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    Maps To The Stars
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    438 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 janvier 2015
    J'ai vu ce film hier et, comment dire, je n'ai pas du tout apprécié... Pour moi, ce film n'a ni queue ni tête! Le scénariste devait avoir pris ses vacances... Le thème n'est pas tellement la critique d'Hollywood mais surtout l'inceste. Les scènes crues semblent être là seulement pour garder le spectateur en salle spoiler: Julianne Moore constipée, le chien assassiné, Julianne qui se fait sodomiser...
    et c'est assez pathétique! Ce film hésite entre indé et grand public sans jamais trouver son public, justement! Personnellement, je n'ai vraiment pas aimé.
    Félix F
    Félix F

    253 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    J'adore Cronenberg, mais pour moi Maps to the stars est un critiques satyrique du monde holywoodiens trop poussée à l’extrême. On se doute que ce n'est pas tout rose mais le film sombre dans le côté trash et obscène sans apporter de réel intérêt au spectateur comme on à droit de s'y attendre. Seul les déboires sexuelles et lié à la drogue ressorte dans un ce film et c'est bien dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 janvier 2015
    Un film particulièrement malsain mais parfaitement réalisé. Quelle constance dans la filmographie de Cronenberg !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 janvier 2015
    Maps to the stars, ou comment Cronenberg parvient à réaliser un film qui par son outrageuse surenchère névrotico-psychotique parvient à créer une gêne formidable!
    Un casting formidable avec une justesse de jeu extraordinaire qui vient servir ce scénario rudement bien mené et tout à fait sympathique. J'aime tout particulièrement la justesse du jeu quelque peu moins ostentatoire de Mia Wasikowska comparé à l'exubérante folie de Julianne Moore.
    Un film dont on ne sort pas tout à fait indemne avec une narration fluide quoique terriblement glauque sans être sombre (sacré magicien ce Cronenberg...).
    Je félicite en tout cas tout les personnes qui parviennent à faire le pitch de ce film sans massacrer le visionnage d'un ami futur spectateur... N'est-ce pas comme cela qu'on remarque un bon film?
    David Cronenberg parvient à mettre sa brillante technique au service de ce scénario si ambitieux quoique foncièrement manichéen...
    Bref une réussite!

    Après tout les personnes les plus saines d'esprit ne sont pas toujours celles qui en ont l'air!
    WardStradlater
    WardStradlater

    56 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 décembre 2014
    Encore un film parlant d'Hollywood: des superficiels narcissiques, vivant dans des baraques gigantesques, hypocrites et à la limite du psychopathe. Et tout ce petit monde s'ennuie, vivant dans une bulle où ils doivent toujours en être le centre, et se rassurant via des drogues en tout genre. Bon, on a compris le secret de polichinelle. Hollywood, même présenté sous cet aspect, garde un glamour et une attirance; tout simplement parce que Hollywood ne produira jamais un metafilm. Hollywood s'analyse toujours lui-même sous un bon aspect. On ne parlera jamais de la réalité: une industrie consanguine, brassant des sommes astronomiques et produisant l'idéologie dominante. Et même si Cronenberg utilise des métaphores, elles restent beaucoup trop implicites pour être notables.
    Marion B
    Marion B

    14 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Un Croneneberg tel qu'on l'attend : drogue, sexe et sang mais pas l'un des meilleurs.
    Appâtée par le casting et le pitch je m'attendais à plus de profondeur dans la construction des personnages ! Une mention spéciale toutefois pour Mia Wasikowska qui interprète son rôle à merveille et qui pour le coup est le vrai personnage principal de ce film ou l'on ne fait que survoler la profondeur des travers de ce backstage hollywoodien.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    mais qu'a fait Cronenberg?! cette photographie du côté factice des coulisses Hollywood tombe à plat. après 40min d'un film soporifique, on en retire ni liens, ni intérêt ; les personnages ne sont même pas attachants! quel ennui!
    bibtar
    bibtar

    31 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2014
    Fidèle à son réalisateur et toujours aussi barré dans son style, ce nouveau Cronenberg à de quoi défrayer une fois de plus la chronique et surtout mérite absolument sa présentation en compétition au festival de Cannes 2014 tout comme le prix d'interprétation féminine décerné à Julianne Moore, incroyable dans son rôle d'actrice aux abois, bien immergé dans l'univers hollywoodien sous toute ses coutures et offrant un personnage bien marqué et surtout très expressive. On peut aussi relever une critique de la société de la ville des rêves par ses personnages prenant partie dans ce monde bien particulier, mais aussi d'une société américaine toujours plus avide de reconnaissance, que ce soit par le grand public que par le cercle familial, et la dessus le scénario n'a pas grand chose d'excitant mais à le mérite d'être plutôt bien établit et dépeint de manière plutôt intéressante et surtout très crument un monde sans foi ni loi. Mais outre cela, l'ensemble de film manque non seulement de force mais surtout propose une intrigue assez intéressante avec un fond bien amené mais bien trop irrégulière en ce qui concerne le rythme étant donné que de nombreuses scènes manquent incontestablement d'éléments convainquant, pour ce qui est de la trame générale établie, c'est à dire de destins de quelques habitants de Hollywood, sauf peut être sur la fin puisque c'est à ce moment que l'ensemble du scénario prend tout son sens. Et bien que le casting tient tout ses promesses avec des personnages hauts en couleurs interprété par pas mal de très bon acteur à l'image bien évidemment de Julianne Moore, mais aussi de John Cusack qui propose un personnage bien plus convaincant que ce qu'il a l'habitude de jouer par le monde qu'il incarne à travers ce rôle, emprunt de critique lui aussi, représentant sa plus grande force ici, et puis bien que celui ci soit que très peu présent, Robert Pattinson prouve une fois de plus dans un Cronenberg qu'il est un bon acteur, même si ici c'est clairement moins perceptible que dans "Cosmopolis" mais au moins ses interventions amène quelques éléments sympathiques, bien que cet ensemble d'acteur donne un échantillon bien représentatif de ce que peu correspondre le vice qui incarne le monde hollywoodien. Après on ne peut pas dire que la critique soit très engageante ni plus surprenante plus que cela, elle reste sur des faits plus ou moins déjà établis dans les esprits critiques de cet univers mais cela à au moins le mérite de se faire entendre et de manière assez fun, bien déluré et à la fois tragique, ce qui na rien d'étonnant quand on voit la stature des protagonistes mis en scène. En ce qui concerne le film en lui même, la montage est simple, épuré et sans grande prétention malgré tout, il propose quelques répliques bien étudiées et des moments qui feront soit réfléchir soit bien rire par le côté incongru de certains éléments du scénario, surtout en ce qui concerne le destin de ce jeune enfant star, et pour ce qui est de la mise en scène générale, les plans fonctionnent plutôt bien offrant une esthétique propre à son réalisateur, et bien que l'on ne peut pas y être sensible, il faut reconnaître que Cronenberg à une sacrée capacité à établir des critiques de notre société à travers des films uniques en leur genre, qui ne sont pas toujours efficace mais qui à toujours la capacité de proposer des sujets brûlants, traités de manière en plus brûlante. Loin d'être un grand moment de cinéma, non seulement ce film correspond à merveille à genre du Festival de Cannes auquel il peut en plus se targué d'y avoir remporté un prix, qui de plus est largement justifié (ce qui n'est pas toujours le cas là bas), mais c'est surtout qu'il faut y apprécier l'aspect esthétique et cinématographique plutôt que le contenu même de l'ensemble.
    gregOL69
    gregOL69

    19 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2014
    D. Cronenberg livre ici une chronique satirique d'Hollywood ultra acide. Scénario intelligent. J. Moore est l'atout numéro un du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Maps to the stars est un film bien étrange de Cronenberg, qui, dans une fluidité narrative incroyable, met en scène les rapports incestueux du tout Hollywood. Cronenberg tente de nous convaincre qu’Hollywood vend du rêve à tous, via une image parfaite (le design de maisons, la beauté artificielle des actrices, etc…), mais que ce tout est gangrené par l’inceste qui symbolise le monde clos d’Hollywood. Relation incestueuse entre mère et fille pour le personnage (superbe) de Julianne Moore, entre frère et sœur pour le psycho-sophrologue (John Cusak) et son épouse, et une omniprésence du suicide pour tous, pour échapper à une vie vide de sens dans des maisons vides de personnalités. Maps to the stars est un film acide et brut, une critique amère d’un monde clos gangrené par la dépression, les coucheries, l’addiction sous toutes ses formes, et par la mort. Un monde inhospitalier voire hostile, de faux semblant qui mènent droit à l’inexistence puisqu’à la mort. Bref, un beau film qui donne à réfléchir sans pour autant être le sommet de la carrière de Cronenberg.
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 décembre 2014
    La Fontaine, avec sa sagacité habituelle terminait l’une de ses fables d’un « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse ». C’est la parfaite illustration de ce « Maps to the stars » d’un Cronenberg qui s’essouffle depuis quelques années avec des films chics et chocs… tout aussi bling bling que cette formule ! L’habillage du film est certes splendide par ses luxurieux décors, ses ambiances d’un Hollywood en perdition, ses intrigues poisseuses… mais au final, rien de bien transcendant si ce n’est cette volonté de vouloir à tout prix cracher sur un star système qui se voudrait humainement épouvantable. Il se choisit pour cela quelques figures emblématiques, un abject « baby star », sa sœur névrosée, des parents qui ne le sont pas moins, un chauffeur figurant et une vieille actrice botoxée et hystérique (interprétée par une Julianne Moore au jeu improbable digne d’un film de Zulawski). Tout ce petit monde évolue sous l’emprise d’une excitation limite cocaïnesque, ça hurle, ça gesticule… C’est saisissant au début, voire même captivant, mais cela retombe très vite et la critique acerbe de cette Mecque du cinéma se fait anecdotique et perd de son sens. L’ennui gagne quand ce n’est pas le rire jaune face à une telle gabegie cinématographique. La nostalgie étant plus que jamais ce qu’elle est, on se référera, sur un sujet similaire, à un « Sunset Boulevard » ou bien encore « Les ensorcelés», ces films tous aussi sévères bien que moins « m’as-tu vu », portent en eux les vraies blessures d’Hollywood.
    Lili8163
    Lili8163

    25 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2014
    J'imaginais "Maps to the stars" à la manière d'un "American Beauty" transposé dans le milieu du cinéma hollywoodien ... Quelle erreur!!!!
    Ce film de Cronenberg est fort déplaisant à regarder. La mise est scène est ratée, les personnages détestables, le scénario gênant.
    Ce film crée le malaise par le sujet dont il traite mais également par sa propension à étaler gratuitement la violence (tant physique que psychologique) de ses personnages.
    Un film décevant et sans intérêt.
    Grandet C.
    Grandet C.

    102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2014
    "Cosmopolis" le film précédent de Cronenberg m'avait plombé, une exception dans la filmographie intense de son réalisateur, j'avais zappé "Map to the stars" un peu méfiant, j'avais tort. Il est vrai que c'est un film assez sordide sur les mœurs d'Hollywood, ou tous les personnages souffrent de névroses, voire d'épisodes psychotiques, suite à un passé trouble, mais Cronenberg est à l'aise dans cette atmosphère monstrueuse, il réussit à nous rendre les personnages attachants malgré leurs failles non dissimulées, mais je comprend que certains puissent être rebutés à l'instar des réactions à "Crash". Après un début confus, on suit plusieurs personnages dans ce marigot hollywoodien ou l'apparence et les égos dominent, spoiler: jusqu'aux révélations finales qui laissent une impression tenace
    . A voir si vous êtes dans un bon jour.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2015
    David Cronenberg replonge dans ses obsessions des débuts en les intégrant dans le formalisme glacé de ses derniers films ("A dangerous method" "Cosmopolis"). Comme d'autres avant lui et non des moindres, tels Billy Wilder ("Sunset Boulevard", 1950), Robert Aldrich ("Qu'est-il arrivée à Baby Jane ?",1962) ou Robert Altman ("The player",1992), il livre sa vision horrifique de la Mecque du cinéma qui quelque soit les époques, dévore tout cru ses enfants. C'est justement aux enfants que fait essentiellement allusion Cronenberg dans son film, rappelant comment ils ont de tout temps été broyés au sein de l'usine à rêves qu'ils soient ou non devant la caméra. Havana Segrand (Julianne Moore) fille de star devenue actrice n'arrive pas à se dépêtrer de l'aura envahissante de sa mère morte très jeune dans un incendie ni des sévices moraux subis tout au long d'une enfance passée à l'ombre d'une star à l’ego démesurée. On pense bien sûr à des histoires célèbres comme celle Maria Riva la fille de Marlène Dietrich qui raconta par le menu dans un livre qui fit scandale le peu d’amour maternel reçu et surtout comment sa mère la livra à plusieurs reprises en pâture à ses amants ou amantes ou encore à celle de la fille adoptive de Joan Crawford victime du refus de vieillir de l’actrice sur le déclin devenue alcoolique, immortalisée par le film de Frank Perry, « Maman très chère » en 1981. La famille Weiss est l’archétype de la fratrie dysfonctionnelle où se côtoient, Benji l’enfant star sortant d’une cure de désintoxication cornaqué par sa mère Cristina (Olivia Williams) avide d’argent et de succès, Stafford (John Cusack) le père psychologue new age devenu le gourou des stars, incapable lui-même d’éduquer ses enfants et enfin Agatha (Maria Wasikowska) adolescente perturbée bannie de la famille de retour à Hollywood après sa sortie d’un hôpital psychiatrique de Floride. Cronenberg se sert des relations tortueuses et souvent malsaines au sein de cette petite communauté pour dresser par extension un portrait ravageur de la gentry hollywoodienne rongée par l’inceste, le stupre et la soif du pouvoir. Pour renforcer cette impression de décrépitude, Cronenberg toujours secondé à la photographie par Peter Suschitzky alterne une vision enchanteresse des décors avec celle oppressante des corps et des chairs, évoquant une décomposition en attente. Hollywood dont le nom s’affiche en toutes lettres en haut d’une des collines dominant la ville n’est plus ici la porte qui s’ouvre sur les rêves mais une prison dorée qui étouffe ceux qui l’habitent. Pas étonnant dès lors que par la voix d’Agatha le poème symbolique de Paul Eluard « Liberté » serve de litanie à celle qui est revenue sur les lieux pour un règlement de comptes rédempteur. On retrouve avec « Maps to the stars » un David Cronenberg moins formel donc forcément plus dérangeant, laissant à nouveau place à ses obsessions métaphysiques. Julianne Moore qui a récolté le prix d’interprétation à Cannes est fort méritante de s’être laissée filmer aussi intimement pour incarner le désespoir d’une star déchue qui n’est pas sans rappeler par son outrance les deux sœurs interprétées sensiblement au même âge par Bette Davis et Joan Crawford dans le film d’Aldrich cité plus haut. Un film âpre, souvent déroutant, assez évident dans sa démonstration mais qui se perd parfois inutilement dans des digressions un peu pompeuses.
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 868 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2014
    Avec des accents parfois lynchiens, Cronenberg livre une satyre féroce du milieu névrotique de Hollywood. Mais la démonstration très lourde finit par nuire au propos et la complaisance du réalisateur rend parfois la métaphore agaçante malgré quelques scènes savoureuses. Les acteurs sont justes, mais j'ai trouvé plus juste le prix donné à Cate Blanchett pour son rôle de névrosée dans "Blue Jasmin", que celui donné à Julianne Moore que j'adore pourtant, dans ce film choral.
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