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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 novembre 2007
A la fois magnifique, magique, somptueux, envoutant, magistral, ce film, petit bijou d'animation vous fera revez tout au long des ses 2h. Emerveillement garanti avec un tel chef-d'oeuvre ...
fantasia est une sacrée reussite toute les musiques sont parfaitement accompagné par les dessin animé et les sujets qu'ils traitent, personnellement le passage des dinosaures est mon préférer.
Un beau disney, original... quelques passages un peu trop longs pour les enfants. La séquence de "la dance des heures" avec le ballet des animaux reste une des meilleures.
Un dessin animé comme on en verra plus.Loin des Shrek et compagnie d'aujourd'hui, Fantasia est une gigantesque fresque sur fond de musique classique.Plaisir et émerveillement total;à montrer pour toutes les générations à venir.Comme quoi la pointe de la technologie visuelle ne fait pas les meilleurs dessins animés; Fantasia en est la preuve.
Pas fan de musique classique, et encore moins fan de la narration non diégétique. C’est dire si « Fantasia » n’était pas fait pour moi. En gros, à part le moment où le sorcier Mickey s’efforce de faire danser ses balais, je me suis fait chier comme un rat mort. Mon avis est donc à prendre avec des pincettes par rapport à ce que je vous ai dit de moi, mais par contre, si vous vous reconnaissez un temps soit peu dans ce portrait, je pense que la meilleure chose à faire est de ne pas se risquer à ce « Fantasia ».
Un film où le génie musical cohabite avec le génie de l'animation. L'on prouve à travers Fantasia que le cinéma n'a nul besoin de paroles. La beauté de l'image et de la musique tout simplement.
La rencontre au sommet de la musique classique et du dessin animé de qualité : un chef d'oeuvre intemporel. Bien sur , certaines sequences de ce "film à sketch" me touchent plus que d'autres , mais l'ensemble est formidable. Ce fut la sequence des dinosaures qui fit trouver sa vocation à Philippe Taquet , le plus célébre paleontologue français. La scéne du "Sabbat" est assez terrifiante et loin de l'image "gentille" des Disneys traditionnels. A voir et à revoir.
Certes Fantasia représente une prouesse technique, une idée de génie et une révolution dans le cinéma danimation. Cest une véritable uvre dart et non un divertissement ou un « film pour enfants ». Malheureusement, Fantasia ennuie terriblement et manque de lun des ingrédients majeurs de la magie Disney : un scénario.
Un conte musical qui reprend de grands thèmes classiques avec une mise en image parfois féérique, "pédagogique", mythique (la scène des balais laveurs de l'apprenti sorcier Mickey) et toujours superbe! Il faut aimer la musique classique car ce sont quasiment 2h non stop que nous propose Fantasia. Une très belle mise en image onirique qui reste intemporelle. A voir...mais surtout à écouter!
Je dois l'avouer, ce Disney est très loin d'être mon préféré. Je ne suis pas allergique à la musique classique, mais bon : deux heures pour un dessin animé, surtout comme celui-là, peuvent passer très lentement. Des scènes restent cependant très célèbres, comme "L'apprenti sorcier" (qui n'a pas déjà vu Mickey dans sa tenue de magicien?) ou plaisantes à regarder, comme "La symphonie pastorale", revisitée par les créatures mythologiques, et "La danse des heures", avec ses hyppopotames raffinés. Mais c'est d'un point de vu technique que le film impressionne : la synchronisation du son et de l'image est tout à fait maîtrisée, ainsi que l'animation, qui reste, comme d'habitude, parfaite. Je comprend donc l'intérêt qu'a pu susciter ce film auprès du public, et son honneur est sauf.
Sous la direction du maestro Leopold Stokowski, lOrchestre Symphonique de Philadelphie prend place. Une voix off détermine les types de musiques que lon rencontrera au cours dun copieux programme : la narrative, lillustrative et celle qui nexiste que pour elle-même. "Fantasia" constitue un parfait éveil à la Grande Musique pour les enfants qui ont déjà un minimum de culture et surtout de curiosité. Inutile de le montrer aux autres, ça tournera rapidement au désastre avec une flopée rageuse de : "Cest chiant, y se passe rien" En clair, ça serait donner de la confiture à des cochons si vous me passez lexpression. Déjà de par la durée il peut rebuter (on dépasse lheure cinquante tout de même), par sa forme aussi. Indépendantes à lexception des deux dernières qui se marient étonnamment bien, les séquences senchaînent avec simplement un bref mais nécessaire exposé sur ce qui va suivre. Devenu anthologique, le passage sur lApprenti sorcier de Paul Dukas arrive peut-être un peu tôt (après vingt-cinq minutes). Comme annoncé, il démontre ce quest une musique narrative. Lexercice savère passionnant et on prête autant attention à la musique quaux images ! A contrario, lorsquelle sert daccompagnement comme pour le segment olympien sur la Symphonie pastorale de Ludwig van Beethoven, on peut se laisser distraire par lhistoire qui nous est racontée. Surtout que la mythologie y est fidèlement retranscrite (on y croise Zeus, Eole, Dionysos, des chevaux ailés, des centaures ). Jai quand même trouvé bizarre que les mâles centaures repartent tous avec une femelle de leur couleur alors quil y avait lembarras du choix Sûrement pour ne pas choquer lassistance (rappelons quen 1940 les Etats-Unis appliquaient la ségrégation). Le ballet dhippopotames ma amusé. Le dessin manque parfois de détail mais il y a une énorme recherche visuelle et la technique suit. Un long-métrage imposant qui traduit en images quelques beaux airs classiques (ce quon appelle synesthésie).