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    Maps To The Stars
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    3,1
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    438 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 juin 2014
    J'ai définitivement décroché lorsque Cronenberg nous montre Julianne Moore pétant bruyamment sur ses toilettes, porte ouverte, avec son assistante à 2 mètres.
    sarah p.
    sarah p.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Le film nous donne l’impression que le monde d’Hollywood est un monde tout petit, où tout le monde se connaît. Au delà de ce microcosme, Cronenberg traite plusieurs sujets. Il nous parle de la folie des stars, la volonté de reconnaissance quitte à en perdre son amour-propre et les problèmes de drogues omniprésents dans le cinéma. Bien que le monde déchu des stars d’Hollywood soit la base du film, le réalisateur aborde un thème beaucoup plus complexe, celui du secret. Les secrets que l’on cache au sein d’une famille et qui dévore chaque membre de l’arbre familiale de génération en génération. Il nous parle des relations interfamiliales, des rapports entre parents et enfants, du rejet de l’enfant face à notre ambition ou encore de l’inceste. Maps To The Stars nous montre l’envers du décor, une fois que les portes des villas des stars se ferment, que reste-t-il, quel secret se cache derrière ses murs ?

    Le jeu d’acteur n’est que accessoire ici. Je ne sais pas si Julianne Moore méritait vraiment son prix. Je ne trouve pas que ce soit elle qui fasse la force du film, bien qu’elle campe très bien son personnage d’actrice dépressive et toxico. Les acteurs passent un peu inaperçu dans cette histoire. Seule, peut-être, Mia Wasikowska se détache du lot. Elle est, pour moi, le personnage principal de ce film et l’histoire s’enroule autour de cette fille mystérieuse, débarquée de nulle part. L’actrice arrive très bien à jouer l’ambiguïté de son personnage. Cependant, elle ne nous surprend pas dans ce rôle, qui ressemble à un personnage qu’elle avait déjà incarné, celui d’India dans le film Stoker.

    Je vous conseille donc Maps To The Stars non pas pour les acteurs mais pour l’histoire, les thématiques et les questions que l’on se pose à la fin du film sur le rapport aux non-dits et comment ils nous détruisent. Ce film ne vous laissera pas indifférent.
    SParadigme
    SParadigme

    32 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    On reconnaît très nettement la patte du maître Cronenberg dans ce film sinistre au possible... Aucun personnage, aucune situation ne prête à l'optimisme ou à une quelconque lueur d'espoir. Un mise en scène impeccable, le tout est très bien filmé et servi par des acteurs excellents ! Bien que loin d'être son meilleur film, le réalisateur canadien nous livre tout de même une très bonne œuvre.
    Yves G.
    Yves G.

    1 496 abonnés 3 513 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Je suis allé voir hier soir à la dernière séance "Maps to the stars" avec beaucoup d'a priori.
    D'un côté l'enthousiasme de Ulysse (le petit bonhomme de Télérama) et d'Isabelle (la meilleur critique cinématographique sous le 45ème parallèle).
    De l'autre les réticences d'Aurélie et de Brigitte qui me l'avaient fermement déconseillé.
    Et aussi mon peu de goût pour le cinéma de Cronenberg, dont je reconnais le talent, sans partager les délires. J'aime ses films les plus conventionnels (A History of Violence, Les Promesses de l'ombre, A dangerous method) tandis que ses films authentiquement cronenbergiens m'ont laissé sur le bord du chemin (Cosmopolis, Spider, Crash). Ce qui n'est pas bon signe

    Cet opus-là du maître canadien est, pour moi, tombé du mauvais côté.
    Cronenberg filme la Cité des fanges (comment Libé fait-il pour trouver à chaque fois des titres aussi géniaux ?!), un Hollywood mortifère, aussi ensoleillé que crépusculaire (on pense à Sunset Boulevard ou à Mulholland Drive - les films, pas les rues).
    Tous les personnages y sont unanimement barges : Julianne Moore (une GMILF de 54 ans !) ne réussit pas à solder sa relation avec sa mère, John Cusack interprète un psy-gourou déjanté, Robert Pattinson conduit une limousine ahuri (le conducteur ! pas la limousine !), Mia Wasikowska est celle par qui le malheur arrive, un Phœnix incestueux et vengeur.
    Pas un pour récupérer l'autre.
    Cet océan de noirceur dépeint sans subtilité nous fait lentement plonger dans un gouffre d'ennui.
    Je me suis endormi sans que les mols rebondissements d'un scenario poussif ne réussissent à m'arracher de ma léthargie.
    Un NO GO !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 juin 2014
    dans le match Maps to The stars vs The Canyons de Paul Schrader, aucun vainqueur déclaré, le spectateur lui est KO par ennui au bout d'une heure de film dans les 2 cas. A choisir je trouve que The Canyons est tout de même moins surfait que son jumeau présenté à Cannes à grande pompe, avec force stars et mult promotion quand the canyons n'a eu le droit qu'à une sortie restreinte et un budget très chiche. Bref entre le poucet et le mastodonte, le résultat est quasiment similaire.

    Si vous voulez une vraie peinture au vitriole de Hollywood et une critique acide des gosses de riche de LA, relisez sans plus attendre les premiers ouvrages de Brett easton ellis, que ce soit Zombie ou Less than Zero, ou encore voir l'adaptation au cinéma de ce dernier roman avec une prestation stupéfiante de Robert downey Jr (dans sa prime jeunesse).
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Bon film de Cronenberg. Plus accessible que son dernier Cosmopolis. Une virée a Hollywood , pays du cinema mais apparemment aussi pays des troubles d'angoisses , du stress post traumatique de l'inceste et de l'amoralite. C'est bien réalisé et assez prenant - et que dire du casting , assez ouf. Chaque perso est relie aux autres par un point commun : il sombre de plus en plus vers la folie. Quelques longueurs
    et platitude mais globalement j'ai pas mal aime.
    yzabelle
    yzabelle

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2014
    Génial scénario servi par des acteurs formidables !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 mai 2014
    Avec Map to the stars, David Cronenberg revient à son meilleur après Cosmopolis qui péchait un peu par sa lenteur exaspérante. Sa dernière création mélange brillamment thriller et drame avec un brin de fantastique. Cronenberg revient ainsi à ses premiers amours, et ne néglige pas, comme dans l’ensemble de sa filmographie, une certaine critique sociétale. Pour réussir son pari, il s’entoure de Robert Pattinson, qui arrive à nous faire oublier qu’il fut la star de Twilight, pour leur seconde collaboration, de Julianne Moore, récompensée par le prix d’interprétation féminine cette année à Cannes, et de Mia Wasikowska (révélé dans le Alice au pays des merveilles de Tim Burton), qui aurait sans doute mérité davantage cette reconnaissance. Mais on le sait, Cannes est frileux.

    Un psychothérapeute en vogue, Stafford Weiss (John Cusack) gère d’un main de fer sa famille. Sa femme est la manageuse de leur fils, Benjie (Evan Bird), un enfant star de treize ans sur qui la production fait pression après qu’il est dû subir une cure de désintoxication. Leur fille, Agatha (Mia Wasikowska) vient d’être libéré de l’asile psychiatrique où elle fut internée après avoir mis le feu à l’ancienne maison de ses parents. Cette dernière, par l’intermédiaire d’un chauffeur, Jérôme Fontana (Robert Pattinson), s’introduit au service d’Havana Segrand (Julianne Moore), star perturbée consultant Stafford Weiss.

    Map to the stars bénéficie de plusieurs niveaux de lectures. C’est d’abord, une critique acerbe de la caste hollywoodienne, de ses satisfactions malsaines, et de ses mensonges éhontés. Les producteurs de Benjie se moque bien que le gamin se bousille la santé, tant qu’on ne le sait pas publiquement. Stafford Weiss, psychiatre de toutes les stars, cachent des secrets bien plus lourds que ce qu’il traite dans son cabinet, avec des méthodes, disons-le, assez perverses et dé couple a abandonné leur fille à son sort sans-même prendre de ses nouvelles. Havana Segrand possède un ego démesuré et ne supporte plus la décrépitude de sa carrière, et le fait payer à ses gens de maisons qu’elles nomment « esclaves » et traite comme tels. Enfin, Jérôme Fontana, scénariste à ses heures perdus, entretient une idylle avec Agatha, simplement pour s’en inspirer, lui faisant miroiter un amour sincère. Agatha, la seule à être diagnostiquée comme malade, est pourtant la plus sensible et la plus humaine de la troupe. L’inéluctabilité seule de cette déchéance ambiante, réveille en elle des pulsions nihilistes. Son père est certainement le plus antipathique. Citant le Dalaï-lama à tout rompre, son positionnement zen reste une façade pour un caractère fondamentalement violent, un peu à l’image de la société théocratique et féodale sévissant au Tibet, et dont l’on fait peu la « mauvaise » pub en Occident. L’immolation de sa femme sonne comme le comble du comble. Cronenberg met une gifle à tous ses vendeurs de développement personnel, ses gourous du dimanche. Une claque jubilatoire. John Cusack est tout simplement sidérant tant sa colère sourde transpire à l’écran.

    Cronenberg maquille le tout d’un vernis de fantastique. C’est une idée sublime pour représenter ce monde de fantasme. Tous les personnages sans exception ont des visions d’outre-tombe. Havana est hantée par le fantôme de sa mère incestueuse tandis que Benjie semble poursuivie par un couple d’enfant dont on taira ici l’identité pour ne pas trop vendre la mèche. La frontière reste très mince entre des entités malveillantes et indépendantes et le simple reflet de leurs propre psyché. La violence est omniprésente sans jamais éclater, si ce n’est à la toute fin du film. Par le remarquable jeu des acteurs, et une mise en scène sobre et efficace, Cronenberg instille une sensation de malaise récurrente. La violence, est avant tout, celle symbolique, des faux-semblants. Après une interlude sanglante, ramenant le cinéaste aux sources, filmé sans fard, et avec bienveillance pour Agatha, le film se conclu sur un dénouement pensé comme un manifeste anarchiste. Comme si fuir pouvait être une Eluard , poète résistant, qui exaltait la vie, et l’engagement politique est constamment cité durant le film par Agatha à travers son poème La liberté dont je ne peux pas m’empêcher de citer quelques vers :

    « Sur mes refuges détruits
    Sur mes phares écroulés
    Sur les murs de mon ennui
    J’écris ton nom

    Sur l’absence sans désir
    Sur la solitude nue
    Sur les marches de la mort
    J’écris ton nom

    Sur la santé revenue
    Sur le risque disparu
    Sur l’espoir sans souvenir
    J’écris ton nom

    Et par le pouvoir d’un mot
    Je recommence ma vie
    Je suis né pour te connaître
    Pour te nommer

    Liberté"

    Une ode à la vie, et à la paix retrouvée, dont je ne suis pas sûr que nos héros est vraiment saisi le sens. Mais qui donne, par sa seule présence, répétée inlassablement, un cachet inestimable au film. Ce concluant sur ces dernières vers, le long-métrage réussit à donner une ineffable beauté au geste sans retour des deux adolescents. Face au mensonge, face au cynisme, face à la mascarade, au cycle ininterrompu de souffrance et de haine, ne sommes-nous libre que face à la mort ?

    Venez lire nos autres critiques sur :
    Zoé B.
    Zoé B.

    465 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Je le sais depuis "Peau d’Ane", Jacques Demy était très clair là-dessus : les enfants n’épousent pas leurs parents. Et voilà que David Cronenberg en rajoute une couche. Dans "Maps to the Stars", sorte de conte défait qu’il situe à Hollywood, il y va à son tour de sa mise en garde glaçante : Frères et sœurs, tenez vous tranquilles. Attention, danger ! C’est le grand message du film. Parce que pour le reste, l’argument marketing - le portrait au vitriol de la Mecque du cinéma, le regard sans appel que Cronenberg poserait sur la cité des rêves – tout ça est une blague, un raccourci hâtif à destination des journalistes. Assez commode au fond pour taguer leurs papiers après une projection cannoise qui les a laissés pour le moins décontenancés. Je trouve pour ma part la vision d’un Paul Schrader, dans le récent et sous-estimé "The Canyons", autrement plus intéressante. Mais si "Maps to the Stars" me déçoit autant, c’est que Cronenberg est sans doute le metteur en scène qui m’impressionne le plus. Par sa longévité, par la qualité incroyable de ses films, tous différents et pourtant cohérents, composant une œuvre absolument singulière de prototypes. Et surtout par la puissance de sa réalisation qui me laisse à chaque fois baba : "Spider", "Les Promesses de l’ombre" ou le très décrié "Cosmopolis" sont quelques exemples de cette maestria confondante, cette puissance de feu à mon avis sans équivalent. Mais qu’on se rassure, Cronenberg n’a pas perdu la main. Si "Maps to the Stars" est indéniablement plus sage, assez facheusement marqué aussi par son image numérique, il y a tous ces plans qui continuent de signer la suprématie du maitre. Cette façon redoutable de doser les durées, de mettre en scène le dérèglement, d'assumer la violence… Mais le script de Bruce Wagner - scénariste de "Wild Palms" et de "Freddy, les griffres du cauchemar" (!) - très habile pourtant dans sa mise en place, ne s’épargne aucun cliché. Collage en apparence idéal des grandes obsessions de Cronenberg, la chair et la psyché, il peine à faire autre chose que payer son tribut. Reste heureusement la captivante Mia Wasikowska.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2014
    (...)
    Récit original, alors qu’on pourrait le croire adapter d’un livre, Maps To The Stars se veut critique et acide. La plaine californienne est décortiquée et repoussée dans ses pires retranchements avant de poser un regarde inquisiteur sur son fonctionnement. L’exagération de certains passages et les clichés de certaines séquences contribuent à cet effet mais n’égratigne en rien le film. C’est un tout avec l’étampe Cronenberg qui ressort finalement de l’ensemble.
    On retrouve en premier lieu sa patte. Une atmosphère précise où la place donnée aux personnages est très importante. Ici, aucun doute, à ce titre, le montage son, épuré dans son design comme dans sa forme (le film est très peu habillé d’un montage sonore), donne une importance XXL aux dialogues. Ces derniers sont parfois les seuls monuments de l’espace sonore. Petit détail invisible, qui inconsciemment apporte une note précise, note paradoxalement esthétique.
    C’est donc par le jeu et la direction d’acteurs que Maps To The Stars trouve sont principal intérêt. Son histoire bien sûr, n’est pas en reste mais la partition que joue chaque comédien est d’une importance non négligeable dans la réussite du film. Julianne Moore à ce titre, nous offre une fois de plus une interprétation gigantesque dans les différents tons qu’elle tend à employer pour composer un personnage totalement névrosé, star quinquagénaire, (...)
    La mise en scène n’est bien sûr pas en reste puisque qu’au pays où tout brille de mille feux, illuminé par le soleil californien, c’est bien sûr la noirceur qui finit par ressortir gagnante de cette exposition. Toujours aussi habile avec sa caméra, la mise en scène de Cronenberg séduit autant que par le passé, les fans de la première heure seront peut-être encore plus exigeants alors que les autres trouveront certains passages qui tournent à vide. Se serait se tromper sur la vraie valeur du film, plus satirique que provocatrice, il n’efface en rien sa charge négative et le côté détracteur de son auteur est bel et bien présent.
    (...)
    Si le retour du réalisateur se fait par une petite porte, le film, malgré son budget réduit (certains effets spéciaux, décors en patissent), n’en est pas moins efficace et sa charge critique relativement élevée. Le ton, noir profond, dénonce le « nouvel » Hollywood et son fonctionnement en le dépeignant dans un ensemble cruel et suffisant. Si l’exagération de David Cronenberg à porter son regard très négatif sur le star system peut sembler extrême c’est pour finalement mieux décortiquer dans leurs fors intérieurs la psychologie des personnages qu’il tend à observer. Ce qui est déjà la marque d’un retour en force.
    sylvie G.
    sylvie G.

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2014
    Là où il est question d'esprits (très) perturbés dans un environnement plutôt magnifique , Cronenberg sait nous faire ressentir un malaise extrême. L'inceste (imaginaire ou réel) est au coeur de Maps to the stars dont il traite les conséquences avec un certain brio. Julianne Moore (grande actrice dans tous les films) est entouré de comédiens parfaits chacun dans leur rôle. Un bon film mais l'enthousiasme manquait.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Cette fois Cronenberg a décidé de nous emmener au pays merveilleux des acteurs et actrices d’Hollywood. Paillettes et Xanax au menu.
    Direction les grandes villas, les caravanes de tournage, le cuir de la limousine de Pattinson, les piscines à débordement et les névroses bien ancrées.
    Cronenberg est gentil, il essaye de nous faire croire qu’il nous emmène simplement voguer aux travers des méandres de la célébrité, mais que nenni, son Hollywood tout clinquant n’est en fait qu’un prétexte pour traiter d’un tout autre thème…. Suspense…
    Suite de la critique en cliquant sur le lien
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Maps to the stars est une satire entière sans complexes qui ne laisse pas place à l’ennui. Porté par un casting intergénérationel de qualité, il démystifie le glamour pour laisser place à la malédiction d’Hollywood sans sombrer dans le pathos. Note : 7,9/10
    Le Blog Du Cinéma
    Le Blog Du Cinéma

    109 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2014
    « Une satire entière, sans complexes, qui ne laisse pas place à l’ennui. » Christelle
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 mai 2014
    David Cronenberg n'a pas tort : on a besoin de cartes pour se repérer dans ce royaume d'âmes perdues et déboussolées, dont les frasques paraissent aussi terrifiantes que comiques. Etranges contrées où la liberté aliène et l'argent opprime.
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