Mon compte
    Maps To The Stars
    Note moyenne
    3,1
    3612 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Maps To The Stars ?

    438 critiques spectateurs

    5
    21 critiques
    4
    106 critiques
    3
    154 critiques
    2
    90 critiques
    1
    43 critiques
    0
    24 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Maryline D
    Maryline D

    7 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2014
    film qui au première abord n'est pas mon genre mais il faut le voir je pense qu'il reflete certains aspect de la réalité de certaines star,il a un effet papier glacé de bons acteurs et ood les stars et leurs folies.
    Thierry M
    Thierry M

    165 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Cronenbergh nous fout une nouvelle fois la gerbe dans cette histoire.
    Film à oublier rapidement.
    Nicolas D.
    Nicolas D.

    56 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Cronenberg dénonce les dessous d'Hollywood avec brio : démesure, drogue, irrespect, argent, médias, hypocrisie et folie.
    Servi par un casting réfléchit et hyper crédible, Maps to the Stars raconte le succès autour d'une histoire unique, originale et surtout dévastatrice.
    Une excellente mixture de tous les dangers que la surmédiatisation entraîne.
    kenone
    kenone

    36 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Pour certains critiques, Cronenberg fait de L.A. un hôpital psychiatrique à ciel ouvert. Si on aime le dark on peut prendre plaisir à cette fresque des névroses et de vices poussés à l’extrême.
    Pour ma part je dirais que Cronenberg fait de L.A, l'Olympe moderne et nous dit "Voici vos Dieux"
    lara cr28
    lara cr28

    75 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2014
    Dans la série satire de l’American way of life, Cronenberg s’attaque au système hollywoodien . On suit le parcours de la jeune Agatha qui débarque de la Floride avec sa « maps to the stars, » entendez la carte qui permet de se promener en découvrant les habitations des célébrités. Elle fait étrangement penser à la Rita amnésique de Mulholland Drive qui va rester dans les faubourgs du saint empire du cinéma. On se rend vite compte que la voyageuse porte les stigmates d’un premier voyage et qu’elle n’a rien de la touriste ordinaire. Dès lors le point de vue est lui-même totalement perverti puisque la caméra devient une machine à déconstruire, à ne filmer que l’envers du décor, à révéler la noirceur. On suit le triste parcours de deux stars, celui de Havana prête à tout pour obtenir un rôle et de Benjie, un garçon, jeune coqueluche mais déjà supplanté par son plus jeune collègue. Les manettes du vice sont poussées à fond : schizophrénie, inceste, folie, drogue, manipulation, égoïsme, harcèlement sexuel, gourouterie… Comme une toile de Bacon, l’image hollywoodienne d’Epinal se délite et vient finir sa course dans ses petites caravanes peu glamour où ont lieu les tournages, sinon dans le fond de la cuvette des toilettes de Havana .C ne s’interdit rien. Bref, l’usine à rêves est devenue un immense hôpital psychiatrique, en témoigne l’espace aseptisé de l’appartement des Weiss. Une triste métaphore du système mais plus profondément, un questionnement sur le vieillissement dans une ville où on est « ménopausé » à 23 ans où les très jeunes enfants meurent, où l’adolescence est déjà blasée où une actrice de 50 ans doit subir les pires épreuves pour obtenir un rôle. Ce qui est vrai pour chacun, l’est sans doute plus pour un acteur : vivant son existence dans son extériorité, il n’en est que plus aspiré par les lois du déterminismes, comme les héros mythologiques d’une tragédie antique, il s’enferme dans un sombre destin, sa vie est faite de paillettes et sa mort atroce. Mais, comme un leitmotiv, une petite voix poétique se fait entendre mais n’est jamais écoutée car il n'y a ni la place ni le temps pour ce petit mot de P. Eluard « liberté »
    Marty08
    Marty08

    20 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2014
    On annonçait le nouveau film de Cronenberg comme une satire corrosive à l'encontre de Hollywood. L'histoire d'une famille vaguement dysfonctionnelle. Un best of des pires moeurs du milieu cinématographique.
    Il n'en est rien. A la vision de cet opus nouveau du cinéaste de la chair cérébrale ne découle qu'un pensum vide comme tout.
    La plus grande frustration s'illustre par une simple question : mais où est donc passé David Cronenberg ? Les puristes y verront l'ADN concentré du cinéaste. Hors, qu'il y a t-il de plus agaçant que d'y voir une simple trace d'ADN quand on aurait demandé la patte ? Le cinéma du canadien a toujours été un cinéma agressif, tourmenté, caractériel, où la chair organique se mêlait par adaptation narrative à la chair cérébrale. Mais David, pour la première fois de sa carrière, a changé de camp. Le mauvais goût assumé de ses films, quant à l'avis général du politiquement correct et de l'appétit du spectateur, s'est désormais muté en vulgarité. Autrefois, David filmait la chair, la vraie, dans toute sa gestuelle difforme ("La Mouche", "ExistenZ", "Le Festin Nu") ou plus récemment humaine ("A History of Violence" à "A Dangerous Method"). C'était là le principe même de son cinéma, la caractérisation évidente de sa mise en scène qui adoptait cet amas de sang.
    Aujourd'hui, David, oui, a troqué sa substance contre l'ectoplasme. Des fantômes, "Maps to the Stars" n'en manque pas. Mais quel intérêt y a t-il à filmer des hallucinations si celles-ci ne sont pas justifiées et ne s'incluent que par intermittences ?
    Le trauma de la famille Weiss est semble t-il un incendie provoqué par la fille aînée, Agatha. Autrefois, Cronenberg aurait parsemé son film d'images subliminales, arrivant logiquement dans la lignée de la déréliction mentale de ses personnages. Maintenant, le champ contre-champ se charge, avec toute la charge explicative du monde, de faire passer l'émotion. Mais à un certain stade du film, Cronenberg n'est pas fait pour ça. Dans "Maps to the Stars", le dialogue a remplacé le mouvement. Les caractères se substituent à la mise en scène. Ce sont des épaves qui déambulent dans un Hollywood aseptisé. Voudrait-il parler par le biais de ces pantins de la vacuité de ce monde ? Jamais. L'espace dans lequel évolue les différents personnages ne fait jamais qu'un avec eux. Jamais ne ressent-on le trouble obsessionnel de chacun. Le problème est bêtement narratif. Aucune évolution, juste un parcours pré-défini de ces marionnettes interprétées avec force mais sans face cachée. Les rares scènes de violence ne sont précédées que par une dispute. L'exaltation vertigineuse dans laquelle on aurait aimé se plonger n'arrive jamais. Canalisée dans sa limousine, la mise en scène de "Cosmopolis" brillait, laissant la chair humaine se contracter dans un espace réduit, laissant place à un dialogue alimenté par une certaine claustrophobie avant d'exploser en trouvant dans sa dernière partie une libération du récit et des personnages dans un milieu hostile, contre point parfait du grand espace vis à vis de l'intérieur d'un véhicule.
    Dans les villas de Hollywood, Cronenberg n'a plus rien à filmer, si ce n'est, comme la preuve d'un premier degré tellement flagrant d'hommage au reste de sa filmo, des scènes fantomatiques.
    Cronenberg s'attaque à l'esprit plutôt qu'à son épicentre, le cerveau. Un organe qu'il rendait tellement plus vivant par le passé en ne filmant, que par le biais d'un visage apeuré, l'homme face à sa propre constitution. Un art du matériel, premier degré en ascension de la graduation de l'imaginaire du spectateur. Une osmose que "Maps to the Stars" n'atteint jamais, et qu'il n'essaie même pas d'atteindre.
    Ce 21 mai 2014, Cronenberg a troqué le fluide contre l'esprit. Le matériel contre l'immatériel. Si c'est un mal, c'est justement parce que le génie canadien n'est pas fait pas pour ça. Ou plus explicitement en référence au poème répété encore et encore durant le film, la liberté contre l'enfermement.
    titicaca120
    titicaca120

    390 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2014
    un film décapant sur la décadence du monde du show business.
    des gens névrosés , imbus de leurs personnes, pas dans la vraie vie,
    avec des prestations grandioses de Mia Wasikowska et Julianne Moore.
    je l'ai vu en VO ce qui donne encore plus de force aux scènes fortes du film.
    11voltaire
    11voltaire

    3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2014
    Palme d'or pour Julianne Moore : c'est amplement mérité !
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    14 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2014
    Un film sur le milieu hollywoodien avec tous ses travers et des personnages complètement barges et superbement bien joués. Le temps d'installer tout ce petit monde et ça part dans tous les sens entre névrose, jalousie, possessivité, rejet, et criminalité. Tout cela nous surprend tout en nous dérangeant forcément. Donc c'est déjà un peu gagné tout en nous laissant perplexe.
    sararemi
    sararemi

    6 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2014
    désolée d'avoir mis cette note mais franchement ça ne valait pas plus à mon humble avis. C'est une oeuvre dérangeante et moi elle m'a dérangée! tellement dérangée que je suis partie avant la fin !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 mai 2014
    on va voir les films de cronenberg pour l atmosphere qui s en degage; et ca en vaut la peine... dommage que rien de plus ne nous marque. le souhait affiche de critiquer le monde hollywoodien reste tres superficiel et largement contestatble: trop leger... dommage que ca se repete en aussi peu de temps (cosmopolis est encore trop recent)
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2014
    bof ce fut tellement repossant que je pense qu'il me manque un bout j'ai pas tout compris sauf que c'est nul..bravo cannes.
    antony Z.
    antony Z.

    73 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mai 2014
    Mon sentiment est celui de la déception quant à la richesse du thème traité! J'attendais un film noir sur les dessous d'Hollywood mais surtout avec de la pertinence et pourquoi pas un scénario assez abouti. David Cronenberg semblait être le candidat idéal pour présenter un film réussi et captivant. Mais au final, pour ma part, seul la prestation remarquée de Julianne Moore est à retenir. Certes, les dessous des paillettes sont très sombre mais les différentes histoires sont trop excessive !! C'est même un grand n'importe quoi ! C'est dommage, ça nuit au film et à son scénario trop extrême qui ne tient pas vraiment debout.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 mai 2014
    Complètement surréaliste, le message véhiculé passe tout de même mais suscite un peu trop de questions sans vraiment donner de réponses.
    ouadou
    ouadou

    85 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2014
    Fan de la première du cinéaste canadien, j'assiste désespéré à sa descente vertigineuse depuis A dangerous Method où on avait déjà une interprétation lourdingue et hystérique, Cosmopolis semblait toucher le fond... Et non...
    Voilà cet horrible nanan avec Julianne Moore et ses amis qui en font des tonnes, Pattison semble être de plus en plus transparent, en même temps il joue 10 minutes.
    On dirait du sous lynch fabriqué par un apprenti cinéaste. Comment Cronenberg peut il monter ce plan avec le feu numérique au bord de la piscine, on se croirait dans un téléfilm fauché.
    Map to the Stars ressemble à un pilote raté d'une série qu'on ne verra jamais sur le revers de la médaille d'hollywood.
    Cannes a tué cronenberg qui a oublié sa fougue et semble faire uniquement ce que la presse qui l'a encensé bien tard attend de lui.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top