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stramonium
5 abonnés
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5,0
Publiée le 7 novembre 2014
Excellent film! Acteurs jouant parfaitement leur rôle . Surtout benicio ... En route pour l'Oscar. Une descente aux enfers qui rappellent Breaking Bad.
Benicio Del Toro est terrifiant dans le rôle du narcotrafiquant et maboule tueur Pablo Escobar. le film est haletant et très efficace, je ne me suis pas ennuyé une seconde.
Super déçue ! Honnêtement quand on connais le personnage on se dit "mais c'est quoi ce film ?" en gros ce film parle à peine de Pablo Escobar c'est surtout la vie d'un jeune homme qui tombe amoureux de sa nièce et qui rencontre l'oncle Pablo. Ce film manque cruellement d'acteur principaux charismatique, je me suis ennuyé, c'est mou Bref à évité
C'était un dimanche, je voulais me changer les idées alors pourquoi pas un ciné ? Sauf que j'aurai mieux fait de rester chez moi et réviser après m'être ennuyé près de 2h devant ce film. Médiocre performance de Josh Hutcherson (on le préfère alors dans les films pour enfants/adolescents), scènes longues avec trop de blablabla. La seule scène positive spoiler: c'est lorsque toute la Colombie se retrouve contre lui, il y a un peu de suspens mais on est vite déçu par la fin pathétique du film (car oui j'ai ris). 8.20 euros passé dans le vent, sans compté mon menu pop-corn ... Pauvre porte-feuille.
Une fiction intelligente sur la façon de montrer Pablo Escobar, un film d'action efficace avec une belle tension, dommage seulement que la nièce Maria soit finalement si peu importante dans ce scénario alors qu'elle devrait être au centre du face à face Nick-Pablo. En tous cas un très bon film, rythmé et prenant.
Déjà interprète de Che Guevara dans le dyptique de Steven Soderbergh, Benicio Del Toro incarne un nouveau personnage historique mythique d’Amérique du Sud avec le rôle de Pablo Escobar. N’allez cependant pas croire que Paradise Lost est un biopic car il s’agit en réalité d’une fiction inspirée de ce que l’on sait du personnage au moment de son arrestation. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenu.
Nick et Dylan, deux frangins canadiens, débarquent en Colombie dans le but d’ouvrir un petit bar sur la plage et donner des cours de surf. Peu de temps après Nick fait la connaissance de Maria dont il tombe immédiatement amoureux. Seul hic, elle est la nièce de Pablo Escobar. Alors que la jeune femme ne voit en son oncle qu’une sorte de Robin Des Bois, Nick va très rapidement se rendre compte qu’Escobar n’est pas réellement un bienfaiteur innocent.
L’acteur italien Andrea Di Stefano passe pour la première fois à la réalisation avec Paradise Lost. Visiblement passionné par Pablo Escobar, il a passé trois ans à faire des recherches avant d’écrire son film. Pourtant au lieu d’oser s’attaquer à un véritable biopic sur lequel d’autres réalisateurs plus chevronnés comme Oliver Stone se sont cassé les dents, il a préféré joué la carte du thriller. C’est curieusement un "euro-pudding" Franco-hispano-belge qui lui a permis de réaliser sa vision.
Pas vraiment original, l’histoire de Paradise Lost n’est pas sans rappeler celle du Dernier Roi d'Ecosse ou du plus récent Players. Un type balancé dans un lieu paradisiaque qui va regretter très vite de s’être trop rapproché d’un homme qu’il n’aurait mieux fallu jamais rencontrer c’est du vu et du revu. En plus Andrea Di Stefano massacre tout suspense dès le début du film en nous montrant déjà comment va se conclure le second acte en l’espace de dix secondes. Lorsque l’intrigue rejoint ce début on comprend tout de suite ce qu’il va se passer. C’est bien dommage car c’est à ce moment là qu’on aurait pu espérer que l’intrigue démarre enfin.
Tout dans cette intrigue paraît artificiel, à commencer par cette histoire d’amour assez improbable qui démarre simplement avec une discussion autour d’un verre d’eau. C’est le problème général du film, l’intrigue va trop vite mais ne montre jamais ce qu’on espérait voir dans un film ayant pour méchant Pablo Escobar. Sans notion de temps précise en dehors de la longueur de barbe de Pablo Escobar, Paradise Lost nous donne l’impression qu’à peine ils se sont rencontrés les deux amoureux se fiancent et que Nick embauché comme nettoyeur de piscine de l’hacienda de Pablo Escobar devient subitement son homme de main.
Quelle idée d’être aller chercher Josh Hutcherson pour jouer le personnage principal de Paradise Lost ! Tout comme dans Hunger Games, le jeune acteur ne dégage rien, il paraît mou et ne donne absolument pas envie de le prendre en sympathie. Quand à Benicio Del Toro, il ne se foule pas spécialement pour incarner Pablo Escobar. On regrettera en plus qu’il passe plus de temps à nous montrer son coté bienfaiteur que le véritable narco trafiquant redoutable qui mener d’une main de fer son business.
Paradise Lost n’est pas aidé non plus par ses acteurs secondaires. L’actrice Claudia Traisac est certes très jolie mais on a du mal à croire que son personnage puisse être aussi naïf. Brady Corbet qui joue le frère de Nick en couple avec la pauvre Ana Girardot qu’on s’étonne de retrouver ici, tous deux apparaissent comme ça de temps en temps souvent dans le rôle de victimes dont le sort nous intéresse guère puisqu’il semblent ne faire partie de l’intrigue que comme ressort tragique.
On se demande au final quelles étaient les intentions d’ Andrea Di Stefano avec Paradise Lost ? Si c’était de peindre le portrait dePablo Escobar, le réalisateur ne fait que l’effleurer en montrant plus son bon coté que les atrocités qu’il a pu ordonner. Si son intention était de faire un thriller, il aurait fallu beaucoup plus de tension et un acteur principal plus charismatique que Josh Hutcherson. Au finalParadise Lost souffre de trop nombreux défauts pour emballer d’autant plus qu’on a déjà vu des histoires un peu similaires beaucoup plus réussis.
Bon opus, tiré d'un récit vrai romancé. Les dix dernières minutes du film, font baisser l'ensemble de l'intensité de cette histoire, dommage. 3 étoiles.
Frustration. C’est le mot premier qui nous vient à la bouche en sortant de la salle. Le grand biopic sur Pablo Escobar, notamment lorsqu’on a un acteur de la trempe de Benicio del Toro sous sa coupe, est encore à faire. Les premières images solennelles et accrocheuses nous laissaient pourtant un peu d’espoir, mais non. Pour éviter le trop-plein de biopics actuellement sur les écrans, notamment musicaux, mais plus probablement pour peur d’affronter la légende le réalisateur Andrea di Stefano préfère aborder la légende Escobar par le prisme de la rencontre amoureuse entre sa nièce et un jeune surfeur canadien. Choix discutable et surtout frileux qui ne permet que d’effleurer la légende au lieu de la tutoyer de près. En résulte une chronique sucinte de la vie autour du baron de la drogue colombien moyennement intéressante suivi par une deuxième partie plus captivante mais banale se transformant en chasse à l’homme exotique. Benicio del Toro fait ce que l’on attend de lui avec le peu qu’il a à se mettre sous la dent quand Josh Hutcherson est bon par intermittence et les seconds rôles se révèlent généralement mauvais (Brady Corbet et Ana Girardot sont à côté de la plaque !). On passe un agréable moment mais malheureusement on n’était pas venus pour ça. Oui le grand film sur le cartel de Medellin et son charismatique leader n’est pas pour cette fois !
MARIA PLEINE DE GRACE. L'histoire suit les sentiers battus du film de suspense ou le héros titube sans tomber. On aurait pris n'importe quel parrain,Escobar ici ne sert à rien. Par contre, on voit bien la différence entre un acteur médiocre d'un Benicio Del Toro énorme. Pas de quoi se lever la nuit, mieux vaut rester sous la couette.
Paradise lost est un film prenant, poignant, qui porte merveilleusement bien son titre. Benicio del Toro est remarquable dans son rôle de Pablo Escobar, d'abord séducteur, puis de plus en plus menaçant. Josh Hutcherson entre dans la peau de ce jeune canadien, à la recherche du paradis sur terre, comme si le rôle avait été écrit pour lui. Il nous fait vivre à 100% ses sentiments, l'insouciance, l'amour, l'amitié, et puis la peur qui grimpe peu à peu et finalement la terreur qu'il éprouve face à cet homme que rien n'arrête et surtout pas le meurtre. C'est aussi un film intéressant, car il donne envie d'en savoir plus, de se plonger dans l'histoire réelle de cet homme sorti de nul part qui est devenu l'un des criminelles les plus puissants et l'un des hommes les plus riches du monde.
Paradise Lost est difficilement classable. Le traitement du don Pablo est parfait, double visage à souhait, souriant et avenant de face, terrible commanditaire de dos. Personnage plein d'incohérences et qui pourtant aimait son pays. Au final c'est un film plein de sens, à diffuser dans les lycées, ça changera des fana de Scarface avec quelque chose de bien moins fantasmagorique..
Un film à priori intéressant, un seul problème à mon sens, le personnage principal. J'ai rarement été autant irrité, frustré, franchement énervé par cette "pleureuse" incapable d'enchaîner deux mots et se dessinant une énorme cible sur le front. Je ne reproche pas grand chose d'autre à ce film et vous souhaite d'avoir moins d'aversion que moi pour cet abruti (je me lâche) afin de pouvoir apprécier ce film.