La Sociedad del Semaforo - La Communauté du feu rouge : Critique presse
La Sociedad del Semaforo - La Communauté du feu rouge
Note moyenne
3,1
7 titres de presse
Première
Transfuge
Les Fiches du Cinéma
Positif
Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Première
par Isabelle Danel
Mendoza frappe fort. Violent et inconfortable, ce premier long sur la marginalité évite (presque) tous les pièges de la complaisance.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Souvent maladroit, mal monté, ce film d'un autre âge, plein de visions grandioses, est une ode foutraque à l'anarchie.
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Rubén Mendoza signe l'instantané d'une société marginale pour redonner un peu d'humanité à ces personnages qu'on ne veut pas voir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Dominique Martinez
Certaines scènes sont réussies (...) mais d'autres sont maladroites ou sonnent faux, et le scénario se disperse peu à peu.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Docu fiction âpre et imprévisible, "La sociedad del semaforo" aborde la déchéance sociale des âmes égarées avec le regard fort de la rédemption.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Nicolas Didier
Cette cour des Miracles aurait été formidable dans un documentaire. Rubén Mendoza (..) choisit d'en faire une fiction. Son récit est trop maladroit, hélas, pour provoquer l'adhésion...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
Mendoza frappe fort. Violent et inconfortable, ce premier long sur la marginalité évite (presque) tous les pièges de la complaisance.
Transfuge
Souvent maladroit, mal monté, ce film d'un autre âge, plein de visions grandioses, est une ode foutraque à l'anarchie.
Les Fiches du Cinéma
Rubén Mendoza signe l'instantané d'une société marginale pour redonner un peu d'humanité à ces personnages qu'on ne veut pas voir.
Positif
Certaines scènes sont réussies (...) mais d'autres sont maladroites ou sonnent faux, et le scénario se disperse peu à peu.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Docu fiction âpre et imprévisible, "La sociedad del semaforo" aborde la déchéance sociale des âmes égarées avec le regard fort de la rédemption.
Télérama
Cette cour des Miracles aurait été formidable dans un documentaire. Rubén Mendoza (..) choisit d'en faire une fiction. Son récit est trop maladroit, hélas, pour provoquer l'adhésion...