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Si "L’Oranais" pêche par un classicisme parfois convenu et une dramaturgie sans grande innovation, il n’en est pas moins admirable, peut-être même salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le réalisateur brasse tous ces thèmes avec un sens du détail impressionnant, filmant ses figures masculines avec pudeur et grandeur, comme Ettore Scola dans "Nous nous sommes tant aimés".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"L’Oranais" ne s’avance pas comme une fresque historique à intention exhaustive sur un homme et un pays, mais plutôt comme une évocation de la mémoire de ceux-ci – une mémoire forcément meurtrie, subjective, lacunaire sans doute par choix, et dont il nous fait appréhender les troubles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le réalisateur évite le manichéisme, mais pas toujours la confusion dans son scénario, ni la grandiloquence dans sa mise en scène, abusant notamment un peu de la musique dramatique. Une plus grande sobriété d’effets n’aurait pas nui à son souffle épique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Trop long, "L'Oranais" n'est pas un film sans défaut. Plus que sa mise en scène insuffisamment maîtrisée, on retiendra la force de son propos politique (...) et les performances des acteurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) Il passe sur cette fresque ambitieuse un souffle épique incontestable. (...) Le film pâtit cependant d'un certain manque d'incarnation et d'une narration trop généreuse virant parfois à la dispersion.
Trente ans de l'histoire de l'Algérie en deux heures : c'est le pari ambitieux qui sous-tend le film de Lyes Salem, mais qui, malheureusement, n'accouche que d'un film fourre-tout, sans cadence.
Le Parisien
(...) "L'Oranais" est une oeuvre aussi importante que politiquement incorrecte.
TF1 News
Sur un sujet éminemment sensible, le cinéaste parvient à livrer un film passionnant, sincère, traité avec finesse et sans concession.
20 Minutes
(...) un film intellectuellement honnête et fort instructif sur une période méconnue de l'histoire du pays.
L'Express
Un souffle romanesque, un regard politique : une réussite.
L'Humanité
De grandes qualités romanesques, doublées d'un sens certain de la mise en scène.
Le Journal du Dimanche
Le film dresse le portrait subtil et néanmoins épique d’un pays fraîchement décolonisé.
Libération
Si "L’Oranais" pêche par un classicisme parfois convenu et une dramaturgie sans grande innovation, il n’en est pas moins admirable, peut-être même salutaire.
Positif
La richesse romanesque du scénario, avec les destinées divergentes des deux amis, fait le prix de ce film inquiet d'où sort une colère retenue.
Télérama
Le réalisateur brasse tous ces thèmes avec un sens du détail impressionnant, filmant ses figures masculines avec pudeur et grandeur, comme Ettore Scola dans "Nous nous sommes tant aimés".
Critikat.com
"L’Oranais" ne s’avance pas comme une fresque historique à intention exhaustive sur un homme et un pays, mais plutôt comme une évocation de la mémoire de ceux-ci – une mémoire forcément meurtrie, subjective, lacunaire sans doute par choix, et dont il nous fait appréhender les troubles.
La Croix
Le réalisateur évite le manichéisme, mais pas toujours la confusion dans son scénario, ni la grandiloquence dans sa mise en scène, abusant notamment un peu de la musique dramatique. Une plus grande sobriété d’effets n’aurait pas nui à son souffle épique.
Le Monde
Trop long, "L'Oranais" n'est pas un film sans défaut. Plus que sa mise en scène insuffisamment maîtrisée, on retiendra la force de son propos politique (...) et les performances des acteurs (...).
Première
(...) Il passe sur cette fresque ambitieuse un souffle épique incontestable. (...) Le film pâtit cependant d'un certain manque d'incarnation et d'une narration trop généreuse virant parfois à la dispersion.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Les Fiches du Cinéma
Trente ans de l'histoire de l'Algérie en deux heures : c'est le pari ambitieux qui sous-tend le film de Lyes Salem, mais qui, malheureusement, n'accouche que d'un film fourre-tout, sans cadence.
Ouest France
Dommage qu'une mise en scène au ralenti ne parvienne pas à donner du rythme à ce récit.
La Voix du Nord
Surjoué et téléfilmé.