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Votre avis sur Gunman ?
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Pourquoi c'est nul ?....... au delà du scénario qui est d'une originalité aussi confondante que la différence qu'il peut y avoir entre deux plats de spaghettis, Pierre Morel nous livre sa vision de l'Afrique, une vision bien passéiste, limite raciste, où les pauvres africains on bien besoin des bons blancs pour sortir de leur misère (merci la pub pour les ong)....... réveille toi Morel, même en 2009, les africains t'ont tournés le dos et font des affaires avec les chinois, du coup on dirait un film de propagande des soviets...... ensuite il y a Sean Penn, que vient faire là le rebelle en peau de lapin nait au sein d'hollywood ?....... il attend d'avoir la cinquantaine pour jouer les gros bras ? Lui qui a toujours clamé haut et fort voire hurler sa haine des blockbusters ? c'est raté il joue très mal le héros, comme son pote Javier dont on comprend pas que Sean n'ai pas vu qu'il en avait après sa copine...... sans parler des autres grosses incohérences et raccourcis dans le scénario....... en dernier, quand on écrit sur l'affiche ; par le réalisateur de, c'est que même les producteurs n'y croient pas..............
C'est un bon film, l' action y est assez présente. Sean Penn est bien dans ce rôle. A voir.
Caine78
Pas grand-chose à attendre de la part de Pierre Morel, réalisateur de « Taken » et autres « From Paris With Love », mais le sujet, mélange de géopolitique et de drame personnel laissait entrevoir quelque chose de correct. Hélas, entre scénario (très) mal exploité, dialogues partant en vrille et personnages secondaires médiocres et sans la moindre ambiguïté (la palme revenant à celui incarné par Javier Bardem), difficile de croire ou de nous intéresser un tant soit peu à ces situations poussives et souvent sans grand suspense, la meilleure scène demeurant
spoiler:
l'affrontement oral (et physique) entre Sean Penn et Mark Rylance
, laissant entrevoir ce qu'aurait pu être « Gunman » s'il avait cherché à être autre qu'un banal thriller de série B. Reste quelques scènes d'action correctes et une bonne prestation de l'ami Sean, égaré dans une romance aussi bancale qu'invraisemblable, la pauvre Jasmine Trinca n'ayant, elle non plus, pas grand-chose à jouer... Dispensable.
, laissant entrevoir ce qu'aurait pu être « Gunman » s'il avait cherché à être autre qu'un banal thriller de série B. Reste quelques scènes d'action correctes et une bonne prestation de l'ami Sean, égaré dans une romance aussi bancale qu'invraisemblable, la pauvre Jasmine Trinca n'ayant, elle non plus, pas grand-chose à jouer... Dispensable.
HamsterPsycho
Un film qui permet d'occuper la soirée quand il n'y a rien d'autre. Le scénario est très faible et convenu; un ex-commando devenu tueur à gages que ses employeurs veulent éliminer. Quelle originalité. Et difficile de croire à ce personnage
spoiler:
qui tue sur ordre pour relancer la guerre civile, qui ravage les civils qu'il aide à soigner auprès des ONG
. D'ailleurs les passages en Afrique et la fin ne sont que des prétextes tire-larmes et des prétextes de contexte. En fait il n'est pas du tout question de réelle géopolitique mais bien un film d'action pure que l'on essaie de nous faire passer pour ce qu'il n'est pas. Le seul atout du film est le casting cinq étoiles, mais personne ne brille vraiment et n'est bien servi par le scénario. Idris Elba est transparent, Sean Penn ne fait que montrer ses muscles disproportionnés torse nu dans un gilet pare-balles; seul Javier Bardem paraît suffisamment vicieux et dingue pour s'en tirer.
. D'ailleurs les passages en Afrique et la fin ne sont que des prétextes tire-larmes et des prétextes de contexte. En fait il n'est pas du tout question de réelle géopolitique mais bien un film d'action pure que l'on essaie de nous faire passer pour ce qu'il n'est pas. Le seul atout du film est le casting cinq étoiles, mais personne ne brille vraiment et n'est bien servi par le scénario. Idris Elba est transparent, Sean Penn ne fait que montrer ses muscles disproportionnés torse nu dans un gilet pare-balles; seul Javier Bardem paraît suffisamment vicieux et dingue pour s'en tirer.
un bon film d'action avec un sean penn dans un rôle musclé inhabituel. En fait il est très plausible et très à l'aise dans ce rôle. Pas de temps morts, de l'action, des scènes assez violentes .
J'ai bien aimé ce film
J'ai bien aimé ce film
Les Américains ne sont pas vernis. Où qu'ils foutent les fumerons, ils ne crèchent jamais bien loin d'un allumé du cigare prenant sa pétoire pour un goupillon. C'est à Sean Penn qu'incombe ici cette lourde tache.
D'abord tueur à gages (un turbin qui ne semble jamais connaitre la crise aux États-Unis), il se rachète une conscience en filant un coup de pogne à une association œuvrant en Afrique (c'est toujours sympa de se rendre compte par soi-même de la qualité des produits made in USA qu'on utilise sur place pour se trouer la passoire). Mais voilà, le taulier de son ancien job n'est pas beau joueur et plutôt que de foutre son ex-fidèle collaborateur au prud'homme, celui-ci préfère des expédients moins portés sur la négociation. Alors que notre bon Samaritain coulait des jours heureux en aidant son prochain, voilà qu'une méchante bande de margoulins le replonge dans son existence brumeuse et l'oblige à ressortir le riboustin dont il ne pensait plus faire usage avant longtemps.
Gunman n'a pas inventé la poudre et semble malheureusement voué à une existence rythmée par les bim bam boum et les pif paf pouf. Les férus de philosophie ne manqueront pas de relever le clin d’œil du réalisateur (à l'insu de son plein gré) à la notion de déterminisme. La pétarade finale elle, pleinement assumée, rend un vibrant hommage à Smith et Wesson.
D'abord tueur à gages (un turbin qui ne semble jamais connaitre la crise aux États-Unis), il se rachète une conscience en filant un coup de pogne à une association œuvrant en Afrique (c'est toujours sympa de se rendre compte par soi-même de la qualité des produits made in USA qu'on utilise sur place pour se trouer la passoire). Mais voilà, le taulier de son ancien job n'est pas beau joueur et plutôt que de foutre son ex-fidèle collaborateur au prud'homme, celui-ci préfère des expédients moins portés sur la négociation. Alors que notre bon Samaritain coulait des jours heureux en aidant son prochain, voilà qu'une méchante bande de margoulins le replonge dans son existence brumeuse et l'oblige à ressortir le riboustin dont il ne pensait plus faire usage avant longtemps.
Gunman n'a pas inventé la poudre et semble malheureusement voué à une existence rythmée par les bim bam boum et les pif paf pouf. Les férus de philosophie ne manqueront pas de relever le clin d’œil du réalisateur (à l'insu de son plein gré) à la notion de déterminisme. La pétarade finale elle, pleinement assumée, rend un vibrant hommage à Smith et Wesson.
"Gunman" ou la patache de l'action de début d'été. Pierre Morel ou l'homme qui sait rendre viable une discussion entre des acteurs mal dirigés dans une intrigue décousue par ses invraisemblances et ses caricatures vivantes. Difficile de tomber amoureux de cette histoire cousue de fils blancs, avec des répliques idiotes envoyées par un casting qui ne croit pas une seule seconde ce qu'il dit, avec ce scénario qui ne tient pas debout, suivi par des course-poursuites dignes d'une parodie ou ces idées de réalisation qui s'embrouillent et nous perdent, à la vitesse d'un éclair se fracassant sur la mine crevé d'un Penn en sous-moyens, qui use de la violence pour mieux se sortir d'un guet-apens lourd à chaque seconde, qui ne réussit le minimum que lorsque sont filmés les effets d'une maladie grave ou quand un acteur (Ray Winstone, toujours aussi efficace), jouant un second rôle, décide de se secouer un peu pour donner un jeu valable et nous imposer des émotions, SES émotions. Il est toujours sympathique d'observer un Penn donner des gifles ou même d'écouter les doublages français (merci les alcooliques anonymes pour leur participation) sauf lorsque la scripte s'est empiffrée de romans policiers bas-de-gamme avant, réemployant toute leur médiocrité. Loin, lointaine passade!
On s'ennuie devant un Sean Penn qui joue les Rambo. Le scénario est téléphoné et on assiste tout simplement à un produit magique d'Hollywood: du vent.
Pierre Morel nous offre une course poursuite infernale à la Taken : une histoire et des scènes un peu tirées par les cheveux, mais toujours de bonne qualité, avec un Sean Penn musclé comme Liam Neeson.
lent , sans rythme, 1 heure pour démarrer, ça discute pour rien et le scénario est inexistant , sean penn pas du tout crédible dans cette chasse à l'homme d'une heure 50 ,un film qui devrait sortir en DTV directement , en résumé j'ai trouvé ça mauvais
Film d'action efficace signé par le réalisateur de Taken exploitant le filon documentaire pour appuyer son intrigue. Sean Penn incarne avec panache un ancien tueur professionnel sur le retour.
Ne laissez aucune chance à votre cible sinon vous pourriez le payer très cher [...] Sean Penn, piègè, dans un film d'action par le rèalisateur français de "Banlieue 13" et "Taken". Hum, ça sent pas très bon cette affaire! Une Rèpublique du Congo dans le chaos! Cela n'empêche pas le sniper Sean Penn de faire du surf en exhibant sa musculature saillante! Mais il ne suffit pas de dènuder l'interprète gènial de "At Close Range" et "Casualties of War" pour aller au coeur des tueurs à gages et de l'aide humanitaire! Dans l'ensemble, cette course contre la montre est un ramassis de caricatures, de dèjà vu et d'incohèrences! C'est le grand nettoyage avec des fantômes du passè qui refont surface sur fond de coups bas et de corrida! Morel joue à la guèguerre congolaise et se plante une nouvelle fois! Probablement est-ce "Gunman" qui encouragea Penn à rèaliser en Afrique le très mauvais "The Last Face", avec Javier Bardem! A part ça, Jasmine Trinca est une très belle femme! Cela ne suffit pas à sauver ce film de la mèdiocritè...
Une premiere partie de film tres banale , rien de nouveau dans le style mais qui se laisse regarder puis une seconde totalement caricaturale style Espagne donc corrida avec un fin qui frise le ridicule.
Je n'attendais rien d'autre qu'un thriller-action avec en vedette Sean Penn. Et ça passe.
C'est pas un grand film, le réalisateur est l'un des yesman de Luc Besson, qui fait ici cavalier seul, pour livrer un film de commande anonyme, conçu pour étoffer le catalogue du groupe Canal .
Le film reprends tous les codes des thrillers américains de ces 20 dernières années, sans originalité.
Ici, le cadre de l'action est l'Espagne, et l'on peut facilement imaginer que l'office du tourisme de Barcelone ait mis la main au portefeuille pour attirer la production du film, qui aurait bien pu être entièrement tourné en Afrique ou en Angleterre.
La structure du film est médiocre, pour un thriller qui se veux simpliste au possible, il y a beaucoup trop d'allers et retours entre différents endroits, avec deux chronologies différentes, là où une unité de temps et de lieu, à l'image des films "claustrophobes", aurait donné plus de fluidité à la production.
Le scénario et la narration pêchent par leur facilité et leur médiocrité. Les deux tiers du film sont utilisé pour poser l'intrigue minuscule qui justifie l'histoire du film.
Le parti-pris de mettre toutes les scène d'action dans le dernier tiers du film est une erreur artistique, alors que le public qui s'est déplacé, attends un thriller tendu de bout en bout, pas des bavardages inutiles pendant 1h20.
Si l'on suit ce choix de mise en scène, il faut que la partie dialogue et développement des personnages soit significative, ait une utilité dans le film, dans sa compréhension générale.
Ce n'est pas le cas ici. Toute cette partie aurait pu être bouclée en 15-20 minutes, en s'inspirant des longues séquences d'introduction façon Demain ne Meurt Jamais.
Si vous aimez : les champs/contrechamps entre l'excellent Sean Penn et la jolie frenchy Jasmine Trinca, les plans millimétrés et léchés, les prises de vues d'hélicoptères,
Les caméos de quelques pointures : Javier Bardem dans un spot contre les méfaits de l'alcoolisme, un reportage sur les retraités anglais vivant en Espagne avec Ray Winston,
une publicité pour les costumes 3 pièces avec Idris Elba ou un reportage sur les investissements immobiliers dans les surfaces de bureaux vitrés avec Mark Rylance,
Alors, vous êtes au bon endroit.
C'est pas un grand film, le réalisateur est l'un des yesman de Luc Besson, qui fait ici cavalier seul, pour livrer un film de commande anonyme, conçu pour étoffer le catalogue du groupe Canal .
Le film reprends tous les codes des thrillers américains de ces 20 dernières années, sans originalité.
Ici, le cadre de l'action est l'Espagne, et l'on peut facilement imaginer que l'office du tourisme de Barcelone ait mis la main au portefeuille pour attirer la production du film, qui aurait bien pu être entièrement tourné en Afrique ou en Angleterre.
La structure du film est médiocre, pour un thriller qui se veux simpliste au possible, il y a beaucoup trop d'allers et retours entre différents endroits, avec deux chronologies différentes, là où une unité de temps et de lieu, à l'image des films "claustrophobes", aurait donné plus de fluidité à la production.
Le scénario et la narration pêchent par leur facilité et leur médiocrité. Les deux tiers du film sont utilisé pour poser l'intrigue minuscule qui justifie l'histoire du film.
Le parti-pris de mettre toutes les scène d'action dans le dernier tiers du film est une erreur artistique, alors que le public qui s'est déplacé, attends un thriller tendu de bout en bout, pas des bavardages inutiles pendant 1h20.
Si l'on suit ce choix de mise en scène, il faut que la partie dialogue et développement des personnages soit significative, ait une utilité dans le film, dans sa compréhension générale.
Ce n'est pas le cas ici. Toute cette partie aurait pu être bouclée en 15-20 minutes, en s'inspirant des longues séquences d'introduction façon Demain ne Meurt Jamais.
Si vous aimez : les champs/contrechamps entre l'excellent Sean Penn et la jolie frenchy Jasmine Trinca, les plans millimétrés et léchés, les prises de vues d'hélicoptères,
Les caméos de quelques pointures : Javier Bardem dans un spot contre les méfaits de l'alcoolisme, un reportage sur les retraités anglais vivant en Espagne avec Ray Winston,
une publicité pour les costumes 3 pièces avec Idris Elba ou un reportage sur les investissements immobiliers dans les surfaces de bureaux vitrés avec Mark Rylance,
Alors, vous êtes au bon endroit.
un thriller bien fade avec une histoire sans surprise et une fin que l'on sent venir
de plus le doublage français est exécrable.
par deux scènes ou trois rien de bien folichon à se mettre sous la dent.
de plus le doublage français est exécrable.
par deux scènes ou trois rien de bien folichon à se mettre sous la dent.
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