Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il y a des films qui ouvrent, sur la forme comme sur le fond, des ères nouvelles. Leurs scénarios racontent notre monde sans hypocrisie. "La Vie d'Adèle", d'Abdellatif Kechiche, en est un exemple. On peut désormais lui adjoindre "La Crème de la crème".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Karelle Fitoussi
(...) "La Crème de la crème" pourrait être l'avant-propos acnéique du "Loup de Wall Street" de Martin Scorsese. C'est surtout la première comédiie générationnelle française drôle mais intelligente, et qui utilise les groupes Justice ou Kavinsky dans leurs propres rôles pour mieux raconter l'époque.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un campus movie made in France absolument brillant.
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Elle
par Emilie Rivenq
"La Crème de la crème" est un conte générationnel d’une justesse décapante qui tend un miroir cynique, plein d’humour et de vérité, à cette jeunesse heureuse et désenchantée.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Instructif sur un milieu fermé et très distrayant par maints aspects, "La Crème de la crème" est comme une cerise sur le gâteau des sorties de la semaine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
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Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Malgré une fin et une morale convenues, le scénario tient la distance, les dialogues font mouche et les acteurs principaux sont parfaits. On achète.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L'approche documentaire de Kim Chapiron donne à cette comédie dramatique une crédibilité et une justesse au niveau des situations, des dialogues et de l'interprétation. Son regard, féroce, est cependant d'empathie pour ses héros, avides de transgressions et d'excès (...) qui testent leurs limites.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Avec une tendresse inattendue et une grande maturité, Kim Chapiron dépeint une jeunesse sordide et fragile.
Paris Match
par Yannick Vely
On aurait adoré hurler avec les loups, détester ce film qui se veut branché, avec sa bande-son qui tue (Justice versus Michel Sardou) et son absence de jugement de valeur sur cette génération Y qui confond sexe et sentiments, œuvres d’art et excréments. Mais le charme opère et le film reste en tête, comme les souvenirs d’une soirée trop arrosée que l’on aimerait oublier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
A défaut de nous faire découvrir les coulisses de la formation des «élites», à l'exception du folklore trash des soirées, Kim Chapiron nous offre un tiercé gagnant de jeunes comédiens dont on reparlera (...).
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Kim Chapiron ("Sheitan") élabore un teen-movie revu et corrigé par l'évangile libéral, belle idée portée par l'énergie d'une mise en scène offensive - beuveries estudiantines assez dantesque sur fond de "Lacs du Connemara" et un dialogue qui refuse de se cantonner à la culture de la vanne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par François Leduc
POUR : Sans jamais délaisser cette idée principale de capter un milieu et une génération, le cinéaste fait ainsi peu à peu glisser son film du côté du cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais l’approche française n’est ni aussi scabreuse (« trash ») ni aussi hilarante qu’elle le prétend. Ce qui avait commencé comme une farce cynique tourne in fine à la bluette.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
"La Crème de la crème" est de ces films qui montrent beaucoup plus que ce qu'ils ne disent, suivant une piste après l'autre sur quelques longueurs seulement, multipliant les codes de lecture, les enjeux, les quêtes, sans en mener une seule à son terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Mehdi Omaïs
Malgré une mise en scène efficace et un travail esthétique louable, le spectateur lambda se sentira un peu exclu de ce portrait dans lequel il ne pourra pas vraiment trouver sa place. Les trois héros, qui passent leur temps à s'exprimer en métaphores économico-sexuelles, sont d'ailleurs beaucoup trop archétypaux et monolithiques pour être touchants.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
Une idée pleine de provoc au départ, mais elle perd peu à peu de sa virulence et de son rythme en schématisant son propos dans quelques clichés.
Positif
par Adrien Gombeaud
Drôle, vraiment méchant (...) "La Crème de la Crème" est le portrait de nos années Zahia, de ces temps étranges où il n'y a plus de différence entre réussir sa vie et réussir son CV. Chapiron n'a que 34 ans, mais on sent qu'il n'appartient plus tout à fait à la génération qu'il filme.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jérémie Couston
Sujet potentiellement racoleur, effets gratuits, clins d'oeil pour happy few (...) : les détracteurs du cinéaste continueront à lui reprocher la vacuité publicitaire de son style. Mais Kim Chapiron évite de regarder de haut son trio de proxénètes en herbe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Ferhat Abbas
(...) le long-métrage de Kim Chapiron n’en demeure pas moins un film extrêmement lisse, comme sclérosé par la lourdeur de ses ficelles narratives, qui laissent peu de place à l’expression d’un discours réellement pertinent sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Les dialogues sonnent comme une sitcom AB Productions remis au goût du jour (on parle Twitter, Facebook, on se branle sur Chatroulette) et nappé de blabla commercial.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Jamais son sujet, qui s’estime ultra-contemporain, ne dépassera la ringardise d’une enquête de M6 sur les dessous des formations d’élite.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
À la remorque de son scénario, Chapiron se contente donc de saupoudrer d’épate des saynètes autonomes, invite ses copains de la french touch, met des pièces dans le juke box, compulse le glossaire de la génération Y, mais bande mou du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
CONTRE : Bref, dans une société où la mixité fait défaut au ciment social, la crème battue par Kim Chapiron, qui, jusqu’ici, avait toujours été pertinent ne prend pas, pis, elle gonfle. Elle est à raser.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
Il y a des films qui ouvrent, sur la forme comme sur le fond, des ères nouvelles. Leurs scénarios racontent notre monde sans hypocrisie. "La Vie d'Adèle", d'Abdellatif Kechiche, en est un exemple. On peut désormais lui adjoindre "La Crème de la crème".
Paris Match
(...) "La Crème de la crème" pourrait être l'avant-propos acnéique du "Loup de Wall Street" de Martin Scorsese. C'est surtout la première comédiie générationnelle française drôle mais intelligente, et qui utilise les groupes Justice ou Kavinsky dans leurs propres rôles pour mieux raconter l'époque.
CinemaTeaser
Un campus movie made in France absolument brillant.
Elle
"La Crème de la crème" est un conte générationnel d’une justesse décapante qui tend un miroir cynique, plein d’humour et de vérité, à cette jeunesse heureuse et désenchantée.
Franceinfo Culture
Instructif sur un milieu fermé et très distrayant par maints aspects, "La Crème de la crème" est comme une cerise sur le gâteau des sorties de la semaine.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Figaroscope
Malgré une fin et une morale convenues, le scénario tient la distance, les dialogues font mouche et les acteurs principaux sont parfaits. On achète.
Le Journal du Dimanche
L'approche documentaire de Kim Chapiron donne à cette comédie dramatique une crédibilité et une justesse au niveau des situations, des dialogues et de l'interprétation. Son regard, féroce, est cependant d'empathie pour ses héros, avides de transgressions et d'excès (...) qui testent leurs limites.
Les Fiches du Cinéma
Avec une tendresse inattendue et une grande maturité, Kim Chapiron dépeint une jeunesse sordide et fragile.
Paris Match
On aurait adoré hurler avec les loups, détester ce film qui se veut branché, avec sa bande-son qui tue (Justice versus Michel Sardou) et son absence de jugement de valeur sur cette génération Y qui confond sexe et sentiments, œuvres d’art et excréments. Mais le charme opère et le film reste en tête, comme les souvenirs d’une soirée trop arrosée que l’on aimerait oublier.
Télé 7 Jours
A défaut de nous faire découvrir les coulisses de la formation des «élites», à l'exception du folklore trash des soirées, Kim Chapiron nous offre un tiercé gagnant de jeunes comédiens dont on reparlera (...).
TéléCinéObs
Kim Chapiron ("Sheitan") élabore un teen-movie revu et corrigé par l'évangile libéral, belle idée portée par l'énergie d'une mise en scène offensive - beuveries estudiantines assez dantesque sur fond de "Lacs du Connemara" et un dialogue qui refuse de se cantonner à la culture de la vanne.
aVoir-aLire.com
POUR : Sans jamais délaisser cette idée principale de capter un milieu et une génération, le cinéaste fait ainsi peu à peu glisser son film du côté du cinéma de genre.
L'Humanité
Mais l’approche française n’est ni aussi scabreuse (« trash ») ni aussi hilarante qu’elle le prétend. Ce qui avait commencé comme une farce cynique tourne in fine à la bluette.
Le Monde
"La Crème de la crème" est de ces films qui montrent beaucoup plus que ce qu'ils ne disent, suivant une piste après l'autre sur quelques longueurs seulement, multipliant les codes de lecture, les enjeux, les quêtes, sans en mener une seule à son terme.
Metro
Malgré une mise en scène efficace et un travail esthétique louable, le spectateur lambda se sentira un peu exclu de ce portrait dans lequel il ne pourra pas vraiment trouver sa place. Les trois héros, qui passent leur temps à s'exprimer en métaphores économico-sexuelles, sont d'ailleurs beaucoup trop archétypaux et monolithiques pour être touchants.
Ouest France
Une idée pleine de provoc au départ, mais elle perd peu à peu de sa virulence et de son rythme en schématisant son propos dans quelques clichés.
Positif
Drôle, vraiment méchant (...) "La Crème de la Crème" est le portrait de nos années Zahia, de ces temps étranges où il n'y a plus de différence entre réussir sa vie et réussir son CV. Chapiron n'a que 34 ans, mais on sent qu'il n'appartient plus tout à fait à la génération qu'il filme.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Sujet potentiellement racoleur, effets gratuits, clins d'oeil pour happy few (...) : les détracteurs du cinéaste continueront à lui reprocher la vacuité publicitaire de son style. Mais Kim Chapiron évite de regarder de haut son trio de proxénètes en herbe.
Critikat.com
(...) le long-métrage de Kim Chapiron n’en demeure pas moins un film extrêmement lisse, comme sclérosé par la lourdeur de ses ficelles narratives, qui laissent peu de place à l’expression d’un discours réellement pertinent sur le sujet.
Libération
Les dialogues sonnent comme une sitcom AB Productions remis au goût du jour (on parle Twitter, Facebook, on se branle sur Chatroulette) et nappé de blabla commercial.
Cahiers du Cinéma
Jamais son sujet, qui s’estime ultra-contemporain, ne dépassera la ringardise d’une enquête de M6 sur les dessous des formations d’élite.
Chronic'art.com
À la remorque de son scénario, Chapiron se contente donc de saupoudrer d’épate des saynètes autonomes, invite ses copains de la french touch, met des pièces dans le juke box, compulse le glossaire de la génération Y, mais bande mou du début à la fin.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Bref, dans une société où la mixité fait défaut au ciment social, la crème battue par Kim Chapiron, qui, jusqu’ici, avait toujours été pertinent ne prend pas, pis, elle gonfle. Elle est à raser.