Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le sexe, dans Tokyo Décadence, est d'abord une métaphore de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Philippe Topazury
J'aime ce film humoristique pour ses mauvaises raisons. Il propose à cette actrice possible un programme limpide : se tenir blanche et droite comme un peuplier dans un porno capitaliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eric Loret
(...) la critique du Japon moderne croise ici le théâtre de la cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Jean-Baptiste Drouet
A travers errance de son héroïne, Ryu Murakami a voulu montrer «la terrible dégénérescence de la société japonaise» (...) Il l'a d'ailleurs écrit en 92 dans Topâzu. Devait-il adapter ce livre culte à l'écran (...) ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(...) la métaphore d'un Japon déshumanisé, réduit aux rapports de force et aux relations marchandes, elle reste très simpliste. Cette décadence tokyoïte est creuse et ennuyeuse : un comble, pour l'auteur de livres touffus et haletants !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Le sexe, dans Tokyo Décadence, est d'abord une métaphore de la fiction.
Les Inrockuptibles
J'aime ce film humoristique pour ses mauvaises raisons. Il propose à cette actrice possible un programme limpide : se tenir blanche et droite comme un peuplier dans un porno capitaliste.
Libération
(...) la critique du Japon moderne croise ici le théâtre de la cruauté.
Première
A travers errance de son héroïne, Ryu Murakami a voulu montrer «la terrible dégénérescence de la société japonaise» (...) Il l'a d'ailleurs écrit en 92 dans Topâzu. Devait-il adapter ce livre culte à l'écran (...) ?
Télérama
(...) la métaphore d'un Japon déshumanisé, réduit aux rapports de force et aux relations marchandes, elle reste très simpliste. Cette décadence tokyoïte est creuse et ennuyeuse : un comble, pour l'auteur de livres touffus et haletants !