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FaRem
Un film de SF qui se passe dans un vaisseau spatial dans les années 70 tous les ingrédients sont donc réunis pour faire un film volontairement kitsch et c'est le cas avec des effets spéciaux et un environnement rétro qui colle bien avec l'univers voulu. Malgré un casting intéressant le film ne fonctionne pas la faute à un humour inefficace il y a bien quelques scènes qui font sourire, mais l'ensemble n'est pas du tout drôle en faite, on a plus l'impression d'être dans un drame avec des gens qui se remettent en cause et qui se questionnent sur leur existence mais de toute façon peu importe le registre du film que ça soit un drame ou une comédie on en a vite fait le tour et le film est même pénible à voir jusqu'au bout on va dire que le casting sauve le film du naufrage.
Malgré son identité graphique originale de space soap opéra 80's et une touche visuelle agréable, Space station 76 n'arrive pas à séduire. Avec un scénario malheureusement aussi vide que ses personnages, le film s'attarde sur des relations humaines simples et faussées de non-dits, tromperies et autres sentiments de façade. Pourtant le fond fait preuve d'une véritable sensibilité sur la solitude qui enveloppe chaque habitant de cette station spatiale. Si quelques idées acides font sourire, le film aurait surement gagné à être plus grinçant car c'est dans de brefs éclats qu'il réussit à nous surprendre agréablement. Beaucoup d'ennui malgré quelque chose de touchant et quelques bonnes idées qui ne réussissent malheureusement jamais à mettre le spectateur en orbite.
Perdu dans un futur lointain où la Terre n'est plus telle qu'on la connait, une petite station spatiale abrite une population terrienne moyenne avec ses petits tracas de la vie quotidienne. Quelle ambiance magnifique dans cette esthétique rétro, hommage au kitch des SF des années 70' et à la science fiction en général, pour ce premier film de Jack Plotnick sorti en 2014 ! Une distribution impeccable, solide et convaincante : à commencer par les personnages les plus secondaires jusqu'aux principaux, tous sans exceptions. Matt Bomer (Ted) et Liv Tyler (Jessica) méritent une bien meilleure carrière ! Le visuel et l'ambiance sont impeccables : photographie, costumes, décors, effets spéciaux, ainsi que la musique d'ascenseur qui colle parfaitement à l'univers. On notera aussi les nombreux clins d'oeil à l'univers de la science fiction bien venus tout comme l'humour (car il s'agit avant tout d'une comédie) assez fin et qui fonctionne, critique réussie sur notre société mise en parallèle avec les prémonitions de celle des seventies. Concernant le scénario, il s'en tient à peindre une succession de scènes de ménages croustillantes certes mais sans qu'il y est une réelle intrigue, d'où le sentiment de longueur du long métrage. Le spectateur peut en ressortir mitigé, déçu qu'une telle production, visuellement convaincante et à l'humour détonnant ne cherche pas à pondre un fil d'histoire, mais c'était la volonté des scénaristes de s'en tenir à cela. Il faut apprécier cette oeuvre à sa juste valeur : une satire comique. A ne pas rater pour les amateurs nostalgiques de science fiction et ceux qui aiment les petites pépites méconnues du 7e art.
Une expérience cinématographique étrange mais attachante, des acteurs totalement impliqués et un délire névrotique que l'on partage avec curiosité et finalement avec plaisir... Merci;-))
une petite comédie sympathique qui parodie les décors des films de science-fiction des années 70
RedArrow
Dans le genre film-qui-ne-ressemble-à-aucun-autre, voici "Space Station 76" !
Comme environ les vingt spectateurs qui l'ont vu (il est passé inaperçu partout où il est sorti), je me suis laissé avoir par l'affiche croyant assisté à un délire intergalactique dans la veine du génial "H2G2" alors qu'il n'en est rien...ou presque.
Car, si "Space Station 76" a un certain humour, c'est avant tout une tragi-comédie qui prend un malin plaisir à ne cesser de mettre en exergue le côté pathétique de ses personnages et qui a pour cadre assez incroyable une station spatiale rétro-futuriste, comme si une version dark de "Desperate Housewives" (pour le côté satirique de la vie en banlieue américaine) et une série de SF 70's genre "Cosmos 1999" avaient commis l'irréparable.
Et le résultat, même s'il n'évite pas certaines situations convenues (je pense notamment à la femme au foyer dépressive jouée par Marisa Coughlan), tient étonnamment la route grâce à sa logique jusqu'au-boutiste de ne rien épargner à ses personnages. Il faut dire qu'ils sont tous interprétés par un casting assez dingue en premier lieu duquel on retiendra surtout la brillante prestation de Patrick Wilson (et sa moustache !) en commandant suicidaire qui ne se remet pas de sa rupture amoureuse avec son co-pilote.
Délicieusement cynique mais finalement très humain, "Space Station 76" nous laissera sur une très bonne scène finale que l'on savait dès le début inéluctable avec cette morale amère que si l'on stagne sur un moment difficile de notre vie, cela conduira tôt ou tard à notre propre perte et à celle de nos proches. Jolie découverte.
Comme environ les vingt spectateurs qui l'ont vu (il est passé inaperçu partout où il est sorti), je me suis laissé avoir par l'affiche croyant assisté à un délire intergalactique dans la veine du génial "H2G2" alors qu'il n'en est rien...ou presque.
Car, si "Space Station 76" a un certain humour, c'est avant tout une tragi-comédie qui prend un malin plaisir à ne cesser de mettre en exergue le côté pathétique de ses personnages et qui a pour cadre assez incroyable une station spatiale rétro-futuriste, comme si une version dark de "Desperate Housewives" (pour le côté satirique de la vie en banlieue américaine) et une série de SF 70's genre "Cosmos 1999" avaient commis l'irréparable.
Et le résultat, même s'il n'évite pas certaines situations convenues (je pense notamment à la femme au foyer dépressive jouée par Marisa Coughlan), tient étonnamment la route grâce à sa logique jusqu'au-boutiste de ne rien épargner à ses personnages. Il faut dire qu'ils sont tous interprétés par un casting assez dingue en premier lieu duquel on retiendra surtout la brillante prestation de Patrick Wilson (et sa moustache !) en commandant suicidaire qui ne se remet pas de sa rupture amoureuse avec son co-pilote.
Délicieusement cynique mais finalement très humain, "Space Station 76" nous laissera sur une très bonne scène finale que l'on savait dès le début inéluctable avec cette morale amère que si l'on stagne sur un moment difficile de notre vie, cela conduira tôt ou tard à notre propre perte et à celle de nos proches. Jolie découverte.
"Enfilez vos collants, c’est le temps d’aller faire un tour dans les étoiles…Au moment où les Guardians of Galaxy est sur toutes les bouches…et où chacun se contente d’applaudir les redites à la sauce Marvel, Pixar et autres saga, Space Station 76 apparait tel un ovni dans la galaxie des films américains méritants et au combien agréables : Une vraie bouffée d’air frais...."
Un film avec une esthétique vintage irréprochable. L'esthétique de Liv Tyler ne gâche rien non plus.Si le contenant est une réussite, on se demande bien où est le contenu ? De quoi ce film parle ? Que s'y passe -t-il, à par rien ? Est-ce une comédie ratée ? Un film de science-fiction sans science-fiction ? Un huis-clos psychologique ? Space station 76 est plus un film d'ambiance, un film décalé, absurde ... mais je ne suis pas sûr que ça fonctionne.
Parodie ratée des films de SF des années 70, le casting semblait plutôt prometteur ainsi que les premières minutes mais plus on avance, plus ça s'allonge et ça devient très long et on a hâte qu'il finisse. Et je m'attendais surtout à quelque chose de beaucoup plus drôle.
Autant être clair, le film ne vaut que pour une seule chose : son ambiance années 70. Le film fourmille de références et de clins d'oeil très sympa et bien utilisés.
Pour le reste....c'est lent, pas de rythme, on peine à voir où ils veulent en venir la fin ne résout pas grand chose (on est finalement plus dans "une tranche de vie spatiale") et surtout...c'est pas très drôle, à part la première scène du film c'est à peu près tout ce qui a pu me faire décrocher un sourire.
Dommages car l'idée était bonne, mais là non.
Pour le reste....c'est lent, pas de rythme, on peine à voir où ils veulent en venir la fin ne résout pas grand chose (on est finalement plus dans "une tranche de vie spatiale") et surtout...c'est pas très drôle, à part la première scène du film c'est à peu près tout ce qui a pu me faire décrocher un sourire.
Dommages car l'idée était bonne, mais là non.
je viens de visionner ce film et contrairement à ce que laisse penser la bande annonce, c'est pas vraiment drôle... c'est plutôt tragique même car tout le monde ou presque est dépressif :(
mais bon, j'aime bien l'aspect rétro futuriste et ça se laisse regarder.
mon plus gros regret : spoiler: c'est que la petite fille ne découvre pas que sa mère lui a menti à propos de l’héroïne X(
mais bon, j'aime bien l'aspect rétro futuriste et ça se laisse regarder.
mon plus gros regret : spoiler: c'est que la petite fille ne découvre pas que sa mère lui a menti à propos de l’héroïne X(
L'idée de parodier les films de science-fiction des années 70 est excellente même si cela a déjà été fait auparavant. Space Station 76 a tous les bons côtés en termes de choix de décors, de costumes et de bande sonore ainsi qu'un casting suffisant. Mais où est le scénario ?. Il y a quelques idées comiques à moitié mais peu d'entre elles voire aucune ne sont développées au-delà du niveau légèrement amusante au mieux. Pire encore les personnages sont pour la plupart irritants avec des idées potentiellement drôles le capitaine de Wilson étant un cas désespéré et d'autres qui ne le sont pas vraiment deux groupes de mauvais parents inconscients qui se répètent simplement sans que cela ne rapporte gros. En fait ils se dirigent vers une scène étrangement sérieuse lors d'une fête de Noël où chacun révèle à quel point il se déteste ce qui pourrait bien être cathartique dans un film qui n'a pas pour but d'être une comédie mais pas ici. Non l'humour n'était pas assez subtil pour moi...
Parodie ratée des films de SF des années 70, le casting semblait plutôt prometteur ainsi que les premières minutes mais plus on avance, plus ça s'allonge et ça devient très long et on a hâte qu'il finisse. Et je m'attendais surtout à quelque chose de beaucoup plus drôle.
Passé inaperçu en France (tout comme aux Etats Unis), Space Station 76 est d’abord un hommage, volontairement kitsch, aux films de science fiction des années 1970. Classé comme comédie de science fiction, Space Station 76 ressemble davantage à un film expérimental sur la place de la femme dans la société. En effet, amateur d’humour SF fuyez Space Station 76 car aucune mais alors aucune scène comique ne figure à l’écran. Non, Space Station 76 se veut mélancolique, à la limite du dépressif.
Ce qu’on retient en premier lieu de Space Station 76 c’est le côté esthétique absolument fabuleux ! Tout est dans le détail soigné des années 1970 : le look des personnages, l’intérieur du vaisseau, le modèle des navettes spatiales et même les fonds noirs de l’espace rappelle fortement les années 1970 et son époque Star Wars. Tout est beau, parfait comme tout droit sorti des années 1970, appuyé d’ailleurs par une excellente bande son.
Mais voilà, derrière ce côté lisse des 70’s se cache un vrai sujet de société : la place de la femme. Pendant tout le long du film, Space Station 76 s’efforce de montrer la misogynie du capitaine face à son lieutenant fémin. Le film traite aussi de la communauté gay et de sa place dans l’évolution de carrière. Le point de vue des deux sujets est clairement celui des années 1970 où la société était encore rigide. Mais alors,on se demande alors pourquoi le réalisateur a t il choisit les années 1970 ? Simple mélancolie ou manière habile et caché de nous dire que la société moderne n’ont pas évolué ? Space Station 76 se perd dans son sujet en ne répondant jamais à la question et préférant sur les problèmes de couple et histoires d’amour naissante.
Mais alors est ce que ça vaut le coup ? Honnêtement , Space Station 76 ravira principalement les nostalgiques des années 70, pour le reste il est conseillé de passer son chemin.
Ce qu’on retient en premier lieu de Space Station 76 c’est le côté esthétique absolument fabuleux ! Tout est dans le détail soigné des années 1970 : le look des personnages, l’intérieur du vaisseau, le modèle des navettes spatiales et même les fonds noirs de l’espace rappelle fortement les années 1970 et son époque Star Wars. Tout est beau, parfait comme tout droit sorti des années 1970, appuyé d’ailleurs par une excellente bande son.
Mais voilà, derrière ce côté lisse des 70’s se cache un vrai sujet de société : la place de la femme. Pendant tout le long du film, Space Station 76 s’efforce de montrer la misogynie du capitaine face à son lieutenant fémin. Le film traite aussi de la communauté gay et de sa place dans l’évolution de carrière. Le point de vue des deux sujets est clairement celui des années 1970 où la société était encore rigide. Mais alors,on se demande alors pourquoi le réalisateur a t il choisit les années 1970 ? Simple mélancolie ou manière habile et caché de nous dire que la société moderne n’ont pas évolué ? Space Station 76 se perd dans son sujet en ne répondant jamais à la question et préférant sur les problèmes de couple et histoires d’amour naissante.
Mais alors est ce que ça vaut le coup ? Honnêtement , Space Station 76 ravira principalement les nostalgiques des années 70, pour le reste il est conseillé de passer son chemin.
J'approuve les commentaires qui expliquent que ce n'est pas vraiment un film de Science-Fiction.
A quelques moments on se dit que le scénario pourrait nous emmener sur une autre "station", mais non.
On reste sur notre faim, globalement, et même sur plusieurs évènements précis du film.
Donc je dirais également qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps à regarder ce film.
A quelques moments on se dit que le scénario pourrait nous emmener sur une autre "station", mais non.
On reste sur notre faim, globalement, et même sur plusieurs évènements précis du film.
Donc je dirais également qu'il vaut mieux ne pas perdre son temps à regarder ce film.
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