mômes.
    Ce petit groupe, formé à des méthodes de ventes ambitieuses et forcé de réussir dans la vie, se met en tête de monter un business autour d’une certaine misère affective dont ils ont bien conscience. L’une de leur copine, sexy et dégourdie, propose à de jeunes étudiantes, qu’on pourrait décrire de la même manière, de se joindre à leur entreprise ludique et générant un argent de poche qui m’aurait permis à âge égal de posséder un scooter SC50 de chaque couleur de la gamme.
    Kim Chapiron s’attaque frontalement à un sujet que la vie moderne laisse moins de côté que par le passé et vaporise de temps à autres son scénario de petites touches romanesques inattendues qui contribuent à alléger cette atmosphère tendue par l’ambition de cette jeunesse fougueuse et créative. Un très bon point pour les jeux d’acteurs des uns et des autres que l’on reverra sans doute dans d’autres registres plus polissés.
    LeFilCine
    LeFilCine

    178 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2014
    Enfin un film français original cette année. Kim Chapiron ose tenter des choses, ce que peu de réalisateurs français osent faire ces derniers temps. Alors bien sûr ce n'est pas toujours réussi, mais c'est enthousiasmant. Son scénario, loin des codes, peut perturber et dérouter, mais il est truffé de bonnes surprises. Déjà, le trio de jeunes acteurs est très à l'aise et plein de talents. De plus, un second rôle, utilisé avec parcimonie, crève l'écran. Il s'agit de Karim Aït M'Hand qui interprète le très sympathique et décalé personnage de Jaffar. Le scénario est assez peu crédible (transformer n'importe quelle inconnue rencontrer dans la rue, et la transformer en prostituée de luxe pour étudiants de grandes écoles !), mais n'est pas en réalité le vrai fil conducteur du film. C'est plutôt la relation ambiguë entre deux des principaux acteurs (Alice Isaaz et Jean-Baptiste Lafarge) qui retient l'intérêt du réalisateur, et qui nous offre donc un final surprenant et réussi. A noter une BO de très bonne facture, avec un mélange des genres assez détonnant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2014
    Kim Shapiron semble aimer changer de registre et il le fait avec plus ou moins de panache. Son premier long le film d’horreur « Sheitan » était horrifiant à bien des égards mais pas ceux qu’il aurait voulu. Une horrible purge de lycéen nourri aux références qui finissait par être indigeste. D’où notre surprise avec son implacable film de prison « Dog Pound », choc autant visuel que psychologique. Il nous revient avec ce campus-movie français à thèse au sujet intriguant mais au traitement décevant. Le film manque clairement d’ambition et s’il se révèle relativement intéressant sur les versants sociologique et psychologique, il se vautre sur le reste. En effet, le regard porté sur les grandes écoles et leur fonctionnement est inédit hormis le très peu connu et diffusé « Grande école » et s’avère donc relativement novateur. Quant aux rapports entretenus entre les principaux protagonistes, ils évoquent quelques vérités bien senties. En revanche, niveau campus-movie le film est à la traine comparé à ses antécédents américains comme l’inégalable « Les Lois de l’attraction » ou le dingo « Kaboom ». Pas trash pour un sou - même si ce n’est pas le sujet - mais encore moins provocateur contrairement à ce qui était annoncé, tout cela reste bien sage ; même les histoires sentimentales sont triviales et sans intérêt. Quant à la fin, elle est tarte et ratée à souhait. On ne peut cacher notre déception devant un tel sujet. Pas désagréable mais totalement inabouti.
    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Alice isaaz excellente étoile montante jeune et jolie excellente actrice se perd dans un film nul, lent à la fin comique meme les jeunes dans la salle ont trouvé cela débile .
    antony Z.
    antony Z.

    71 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Au delà du divertissement, de la qualité du scénario et de sa réalisation, c'est dégradant pour l'image d'HEC Paris et pour la Femme!! Donc dégradant pour la France !! HEC est l'école (supposé) de l'élite. C'est là où sont formés les futurs dirigeant des entreprises du CAC 40 et on nous livre un portrait tel que celui-ci??! c'est même insultant tellement l'image est réductrice! Sans rentrer dans la considération objective de l’intégration de cette école, il n'en reste pas moins que ce sont des faits, c'est le vivier des plus grandes entreprises. Il aurait été préférable de ne pas citer d'école et simplement parler de Sup de Co. Toutefois, il est vrai que malgré son côté ultra caricaturale des "BDE" et des divers profils étudiant, c'est assez représentatif des écoles de Commerce. Des étudiants pour beaucoup issus de milieux sociaux aisés qui entrent en école avant tout pour tisser leur réseau que pour se former et qui bien sur se livrent à des "orgies" quotidiennes comme chez toutes les populations estudiantines ou presque. C'est pourquoi l'idée de départ était bonne mais a mal été exploitée en n'explorant pas assez la psychologie de ses personnages et en manquant d'éléments scénaristiques. Il est choquant de voir comment l'image de la femme est dépeinte!! C'est navrant! On l'instrumentalise vulgairement!! Mais malgré ces états de fait et que le film soit assez mauvais pour moi, force est de constater qu'il véhicule un message fort. Il dépeint la génération dite "Y" de manière assez violente et très caricaturale en dénonçant aussi cette société consumériste avide de vanité et de cupidité. Il présente à l'extrême cette génération qui est prête à tout pour quelques billets et qui ne respecte rien ni personne à commencer par eux mêmes. Une génération qui évolue dans la déchéance, qui se drogue sans scrupule et qui se moque de tout.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 avril 2014
    UNE PETITE MERVEILLE!
    Je suis allée voir ce film deux fois histoire d'être sur de n'avoir loupé aucune subtilité. Il faut bien l'avouer ce film de manière tout a fait innocente pousse les limites de la morales mais aussi nous pousse réfléchir sur les limites de ce que l'on peut ou ne peut pas faire dans une société. Il nous fait rentrer dans un univers ou les gens ont tendance à se croire au-dessus des lois et ou la lois du plus fort est le maître mot.
    Ce film pose les questions crucial de peut on tout acheter? Et de la place de la prostitution dans notre pays. Mine de rien aucune des filles n'est soumise et obliger de travailler. Elle le choisissent et même en redemande spoiler: comme on le voit avec le personnage d'Eulalie que refuse que Dan l'empêche de participer à une soirée
    . Elles sont libres et eux ne font que de profiter d'un marché qui existe déjà même si cela est contraire à la loi.... Au final chaque camps y trouve son compte et personne n'est léser. Donc est ce vraiment mal..????
    La force de film repose aussi et avant tout sur le trio Alice Isaaz, Jean-Baptiste Lafarge et Thomas Blumenthal. Il fonctionne a merveille et on ressent parfaitement la complicité et le pacte qui lie les personnages. Par bribes de leur vie on les voit évoluer et on comprend tour à tour le point de vu de chacun d'entre eux. On voit leur force leur faiblesse; et, pour ma part, on aurait envie de les défendre; de se faire l'avocat du diable. Nous avons face nous trois gosse à qui on aurait donner une boite d'allumette sans leur en montrer les dangers.
    Leur jeu d'acteur est renforcé par une excellente mise en scène. Et les musiques kitsch s’enchaînent pour donner un ton décalé et enfantin.
    Mon seul bémol sera la fin. Je pense que celle ci aurait pu être encore bien plus cynique. Sinon, ce film fera parti de ma collection de dvd à voir à à revoir sans modération.
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