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Raoul André met en scène une variation sur l'histoire du Chaperon rouge écrite et dialoguée, chansons comprises, par le tout jeune Francis Blanche.
Mademoiselle Rose Chaperon (Louise Carlotti, épouse du cinéaste) transporte pour sa grand-mère des bijoux qu'elle a bien (mal) cachés dans une galette et qu'un vieil oncle veut subtiliser grâce aux soins de Serge Reggiani (Jean-Loup...) et de son complice Francis Blanche, gentillement incompétents.
La comédie est pleine de références au conte de Perrault mais la parodie est d'un humour très faible. Le scénario s'enfonce très vite dans la puérilité et l'écriture de Francis Blanche n'est pas subtile, qu'on peut résumer à à l'obstination des voleurs à ne pas vérifier ce que contient la galette...L'intrigue n'a strictement aucun intérêt et les seconds rôles sont transparents, sans la moindre causticité à l'instar des dialogues spoiler: (Pierre Dac fait un gendarme sans relief).
On est un peu gêné et surpris que Serge Reggiani se prête à une farce désuète dont on voit bien qu'elle ne l'a pas inspiré.
Mademoiselle Rose Chaperon (Louise Carlotti, épouse du cinéaste) transporte pour sa grand-mère des bijoux qu'elle a bien (mal) cachés dans une galette et qu'un vieil oncle veut subtiliser grâce aux soins de Serge Reggiani (Jean-Loup...) et de son complice Francis Blanche, gentillement incompétents.
La comédie est pleine de références au conte de Perrault mais la parodie est d'un humour très faible. Le scénario s'enfonce très vite dans la puérilité et l'écriture de Francis Blanche n'est pas subtile, qu'on peut résumer à à l'obstination des voleurs à ne pas vérifier ce que contient la galette...L'intrigue n'a strictement aucun intérêt et les seconds rôles sont transparents, sans la moindre causticité à l'instar des dialogues spoiler: (Pierre Dac fait un gendarme sans relief).
On est un peu gêné et surpris que Serge Reggiani se prête à une farce désuète dont on voit bien qu'elle ne l'a pas inspiré.
Un scénario simple et une histoire simple, innocente, pertinente, légère et divertissante pour les âmes rassurées. Des acteurs respectables, ordinaires, simples. Des apparitions qui apportent calme et réconfort. Du plaisir et de la douceur à suivre. 1h30 la durée du film, On ne sent pas le temps qui passe, et nous vivons aujourd'hui à une époque de vitesse excessive et d'imprudence brutale.
Une adaptation farfelue du Petit Chaperon rouge, un scénario de Francis Blanche, Reggiani, Morlay… voilà qui était prometteur. Or ça ne va pas du tout, c'est poussif, lourd, l'humour tombe à l'eau, et ça s'encombre de séquences chantés assez pénible (les Quatre Barbus…) Reggiani et Morlay sont à la peine, Francis Blanche et Pierre Dac déçoivent. Alors reste le sourire et l'abattage de Louise Carletti, et le déguisement, hélas sous-exploité de
spoiler:
Reggiani en Mère-Grand
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