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    Paradise Lost
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    steely_dan_76
    steely_dan_76

    15 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2017
    On ne s'ennuie pas une minute pendant ce film bien ficelé. La tension monte crescendo et les acteurs principaux sont excellents. Du bon cinéma.
    Jérémy J.
    Jérémy J.

    14 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2020
    Je trouve super intéressant de découvrir la vie de pablo escobar mais au travers d'un autre personnage que le plus intéressant. Je trouve malin d'avoir fait en sorte que le protagoniste de l'histoire découvre pablo escobar en même temps que le spectateur. Les mêmes "surprises", les mêmes trahisons etc... Sont découvertes et par nous et par le personnage que l'on suit. L'histoire n'est pas trop passée par la machine hollywood ce qui est agréable aussi. On met un peu de rythme sans pour autant tout exploser tout le long sans raison et sans forcément finir d'une manière joyeuse. Bien sûr on sent que cela est écrit pour les Etats unis car la nuance envers le méchant n'est pas au rendez-vous. Le but reste tout de même de déshumanisé Pablo escobar au maximum. Il n'empêche que c'est bien amené, et parfois cela fait froid dans le dos. Bref, un film qui divertis et qui en même temps nous fait découvrir Escobar et ses moments peu glorieux.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Une carte postale légèrement écornée

    La petite histoire, au sein de la grande histoire. C’est ainsi que se définit cette tragédie, un mélange de réalité et de fiction. Pour sa première réalisation et scénario, Andrea Di Stefano s’attaque au personnage de Pablo Escobar. Un énorme challenge, sur lequel Oliver Stone et Joe Carnahan entre autres, se sont cassés les dents.

    Mais au lieu de faire un biopic sur le tristement célèbre parrain de la drogue, il utilise des faits réels sur ce dernier, en y insérant une histoire d’amour, entre sa nièce et un canadien, venu rejoindre son frère en Colombie. Un choix discutable, tant la présence de Pablo Escobar, qui plus est, incarné par Benicio Del Toro, focalise l’attention et donne envie de le voir plus souvent, d’en savoir plus sur lui et donc de se retrouver devant un biopic, et non une romance tragique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2014
    Réalisant son premier film, qu’il scénarise également, l’acteur italien Andrea Di Stefano utilise une histoire d’amour comme filtre pour expliquer la violence des cartels et de l’État colombien. Porté par le jeune Josh Hutcherson (que l’on a vu dans Hunger Games 2 : L’embrasement), Benicio del Toro qui incarne le tristement célèbre Pablo Escobar et Claudia Traisac (bluffante, venue de la télé espagnole), Paradise Lost touche au cœur du drame colombien. Qui d’autre qu’un réalisateur italien était plus à même de parler de la violation de l’intimité par les systèmes mafieux?

    Nous sommes au début des années 90. Nick (Josh Hutcherson) est un jeune canadien venu en Colombie avec son frère Dylan (Brady Corbet) et de belle-sœur, Anne (Ana Girardot) avec l’intention de créer une école de surf sur une plage abandonnée. Au village, il fait la rencontre de Maria (Claudia Traisac), c’est un coup de foudre. La jeune fille est la nièce du narcotrafiquant Pablo Escobar (Benicio del Toro). Nick va entrer dans la famille sans réellement en comprendre les risques.

    D’un classicisme bienvenu pour un tel sujet, la réalisation d’Andrea Di Stefano est sobre et frontale. Elle donne à la fois une insondable beauté à l’amour qui anime Maria et Nick tout en entretenant un malaise palpable. Di Stefano aurait pu épouser les vues de Pablo Escobar, le suivre, tenter de le comprendre, voir comme ça à souvent été le cas dans le cinéma, en faire une sorte de héros en négatif. Une scène où Pablo montre la voiture qui aurait était celle de Bonnie and Clyde à Nick semble un écho lointain de cette tendance, une sorte de rappel de Bonnie and Clyde d’Arthur Penn où les méchants sont icônisés et rendus sympathiques. Il n’est pas question de ça dans Paradise Lost. Il est vrai que le film s’ouvre sur la campagne politique de Pablo Escobar qui, un temps, reversa une part des monstrueux bénéfices de ses trafics à la population en construisant des dispensaires et des maisons neuves en lieu et place des bidonvilles existants. Mais jamais Di Stefano ne pose un regard complaisant hormis à travers le prisme déformée des yeux aimants de sa nièce.

    D’un côté, se déroule donc une histoire d’amour forte et idyllique. Baignant dans le bonheur et sans soucis matériels, Maria et Nick profite de l’argent de Pablo que Maria idéalise comme un mécène providentiel pour le peuple comme pour son couple. Les deux jeunes gens se fiancent. Comme dans la réalité, jamais nous ne verrons Escobar se salir les mains à l’écran. Une sorte d’accord tacite avec le gouvernement corrompu lui permet de se maintenir à la tête du Cartel de Medellín. Jusqu’au jour, où prenant trop d’importance et décidant de se mettre à la politique, il devient l’ennemi n°1 de ses amis d’hier. Une guerre sans merci est lancée contre le gouvernement. Malgré leur prétendu lutte pour combattre le crime, narco-trafiquants et capitalistes à la tête des états ont des intérêts communs que seul une lutte de pouvoir vient rompre parfois. Parce que ceux sont dans ces circuits que les armes circulent également et que l’on blanchit l’argent des paradis fiscaux. Les plans où il se comporte en bon père de famille, jouant dans la piscine, récitant de la poésie pour sa femme détonne avec les assassinats qu’il fait perpétrer. C’est ce froid traitement qui rend le cartel encore plus impitoyable à l’écran et son patron terriblement cynique. Les femmes et les enfants ne sont pas épargnés. La violence souvent hors plans est pourtant particulièrement éprouvante pour le spectateur. Justement parce que, choisissant de ne pas vraiment la montrer, Di Stefano la transporte dans un indicible ailleurs, lui donnant un caractère inéluctable qui la rend encore plus inique.

    On ressort bouleversé du cinéma, profondément touché par cette histoire d’amour tragique et impossible et choqué, même si on le savait déjà, par la collusion entre mafia et partis politiques. Paradise Lost est une fresque grandiose et pose la question, spécialement en Amérique latine, du bonheur individuel malmené par des intérêts financiers supposé supérieur par une élite méprisante et proche du gangstérisme. On donne au peuple des pains et du jeux, et comme partout, le grand banditisme est soutenu à la fois par les services secrets yankees, l’Église et certains gouvernement immoraux. Les pertes collatérales n’ont alors aucune valeurs lorsque tous ces voyous règlent leurs comptes. Et même les amoureux qui pourrait transcender ce cercle de violences ne sont pas épargnés.

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    benzinemag.net
    benzinemag.net

    29 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2014
    Le réalisateur Andrea Di Stefano a choisi de dresser le portrait de Pablo Escobar à travers l’histoire de ce jeune canadien embarqué bien malgré lui dans la folie meurtrière de ce célèbre baron de la drogue incarné de fort belle manière par un Benicio Del Toro tout en force tranquille grâce un charisme toujours aussi prégnant. Sans avoir besoin d’en faire des tonnes, avec juste sa présence, son physique imposant, l’acteur portoricain évoque de façon très convaincante ce parrain à la fois meurtrier, manipulateur paranoïaque mais perçu comme un grand bienfaiteur pour le peuple colombien. Face à ce monstre de mégalomanie, le jeune Mike incarne la révolte et une forme de résistance déterminée, notamment dans la seconde partie du film, qui peut se résumer à un duel à distance entre deux hommes qui se livrent une traque sans merci. Sans faire d’Escobar une caricature, le réalisateur italien signe là un film plaisant avec scénario plutôt dense et bien rythmé qui nous tiendra en haleine jusqu’à la fin.
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 novembre 2014
    (...) au lieu de faire un biopic sur le tristement célèbre parrain de la drogue, il (Andrea Di Stefano) utilise des faits réels sur ce dernier, en y insérant une histoire d'amour, entre sa nièce et un canadien, venu rejoindre son frère en Colombie. Un choix discutable, tant la présence de Pablo Escobar, qui plus est, incarné par Benicio Del Toro, focalise l'attention et donne envie de le voir plus souvent, d'en savoir plus sur lui et donc de se retrouver devant un biopic, et non une romance tragique (...) Andrea Di Stefano ne réussit pas sa première réalisation et sans la présence de Benicio Del Toro, elle serait passée inaperçue. C'est étonnant de la part d'un acteur devenu réalisateur, de ne pas développer davantage ses personnages. Il se contente de raconter son histoire, n'enthousiasmant ni par sa réalisation, ni par son scénario. Le sourire de Claudia Traisac ne suffit pas à maintenir l'attention durant près de deux heures (...)
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    35 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2014
    Un film très surprenant, vraiment. Je m'attendais à avoir une biographie, un documentaire sur la vie de Pablo Escobar, mais pas du tout, et c'est ce qui attire et surprend justement.
    L'histoire de ce film parle bien évidement de Pablo Escobar mais surtout d'un jeune homme, qui tombe amoureux de la nièce de Pablo et rencontre malheureusement le chemin de cet homme considéré comme "Dieu".
    D'une ça m'a permis de voir les deux facettes de ce monsieur qui est si gentillement présenté, je parle bien évidement de Pablo. Certes, il aide les pauvres en leur donnant de l'argent mais ce n'est juste pour avoir plus de personnes de son côté puisque c'est un dealer de cocaïne, et derrière cette facette du monsieur généreux, se cache un homme prétentieux qui se sert des gens, profite de sa vie avec sa famille et surtout cause beaucoup de dégâts, c'est-à-dire de mort. Jusque là je ne vous ai rien spoiler, puisque si vous vous êtes un peu renseigner sur cette homme, vous savez déjà çà.
    Venons maintenant à ce jeune homme charismatique joué par l'excellent Josh, Hutcherson, je ne dis pas qu'il meilleur que Benicio Del Toro, au contraire ils sont tous les deux mêmes au même niveau et juste excellent. Je trouve que Maria avait un rôle secondaire dans le film, le personnage joué par la charmante Claudia Traisac, une actrice que je ne connaissais pas mais qui ne se révèle pas extraordinaire, pas de quoi s'enflammer.
    Durant tout le film on est dans la peau de Nick, on vit ses émotions, on a peur avec lui, et on sourit avec lui. Deux thèmes opposés sont mis en avant dans ce film, l'amour et la mort.
    Selon moi, je divise ce film en deux parties, la première : la présentation de Pablo et la naissance de la relation entre Maria et Nick et la deuxième les mésaventures de Nick.
    La première partie était lente, manqué beaucoup d'enthousiaste, je ne voyait pas où l'intrigue voulait nous mener, je m'attendais à ce qu'on me montre les qualités de Pablo tout au long du film.
    Cependant, la deuxième partie est beaucoup plus dynamique, avec de l'action, du suspense, certes des armes mais aussi des frissons, on découvre la partie sombre de l'histoire et c'est justement essentiel pour qu'on puisse s'attacher au film et le regarder jusqu'au bout.
    Pour résumer, la deuxième partie est vraiment meilleure que la première et elle était indispensable dans le film.
    On regarde donc le film jusqu'au bout, avec un silence dans la salle de cinéma, et on passe un agréable moment à tel point qu'on a pas envie de sortir de la salle.
    Pour conclure, ne ratez pas ce film, il vous apprend des informations concernant l'homme considéré comme un héros en Colombie, aussi il vous narre une histoire très fluide qui passe très bien au travers de la gorge.
    Le dernier mot pour la fin, le slogan du film : " Personne n'échappe à Pablo Escobar".
    La morale du film: éviter de croiser le chemin d'hommes aussi puissants.
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    49 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2014
    Une façon partiale et partielle de raconter Escobar qui permet de cerner toute la psychologie du personnage, sa duplicité (criminel sans pitié vs philanthrope ami des pauvres), son aura et le phénomène social qu'il fut (beaucoup le vénéraient). Evidemment, l'aspect politique du personnage et les affaires dans lesquelles il étaient impliqués sont effleurés et on n'apprend pas grand chose sur l'évolution du criminel. D'ailleurs, en réalité ce n'est pas lui le personnage principale mais Nick, un mec ordinaire qui par un engrenage improbable se retrouve mêlé dans les affaires de l'un des pires criminels de l'histoire. Ce film est un condensé de plusieurs genres (action, amour, biopic, drame) et il est susceptible de plaire bien au delà de ceux intéressés par le personnage Escobar. Paradise Lost raconte en fait comment le "hasard de la vie" peut mener à des choses que l'on n'aurait jamais imaginer, à la fois dans le bon sens (trouver l'amour) ou le mauvais (être impliqué dans des réseaux criminels). Bref, même si certaines scènes sont assez dures, ce film pourra plaire à un large public. A voir donc!
    bruno E.
    bruno E.

    17 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2018
    comment un jeune homme par amour se retrouve piégé par le cartel colombien. dommage que le flash back du début soit mal utilisé, la première partie est vite prévisible. reste un bon suspens par la suite. manque un peu de profondeur pour vraiment impressionner le spectateur.
    romain G.
    romain G.

    13 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2015
    Très bonne surprise. Je m'attendais à un film du style biopic, mais pas du tout. L'idée d'entrer dans le monde d'un mafioso colombien par le biais d'un jeune surfeur amoureux est excellente. La descente aux enfers est flippante à souhait. Mais c'est aussi un film plus profond sur la psychologie et la violence abyssale des trafiquants de drogue en Colombie.
    antony Z.
    antony Z.

    71 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2014
    L'histoire est prenante même si plutôt qu'un biopic, il s'agit vraiment d'une fiction s'inspirant d'une figure criminelle telle que Pablo escobar aussi détesté qu'adulé encore aujourd'hui. Le film traduit bien la violence du milieu et il est porté par une interprétation impeccable de benicio del toro. Josh hudcherson est très convaincant également.
    Adri P
    Adri P

    12 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2015
    On n'est pas dans le biopic mais pas loin. Certaines parties sont tres bonnes, la chasse à l'homme finale s'éternise un peu trop par rapport aux pensees d'Escobar.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    184 abonnés 2 270 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2014
    Là où « Mickey les yeux bleus » (Mickey Blue Eyes, 1999) et « Premiers pas dans la mafia » (The Freshman, 1990) abordaient le sujet du jeune homme arrivant de manière fortuite dans l’entourage d’un authentique parrain sous l’angle de la comédie, « Paradise Lost » opte pour le réalisme très noir du thriller, mâtiné d’une petite romance. En effet, ce premier film multiculturel (film français d’un réalisateur italien – Andrea Di Stefano – tourné en langue anglaise avec des acteurs hispanophones) retranscrit bien le climat pesant qui régnait en Colombie à l’époque dans ce milieu du trafic de drogue. De plus, spoiler: même s’il y a encore – c’est la mode en ce moment – un flash-back (dans l’église) qui enlève une partie du suspense
    , la mise en scène est brillante avec une fin très belle, à la fois poétique et réaliste.
    L’acteur principal – Josh Hutcherson – est parfait dans le rôle d’un jeune surfeur amoureux et naïf. Dans « Interstellar », c’est la dimension « Amour » qui sauve le héros alors qu’ici elle cause sa perte ! Quelle idée de tomber amoureux de la nièce de Pablo Escobar ? Il n’y a aucune échappatoire et de nombreux moments de grande solitude à attendre d’un tel choix !
    Benicio Del Toro, lui, EST Pablo Escobar : il habite le personnage et terrifie à souhait le spectateur ! Par contre, un petit regret pour Claudia Traisac, parfaite, mais dont le personnage est sous-exploité par le scénario.
    Pour conclure, ce film a été pour moi une très bonne surprise.
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2017
    A travers une histoire fictive, on plonge dans l'univers de Pablo Escobar. L'angle de réalisation, avec Nick en personnage central qui entre par hasard dans la famille du célèbre narco colombien, permet de dire qu'il ne s'agit pas d'un biopic sur Escobar. Pourtant tout tourne autour de lui avec sa double facette: l'oncle attentionné, le Robin des Bois qui distribue son argent aux pauvres des environs et le chef du cartel de Medellin, violent et à la tête d'une organisation criminelle et meurtrière. Benicio del Toro EST Pablo Escobar (comme il fut le Che dans un autre film) mais Josh Hutcherson est également convaincant dans le rôle du canadien Nick tombé dans un nid de vipères et qui cherche à s'en sortir vivant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mai 2015
    Le film est pas mal du tout, le scénario est vraiment stressant angoissant et assez violent, mais bon on s'accroche vraiment, aussi aux personnages, surtout Benicio Del Toro qui est un excellent acteur, bref je recommande ce film !
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