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    Tokyo Decadence
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    2,7
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    lillois
    lillois

    100 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Figure de la littérature nippone contemporaine, Ryû Murakami réalise lui-même la version cinématographique de "Topâzu" publié quatre ans auparavant (en 1988 donc). Devenu "Tokyo Decadence" pour l’Occident au risque d’oublier au travers de quel prisme regarder, ce film suit une call-girl de vingt-deux ans interprétée par la frêle Miho Nikaido. Perdue dans ses illusions au point de s’en remettre aux charlataneries recueillies sous un pont, Aï n’ira donc pas, c’est entendu, dans les musées de l’est de la ville, regardera une télé rehaussée par deux annuaires téléphoniques et portera une pierre rose au majeur. Le topaze hors de prix qu’elle s’achètera immédiatement matérialise son espérance naïve en l’avenir. Pour ce qui est des nombreuses scènes carré rose topaze, je dirai que n’étant pas ignare sur ce qui se pratique (ben quoi, on peut bien se renseigner un peu non :D ?), il s’agit de la meilleure représentation dans un film traditionnel du BDSM (domination et soumission). Dans une approche tout autre car sentimentale et axée sur la jouissance par la douleur, je vous conseille l’intéressant "Lies" ("Fantasmes") de Sun-Woo Jang. Ici on en y entrevoit le pire pendant quelques instants dans une chambre d’hôtel que fuit Aï, dérive hyper glauque difficilement cautionnable. On y entrevoit aussi, longuement, ce qui en fait l’essence. Où l’assouvissement de pulsions passe par exemple par l’humiliation extatique mais où l’humanité n’est jamais bien loin (la première partie est de ce point de vue remarquable, tant dans la construction que dans la gradation des plaisirs). La scène d’ouverture ne parle t-elle d’ailleurs pas de confiance ? J’ai cependant davantage retenu de ces passages l’excitation que l’analyse sociétale induite. Il faut attendre précisément une heure et quart pour que quelques mots de Maîtresse Saki exposent l’intention pamphlétaire de Murakami. Le montage laisse à désirer (l’enchaînement de nombreux plans n’est pas fluide) et la dernière demie heure est ratée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    pénible par ses longueurs...on s'ennuie après avoir tenu le coup pendant 30 minutes...et on s'endort...
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