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gizmo129
99 abonnés
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4,0
Publiée le 22 février 2016
On prend les mêmes et on recommence dans cette suite d'Indian Palace, sorti en 2012 et qui fut à l'époque une jolie surprise. La découverte du lieu et des personnages étant déjà faites, le film perd en rythme au départ malgré l'apport de nouveaux venus comme Richard Gere. Heureusement dans sa deuxième partie, le film décolle à nouveau grâce à un aspect Bollywood qui fait son apparition par le biais de musique et de fête. Cette dernière partie emmène donc une ambiance exceptionnelle et colorée à ce film qui nous redonne autant le sourire que le premier épisode ! Niveau personnage, le rôle de Sonny interprété par Dev Patel est très mal écrit, il devient une caricature de lui même, tout le contraire de nos anciens toujours aussi bon malgré leurs ages avancés et qui arrivent à transmettre des émotions incroyable en particulier Maggie Smith très touchante ! Un beau film mais qui ne vaut tout de même pas le premier.
Il faudra chercher pour trouver les quelques points positifs de cette suite futile. La musique indoue et les rares paysages du pays sont attrayants. Ensuite et bien, il y a Maggie Smith et sa présence suffit à nous faire sourire. Mais comme pour tous les autres acteurs, son rôle n’est pas à la mesure de son talent. Indian Palace Suite Royale tourne en rond en multipliant les clichés des tourismes à l’étranger qui se sentent plus intelligents à proposer sans cesse de meilleures solutions pour améliorer les conditions de vie de ceux qui ont construit le pays. Bref, voici un hommage raté au Bollywood. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Le deuxième est généralement moins bon, mais la ce n'est pas le cas. Un bon moment de détente. On aime cet univers indien coloré et obstiné. Encore une belle rencontre avec l'Inde
un bon moment, pas de prise de tête, du rythme, de l'humour, de bons acteurs - ça n'est pas un chef d'œuvre, mais on a aussi besoin de film qui détendent
Ce long métrage est vraiment dans la lignée du premier. Il est drôle, les personnages sont tous très attachant et l'arrivée de Richard Gere au casting met une touche de classe supplémentaire au film. Tout le long du film, on est prit à la gorge et inquiet pour ces personnages dont on a vraiment peur d'en perdre encore un autre. Je me suis de nouveau régalé en regardant la vie des résidents du Marigold Hôtel et son gérant dynamique et maladroit.
Prenez de bons sentiments à la saveur néo-colonialiste, du sur-jeu, de beaux habits, des palais à couper le souffle, des couleurs vives, des situations niaises, de la danse et vous obtenez ce second volet. On n'est pas bien loin du bon nanar Bollywoodien classique. Ces petits vieux en quête de sens à donner à leur vie ne font figure que de simples figurants dont on se fout éperdument tant on est dans l'expectative du début à la fin. Le regard empathique de Bill Nighy, le flegme so british du toujours fringant Richard Gere et la répartie de Maggie Smith ne changent rien à l'affaire dans cette comédie nian nian pour européens blasés en manque d'exotisme bon marché.
Le premier film ayant eu sa part non négligeable de succès, il fallait s’attendre à une suite. Tel est la règle aujourd’hui. Le Marigold Hôtel lui aussi cherche à se dédoubler pour faire face à son incompréhensible succès au regard de sa vétusté. Le jeune et impétueux Sonny Kapur (Dev Patel) aidé de l’acariâtre mais opiniâtre Mademoiselle Donnelly (Maggie Smith) est aux States pour négocier les fonds nécessaires à la construction d’un deuxième hôtel. Si dans le premier épisode chacun des pensionnaires se sentait gagné par les effluves pacifiques de la culture bouddhiste, le capitalisme a lui aussi fait son œuvre d’imprégnation, contaminant gravement le jeune Sonny devenu paranoïaque. Les personnages sont bien en place ayant été présentés en amont dans le premier opus. Il faut donc leur trouver de nouvelles aventures. Déjà largement évoquée dans le premier épisode c’est la recherche de l’âme sœur qui va être au centre de cette suite qui contrairement à son titre n’a rien de royal. Chacun des personnages se voit affublé d’un ou plusieurs « possibles », laissant entrevoir que décidément rien n’est fini et que selon l’adage scandé par Sonny « c’est quand on croit que tout est fini que tout recommence ». Si on parle d’amour et de sexualité sans jamais rien en montrer, il ne faut quand même pas exagérer, à un certain âge ces choses-là se font dans le noir, rien ne peut arriver de mieux au casting que de se voir adjoindre la présence de Richard Gere, sexagénaire rayonnant autrefois chéri de la gent féminine planétaire qui doit désormais se contenter de faire chavirer le cœur des résidentes du Marigold Hôtel. On l’aura compris tout est ici plus laborieux et répétitif, finissant par rapidement tourner en boucle. Et ce n’est pas la fin, véritable hommage au phénomène « Bollywood » qui changera quelque chose à l’ennui qui finit par gagner au bout de ce film bien trop long et dispensable.
De nombreux bons acteurs qui ont fait leurs preuves jouent de ce film. Cependant, il y a très peu de comédie et beaucoup de danses, de discours moralisateurs et d'histoire d'amour entre troisième ages.
Quand bien même vous n’avez jamais imaginé passer votre retraite dans un magnifique hôtel de Jaipur, la ville rose, la capitale du Rajasthan, vous n’êtes probablement pas contre le fait de passer à nouveau 2 heures chrono auprès d’une troupe de vieux britanniques qui, eux, ont fait ce choix. A nouveau car, il y a 3 ans, nous avions déjà goûté leurs aventures dans "Indian Palace". Le réalisateur John Madden et le scénariste Ol Parker ont rempilé pour cette suite et on retrouve, fidèles au poste, la plupart des protagonistes. Il y a même l’arrivée d’un « petit » nouveau, un américain, Guy Chambers, interprété par Richard Gere. De façon encore plus délibérée que "Indian Palace", "Indian Palace – Suite Royale" se place au juste milieu entre la comédie à l’occidental et le cinéma bollywoodien. Comme c »est souvent le cas avec les très longs métrages bollywoodien, on peine un peu à s’intéresser à l’intrigue lorsqu’elle commence et puis, petit à petit, on se laisse prendre, on apprécie de plus en plus l’humour british lorsqu’il pointe son nez, on craque devant le jeu et les répliques de l’immense Maggie Smith (à propos des Etats-Unis : « Je n’espérais pas grand chose et je suis revenue déçue ! »), on se dit que la Grande-Bretagne a vraiment de grands comédiens. "Indian Palace – Suite Royale" ne prétend pas être un grand film, il lui suffit d’être un très bon divertissement et un film réjouissant.
une suite réussie portée par les acteurs/personnages tous excellents dans leur rôles différents et pourtant tellement complémentaire. Une bonne humeur qui déborde de l'écran, un moment de fraicheur. PLV : enfin un vrai feel good movie
Cette suite réalisée par le britannique John Madden est aussi réussie que la première aventure et sert un scénario rafraichissant et rythmé, aux répliques piquantes, et traitant avec légèreté de thèmes existentiels, servis par une distribution de haute qualité. Un bel hommage au cinéma Indien.
Si cette suite n'apporte rien de neuf et se contente d'exploiter le charmant premier opus, il ne s'en regarde pas moins avec plaisir. Le spectateur retrouve avec plaisir cette équipe de séniors dans cette Inde bigarrée. entre interrogation sur la vieillesse et légèreté des situations, des dialogues cocasses et des personnages attachants. Ajouté à de jolies scènes digne de Bollywood en danse et musique, que demander de plus...
Indian Palace premier du nom ne m'avait pas laissé de bons souvenirs en raison de ses personnages hautement stéréotypés. Indian Palace - Suite royale partait donc sur de mauvaises bases d'autant plus que le film démarre par un Dev Patel dopé à la caféine mixé à du Red Bull devenant ainsi vite insupportable. Fort heureusement, ça se calme par la suite pour laisser place aux véritables héros ; le prestigieux casting du précédent épisode a répondu de nouveau présent et vient se glisser un hôte non moins prestigieux avec Richard Gere. La suite tape dans le classique et les spectateurs qui s'étaient régalé avec ces personnages seront ravis de les retrouver, les autres beaucoup moins.