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"La guerre des étoiles" ressemble à un paradis sombre et pourtant étincelant, traversé de forces puissantes, où l'on croise Carrie Fischer, fantôme splendide, princesse et mythe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
De ses premières minutes virevoltantes à ses ultimes moments teintés d'émotion, le huitième opus de la saga des Skywalker ne va laisser personne indifférent.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Un Dieu, on ne sait pas – une bonne étoile sans doute, comme celle qui captive le regard d’un kid anonyme mystérieusement invité dans le finale de ces Derniers Jedi. Plus belle conclusion jamais offerte à un épisode de Star Wars : dickensienne, spielbergienne, gonflée de l’espoir des petits garçons qui comme Rian ou J. J. ont senti, un jour, l’appel des étoiles.
POUR : "Les Derniers Jedi" se révèle être un film glaçant, dont la narration s'articule autour d'une poursuite spatiale de deux heures dans l'esprit de "Mad Max : Fury Road".
Nœud dramatique central, les destins de Rey et Kylo sont un vecteur d’empathie formidable autant qu’une manière, pour Johnson, d’affirmer ses thèmes fétiches, sa patte d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Par ses choix assumés, Les Derniers Jedi renouvelle le mythe Star Wars. Quand on connait le poids (commercial et artistique) de la licence, ce n'est pas un mince exploit.
On y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès de la saga mais surtout un vrai renouvellement du genre après tout de même 8 films dans l’univers de la Force.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Face à la flamboyance de la mise en scène de Rian Johnson, à la force nouvellement acquise de ses personnages, à la redoutable efficacité de ses moments de suspense et à l'originalité de son approche, comment ne pas s'enthousiasmer ?
Si Les Derniers Jedi était un gâteau au chocolat, on en savourerait la première bouchée onctueuse sans trop réfléchir, des étoiles plein les yeux… avant de réaliser qu’on a un peu mal au cœur au moment de vider l’assiette. Verdict : savoureux, mais un brin bourratif.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Bien qu’il en ait l’occasion à plusieurs reprises, Rian Jonhson, déjà promu superviseur d’une future trilogie, n’ose pas renverser la table. Mais ce que le film se refuse en audace et rebonds scénaristiques, il l’impose en revanche en profondeur et en humanisme.
L'épisode VIII de la saga initiée il y a quarante ans par George Lucas tient ses promesses. Le jeune Rian Johnson signe un film dans la veine de L'Empire contre-attaque, et plonge les spectateurs dans un bouillonnant space opera, où l'humour et l'action le disputent à l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le spectacle, foisonnant et généreux, déborde d’idées et de surprises, réinvente le bestiaire (...) et fait preuve d’un humour absurde qui relâche la tension le temps de séquences complètement décalées.
Si le film est un peu moins enthousiasmant que "Le Réveil de la Force" et que "Rogue One", premier des trois films dérivés découvert l’an dernier, il en met tout de même plein la vue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si le film respecte l’épais cahier des charges – batailles de vaisseaux spatiaux, duels au sabre laser, bestioles bizarres, robots héroïques -, Rian Johnson trouve sans cesse de nouvelles idées de mise en scène pour sortir de la routine «Star Wars» (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L’épisode VIII, signé Rian Johnson, ne va pas manquer d’enflammer la planète cinéma à partir de ce mercredi 13 décembre. Et les fans devraient apprécier ce retour, aussi efficace que passionné, aux thèmes fondateurs de la saga intergalactique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Hormis quelques points marketing qui font ressembler l’île où s’est retiré Luke Skywalker à un parc d’attractions geek (avec l’invention navrante des « porgs », petits poulets kawaï purement décoratifs), cet épisode 8 progresse selon un arc narratif d’une lumineuse simplicité.
Pensé comme le miroir du "Réveil de la Force", "Les Derniers Jedi" lui est esthétiquement supérieur, et séduit notamment grâce à un puissant final. Mais le film pêche par un manque flagrant de rythme et d’ambitions narratives.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Abrams misait sur l’identification émotionnelle aux personnages, Johnson filme des archétypes shakespeariens, il cherche une emphase tragique, entre les ficelles épaisses du script, qu’il assaisonne d’un humour très camp.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La question cruciale reste toutefois, a fortiori dans le cadre hypernormé d’une franchise, celle de la part tout à la fois de liberté et de génie nécessaires au renouvellement d’une saga (...). La réponse qu’apporte à cette question le duo Johnson-Bergman, si elle n’est pas indigne, n’est pas des plus enthousiasmantes non plus.
Alors, heureux ? Oui… mais non. Car le film est long, très long. Epouvantablement long. Surtout lorsque Luke consent à entraîner Rey sur son île déserte…
La critique complète est disponible sur le site VSD
Une redite narrative qui expose le projet à son souci majeur : son incapacité intrinsèque à prendre des risques. Le spectacle n’en demeure pas moins généreux et foisonnant, entièrement construit à la cause de son public qui ne souhaite pas dévier mythe originel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Derniers Jedi appartient à l’ère de l’alcoolisme culturel, celui qui ne cesse de crier « c’est le dernier ! » mais qui prévoit de recommencer demain. C’est ce qui rend le résultat un peu lâche, pathétique, et surtout à côté de la plaque : on attendait Star Wars, voilà qu’on nous sert L’Histoire sans fin.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) cet appel au renouveau masque mal le manque de singularité du film, qui s’en remet à des petits pas de côté anecdotiques (...) plus qu’il ne chamboule véritablement le fond de l’affaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CONTRE : (...) là où le film d'Irvin Kershner s'appuyait sur des personnages extrêmement bien caractérisés dans l'opus original, Johnson doit se contenter de nouveaux héros qui font bien pâle figure face aux anciens, quel que soit le camp dans lequel ils officient.
Bande à part
"La guerre des étoiles" ressemble à un paradis sombre et pourtant étincelant, traversé de forces puissantes, où l'on croise Carrie Fischer, fantôme splendide, princesse et mythe.
Closer
Du grand spectacle et des combats épiques. On en redemande !
IGN France
De ses premières minutes virevoltantes à ses ultimes moments teintés d'émotion, le huitième opus de la saga des Skywalker ne va laisser personne indifférent.
Les Inrockuptibles
Un Dieu, on ne sait pas – une bonne étoile sans doute, comme celle qui captive le regard d’un kid anonyme mystérieusement invité dans le finale de ces Derniers Jedi. Plus belle conclusion jamais offerte à un épisode de Star Wars : dickensienne, spielbergienne, gonflée de l’espoir des petits garçons qui comme Rian ou J. J. ont senti, un jour, l’appel des étoiles.
Mad Movies
POUR : "Les Derniers Jedi" se révèle être un film glaçant, dont la narration s'articule autour d'une poursuite spatiale de deux heures dans l'esprit de "Mad Max : Fury Road".
Télé Loisirs
Un récit et une réalisation maîtrisées de bout en bout. Un grand film !
20 Minutes
Rian Johnson a gagné son pari : les fans vont bien vibrer.
CNews
A la caméra et au scénario, Rian Johnson fait preuve d’une hardiesse réjouissante, surtout dans la destinée des personnages clés.
CinemaTeaser
Nœud dramatique central, les destins de Rey et Kylo sont un vecteur d’empathie formidable autant qu’une manière, pour Johnson, d’affirmer ses thèmes fétiches, sa patte d’auteur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Par ses choix assumés, Les Derniers Jedi renouvelle le mythe Star Wars. Quand on connait le poids (commercial et artistique) de la licence, ce n'est pas un mince exploit.
Elle
L’intrigue est clairement posée, les personnages attachants et l’ambiance fidèle aux valeurs de la saga culte.
Filmsactu
Cette suite du Réveil de la Force tient toutes ses promesses et propose quelques-unes des plus belles séquences de l'histoire de la saga.
GQ
On y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès de la saga mais surtout un vrai renouvellement du genre après tout de même 8 films dans l’univers de la Force.
L'Ecran Fantastique
Face à la flamboyance de la mise en scène de Rian Johnson, à la force nouvellement acquise de ses personnages, à la redoutable efficacité de ses moments de suspense et à l'originalité de son approche, comment ne pas s'enthousiasmer ?
LCI
Si Les Derniers Jedi était un gâteau au chocolat, on en savourerait la première bouchée onctueuse sans trop réfléchir, des étoiles plein les yeux… avant de réaliser qu’on a un peu mal au cœur au moment de vider l’assiette. Verdict : savoureux, mais un brin bourratif.
La Voix du Nord
Bien qu’il en ait l’occasion à plusieurs reprises, Rian Jonhson, déjà promu superviseur d’une future trilogie, n’ose pas renverser la table. Mais ce que le film se refuse en audace et rebonds scénaristiques, il l’impose en revanche en profondeur et en humanisme.
Le Figaro
L'épisode VIII de la saga initiée il y a quarante ans par George Lucas tient ses promesses. Le jeune Rian Johnson signe un film dans la veine de L'Empire contre-attaque, et plonge les spectateurs dans un bouillonnant space opera, où l'humour et l'action le disputent à l'émotion.
Le Journal du Dimanche
Le spectacle, foisonnant et généreux, déborde d’idées et de surprises, réinvente le bestiaire (...) et fait preuve d’un humour absurde qui relâche la tension le temps de séquences complètement décalées.
Le Parisien
Si le film est un peu moins enthousiasmant que "Le Réveil de la Force" et que "Rogue One", premier des trois films dérivés découvert l’an dernier, il en met tout de même plein la vue.
Les Fiches du Cinéma
Dans les mains du brillant Rian Johnson, ce huitième épisode est une ambitieuse épopée spatiale sur fond de réflexion sur la fatalité.
Libération
A rebours des enjeux économiques, Rian Johnson fait souffler in extremis un vent de dégagisme inhabituel sur «les Derniers Jedi».
Paris Match
Si le film respecte l’épais cahier des charges – batailles de vaisseaux spatiaux, duels au sabre laser, bestioles bizarres, robots héroïques -, Rian Johnson trouve sans cesse de nouvelles idées de mise en scène pour sortir de la routine «Star Wars» (...).
Première
Spectaculaire et impressionnant par son sens du drame, l'Episode 8 de Star Wars tient toutes ses promesses.
Télérama
L’épisode VIII, signé Rian Johnson, ne va pas manquer d’enflammer la planète cinéma à partir de ce mercredi 13 décembre. Et les fans devraient apprécier ce retour, aussi efficace que passionné, aux thèmes fondateurs de la saga intergalactique.
Cahiers du Cinéma
Hormis quelques points marketing qui font ressembler l’île où s’est retiré Luke Skywalker à un parc d’attractions geek (avec l’invention navrante des « porgs », petits poulets kawaï purement décoratifs), cet épisode 8 progresse selon un arc narratif d’une lumineuse simplicité.
Ecran Large
Pensé comme le miroir du "Réveil de la Force", "Les Derniers Jedi" lui est esthétiquement supérieur, et séduit notamment grâce à un puissant final. Mais le film pêche par un manque flagrant de rythme et d’ambitions narratives.
L'Obs
Abrams misait sur l’identification émotionnelle aux personnages, Johnson filme des archétypes shakespeariens, il cherche une emphase tragique, entre les ficelles épaisses du script, qu’il assaisonne d’un humour très camp.
Le Monde
La question cruciale reste toutefois, a fortiori dans le cadre hypernormé d’une franchise, celle de la part tout à la fois de liberté et de génie nécessaires au renouvellement d’une saga (...). La réponse qu’apporte à cette question le duo Johnson-Bergman, si elle n’est pas indigne, n’est pas des plus enthousiasmantes non plus.
Le Point
Plus original que Le Réveil de la Force, le film de Rian Johnson alterne réussites et fautes de goût.
Ouest France
Le film remplit le contrat avec son lot de scènes spectaculaires. Une dose d'humour en plus. Mais aussi de véritable surprises en moins.
VSD
Alors, heureux ? Oui… mais non. Car le film est long, très long. Epouvantablement long. Surtout lorsque Luke consent à entraîner Rey sur son île déserte…
aVoir-aLire.com
Une redite narrative qui expose le projet à son souci majeur : son incapacité intrinsèque à prendre des risques. Le spectacle n’en demeure pas moins généreux et foisonnant, entièrement construit à la cause de son public qui ne souhaite pas dévier mythe originel.
Chronic'art.com
Les Derniers Jedi appartient à l’ère de l’alcoolisme culturel, celui qui ne cesse de crier « c’est le dernier ! » mais qui prévoit de recommencer demain. C’est ce qui rend le résultat un peu lâche, pathétique, et surtout à côté de la plaque : on attendait Star Wars, voilà qu’on nous sert L’Histoire sans fin.
Critikat.com
(...) cet appel au renouveau masque mal le manque de singularité du film, qui s’en remet à des petits pas de côté anecdotiques (...) plus qu’il ne chamboule véritablement le fond de l’affaire.
Franceinfo Culture
Même si "Les Derniers Jedi" recèle encore des qualités éparses, le film n’est pas à la hauteur des attentes.
La Croix
Vivement l’épisode IX, qu’on en finisse !
Le Dauphiné Libéré
Un numéro attendu et qui permet surtout d'attendre le suivant.
Mad Movies
CONTRE : (...) là où le film d'Irvin Kershner s'appuyait sur des personnages extrêmement bien caractérisés dans l'opus original, Johnson doit se contenter de nouveaux héros qui font bien pâle figure face aux anciens, quel que soit le camp dans lequel ils officient.
Sud Ouest
Beau formellement, mais en boucle et creux.
Télé 7 Jours
Alors oui, il y a de belles images, mais, après son Réveil, cette fois, la Force faiblit.