Derniers Avis : Gunman - Page 8

film inégal alternant le bon et le moins bon donc l'ensemble est plutôt moyen. Dommage l'intention est bonne et connaissant l'engagement de sean penn dans l'humanitaire on ne peut que la louer. dénoncer l'esclavagisme moderne des pays pauvres par de puissantes multinationales dépourvues de scrupules est une excellente chose mais hélas le film n'y parvient que superficiellement sans jamais prendre aux tripes le spectateur (enfin moi) comme ce fut le cas avec l'excellent blood diamonds qui traite exactement le même sujet mais avec une VRAIE intensité , sean penn qui est pourtant un acteur que j'adore en fait trop. mal dirigé? et puis le scénario est mal foutu.
les scenes d'actions sont bonnes , elles sauvent le film de la médiocrité.

bon film avec quelques incoherences, histoire prédit..., le plus sont les scènes d'explosions et de fusillades les plus réalistes que j'avais jamais vu dans un film à part vers la fin.

Pas trop mal j'avais peur d'aller voir taken 4 mais en fait non rien à voir. Un film d'action moyen mais qui a le mérite d'être efficace.

Aprés une bande annonce plutôt efficace, je me méfiais de ce genre de film, dans la lignée des productions Besson.
Le film se revele mieux réalisé et moins "coup de barre" que les productions sus mentionnées et possede même un (semblant) de scénario.
Bien sûr on est pas dans du scénar tourmenté avec des twists de folie mais a le mérite d'exister et d'être plus ou moins crédible.
Sean Penn est trés affuté et porte bien son rôle.
Clairement pas le film de l'année mais aprés m'être bouffé Lucy, Taken et autres, ce film fait figure de chef d'oeuvre à coté par ces temps de disette cinématographique du genre.

Bon film histoire plaisante mais longue et déjà vue à voir au moins une fois et un splendide Sean Penn a la hauteur de sa réputation dans l'ensemble c'est un bon film

Pierre Morel, qui n’a rien à voir avec l’illustre François Morel, réalisateur de Banlieue 13 et Taken, revient pour son quatrième film Gunman. Ce thriller, sauvé de la noyade par un Sean Penn qui exécute le minimum syndical ne vaut guère que pour son message dénonçant le néocolonialisme des grandes multinationale de l’énergie.

Durant la guerre civile en République Démocratique du Congo, James Terrier (Sean Penn que l’on a vu dans La vie rêvée de Walter Mitty), sous couvert de protéger des associations humanitaires pour le compte de Blackwater, société de mercenaires, exécute des contrats de tueurs à gage pour une multinationale. Après avoir assassiné le ministre des mines du gouvernement régulier, il doit quitter l’Afrique. Huit ans plus tard, alors que rongé de remord, il revient pour faire réellement de l’humanitaire, on tente de l’assassiner. Il doit alors reprendre les vieilles habitudes pour comprendre pourquoi il est pourchassé.

Comme ses prédécesseur, Gunman n’est pas exempt de défauts. Le moindre n’est pas d’avoir un casting sous-exploité. Sean Penn, acteur incroyable, à la filmographie à la foi engagée et engageante, a révélé l’étendu de son talent en interprétant des rôles très divers. C’est néanmoins dans le drame qu’il prend toute sa profondeur. Dans le film de Morel, il n’est qu’un homme d’action de plus, interchangeable. Gunman souffre de cette habitude scénaristique qui consiste à mettre en avant les problèmes de conscience d’un homme autrefois sans vergogne pour le relancer dans ces activités ,tentant de donner une fausse impression de profondeur, éclipsant par la-même l’idée en relançant le film dans l’action testostéronée de base. Ainsi, le scénario de Gunman est sur ce point identique à celui de Taken. S’il ce fait attendre un peu, nous avons même droit au traditionnel enlèvement. Autant dire que l’on ait surpris à aucun moment. Malgré tout, Gunman a l’intelligence de substituer à la simple intrigue de vengeance, un sous-texte politique. Adapté du roman La position du tireur couché de Jean-Patrick Manchette, déjà adapté en 1982 par Robin Davis, le scénariste Pete Travis a adapté le contexte pour le faire coller à notre époque.

C’est une bonne idée de parler de la République Démocratique du Congo, théâtre d’une longue guerre civile peu médiatisée. Dans les années 2000, une situation de constante instabilité et d’affrontements a perduré entre les forces gouvernementales et les rebelles pendant que les grandes entreprises occidentales s’occupaient de piller les ressources importantes du pays, notamment diamants, le cuivre, le zinc, et le coltan. C’est, disons-le, pour un film d’action banal et peu enthousiasmant, le petit plus qui le sort du lot. Pas étonnant que Sean Penn, connu pour ses engagements progressistes et pour choisir ses films consciencieusement est accepter de tourner malgré les faiblesses de l’histoire. La terrible vérité qui apparaît dans Gunman est que nombre de gouvernements occidentaux entretiennent une instabilité pour que les grandes entreprises nationales puissent continué à piller en toute impunité les richesses inestimables de pays en voie de développement qui aurait tout intérêt à nationaliser les ressources. Certaine n’hésite pas à engager des sociétés dites de sécurité qui ne sont en faite rien d’autre que des milices paramilitaires. Au Nigéria, par exemple, onzième pays producteur de pétrole, premier d’Afrique, les milices armées par les occidentaux tuent en impunité les opposants à leur main-mise sur les oléoducs.

Souffrant d’un vrai manque d’originalité, recyclant les éternels clichés du genre, Gunman est largement dispensable et apparaîtra presque comme une anomalie dans les filmographies de Javier Bardem, peu inspiré, à l’image du film, et de Sean Penn. Toutefois, on lui reconnaître l’avantage d’amorcer un début de questionnement chez le spectateur à propos du bien-fondé de ces guerres civiles incompréhensibles et de l’appui souvent désarmant, de la France notamment à des dictateurs ou à des milices sanglantes selon le sens du vent et la disposition géographique des ressources à exploiter.

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même s'il ne brille pas par son originalité, ce film apporte de l'action mais plutôt de façon subtile (ce n'est absolument pas bourrin).....Cela n'a certes pas l'aura ni la vista du premier taken , mais on est dans une sorte de polar avec un scénario qui tient la route et un acteur (Sean Penn) qui apporte de la crédibilité à cet univers "noir", qui se passe principalement au Congo et à Barcelone ....Certaines scènes, plutôt âpres et dérangeantes m'ont quand même fait fermé les yeux (attention à la corrida finale, sorte de point d'orgue hitchcockien)....Il y a un excellent passage musical et une photographie très propre et efficace.....Vous l'aurez deviné, pas de place pour le romantisme dans une série qui de loin peut faire penser à un Jason Bourne sous vitaminé, mais qui hélas n'apporte rien de nouveau au thriller américain....A voir seulement si l'on est amateur du genre ou de Sean Penn qui pour une fois donne dans le musclé ......

un bon film d'action sans grande originalité mais bien tenu par sean penn.
même si on sait le peu d'importance dans ce type de film le scénario est travaillé avec un fond géopolitique qui se révèle interessant.

...3 étoiles ben c'est pas mal, cependant on n'échappe pas au fameux "mais"....Il y a donc quelques réserves que les déjà nombreuses critiques relèvent depuis un moment. S Penn dans un film d'action, est-ce crédible ? L'action semble molle...je ne comprends pas bien le scénario...Ok tout çà c'est de l'emballage de seconde démarque ! D'abord le film est une distribution Européenne, un peu éloignée donc des schémas Outre-Atlantique Genre on y va au rouleau compresseur. Même si le réalisateur ici du 1er Taken semble tenir une nouvelle fois une "action-movie ", le style est épuré et compte un peu plus de matière grise que de kilo de plombs. Tout en muscle, S Penn offre une prestation honorable mais peut être moins crédible que certains autres acteurs pour ce rôle.Certains disent d'ailleurs que cet essai de l'acteur dans ce genre de film serait bien son dernier...faut voir çà..! L'ensemble est très correct et les deux heures passent relativement vite c'est donc que le film n'est pas un ratage complet, juste une différence de style avec nos appréciations diverses et variées...Un mixage d'espionnage, de suspense et d'action en mode
Européenne.

Ce film est vraiment décevant. Sean Penn joue un personnage stéréotypé a l'extrême, et l'intrigue est pauvre. Les méchants sont vraiment mauvais en tir : sur un millier de balles tirées aucune ne touche jamais Sean Penn (même dans un couloir étroit)
Je vous le déconseille.

Circulez, il n’y a rien à voir. Malgré une bande-annonce assez accrocheuse proposant un Sean Penn dans un simili Taken, Gunman n’a finalement rien à voir et se plante dans les grandes largeurs. Rien n’est à sauver dans ce film sinon quelques scènes d’action « matables ». Pour sa première dans le cinéma d’action, Sean Penn a royalement glissé sur la première marche. Vu la gamelle, on n’est pas près de le revoir dans le genre.

Une premiere partie de film tres banale , rien de nouveau dans le style mais qui se laisse regarder puis une seconde totalement caricaturale style Espagne donc corrida avec un fin qui frise le ridicule.

Ancien tueur à gages, Jim Terrier s'est reconverti dans l'humanitaire pour se donner bonne conscience. Mais les démons du passé reviennent frapper à sa porte lorsqu'on essaye de le tuer. Voilà donc Jim lancé à la recherche de ceux qui veulent sa peau, le tout en étant atteint d'une maladie et en retrouvant son ancien amour. Un programme bien chargé pour un film d'action qui promettait de belles choses rien que par son casting (Sean Penn, Javier Bardem, Idris Elba...) mais qui s'avère bien fade. Entre un scénario prévisible qui fait office de vu et revu et une mise en scène peinant à nous en mettre plein les mirettes à défaut de nous surprendre, on se retrouve devant une œuvre au goût de réchauffé. Reste une violence assez vive lorsqu'elle éclate et Sean Penn, le reste des acteurs étant sous-exploité. C'est peu mais on fera avec.

le film basique par excellence..aucune surprise, un suspens sans grand frisson, seul sean penn tire a peu prés son épingle du jeu....
sans intérêt...

Entre nous, on s'en doutait ! Par le réalisateur de "Taken", "Banlieue 13" & "From Paris with love", une affiche immonde, une bande-annonce similaire, et un titre à deux francs... Tout était présent pour annoncer une belle daube d'action made in France. Sean Penn & Javier Bardem viennent s'enterrer dans une vraie galère... Pourquoi ? Mais pourquoi ces acteurs impressionnants acceptent-ils ce genre de film ?? Il n'y a que deux réponses possibles : la première, c'est tout simplement le cachet ; la seconde, ce doit être le manque de propositions en matière de premier rôle dans un film d'action chez nos amis américains (préférant maintenant les beaux-gosses de 20 ans). "Gunman", avec son scénario inintéressant et sa mise en scène sans saveur (propre à son "cinéaste") deviendra rapidement d'un ennui hallucinant. On n'est pas loin d'un "Taken 4"...