Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ana Girardot et Bastien Bouillon dansent un pas de deux bien mené sur fond d’éducation sentimentale et de choc des milieux. C’est à la fois cruel et beau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
GQ
par Jacques Braunstein
Social et sensible.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
De quêtes d'identité, de luttes des classes, d'apparences, il est ici pas mal question au fil de partitions dont s'emparent de formidables comédiennes plongées dans tous leurs états.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une éducation sentimentale sur fond de différence sociale, dans un film sensible et juste, à l’image de son interprétation.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Voilà un beau film français servi par une direction d'acteurs impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Son quatrième long métrage confirme les belles qualités de cinéaste de Julie Lopes Curval : justesse des personnages, subtilité du discours et beauté tranquille de l'image. Un très joli film, porté par deux excellents jeunes comédiens.
Ouest France
par La Rédaction
Un récit d'initiation sociale et sentimentale où les interprètes de ce couple en transformation, Bastien Bouillon et Ana Girardot, donnent à leur personnage une intense finesse.
Positif
par Olivier de Bruyn
Remarquablement interprété par Ana Girardot, dans le plus beau rôle de sa jeune carrière, "Le Beau Monde" mérite de ne pas passer inaperçu. Un film sensible et délicat, dépourvu d'afféteries (...).
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Voici
par La Rédaction
Un joli récit d'apprentissage qui fait dans la dentelle.
aVoir-aLire.com
par Adrien Lozachmeur
Un film salutaire sans tape-à-l’oeil, un presque rien enchanté (...) qui impose sa propre nécessité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Julie Lopes Curval montre une violence sociale et des humiliations rarement dénoncées (…). À côté de Bastien Bouillon, parfait en enfant gâté plein de rage, Ana Girardot interprète Alice de manière très juste, avec ses doutes et ses maladresses (…).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film joue une partition mesurée et ouverte, mais a du mal à s'extirper des clichés dans la caractérisation des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Isabelle Danel
Malgré un aspect binaire trop appuyé dans l'écriture, l'ensemble a une grâce et un charme surannés.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) une fiction sur la différence de classes avec une délicatesse feutrée non exempte de lucidité acerbe où les rapports de force, inhérents et insidieux, ponctuent le parcours initiatique de l’héroïne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Deux manières d'être jeune et d'aborder la vie aujourd'hui, c'est le beau sujet de ce Beau Monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Eva Markovits
Julie Lopes-Curval questionne la possibilité de la mobilité sociale à travers le prisme du couple que tout oppose, et également à travers celui de l’éclosion d’une jeune femme qui souhaite exercer le métier qui la passionne mais se heurte à des barrières sociales et à ses propres défauts. Si le traitement du premier souffre parfois d’un manque de subtilité, l’autre est joliment déployé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Très élémentaire, focalisé une relation amoureuse assez plate.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À la limite de la caricature (...). (...) pas toujours désagréable, mais plat dans son ensemble.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) une version hétéro édulcorée de "La Vie d'Adèle", sans rien de sulfureux. Ici, la chair n'est pas au programme. Elle est vaguement remplacée par un travail sur la texture textile et le paysage. Mouais...
20 Minutes
Ana Girardot et Bastien Bouillon dansent un pas de deux bien mené sur fond d’éducation sentimentale et de choc des milieux. C’est à la fois cruel et beau.
GQ
Social et sensible.
La Voix du Nord
De quêtes d'identité, de luttes des classes, d'apparences, il est ici pas mal question au fil de partitions dont s'emparent de formidables comédiennes plongées dans tous leurs états.
Le Dauphiné Libéré
Une éducation sentimentale sur fond de différence sociale, dans un film sensible et juste, à l’image de son interprétation.
Le Parisien
Voilà un beau film français servi par une direction d'acteurs impeccable.
Les Fiches du Cinéma
Son quatrième long métrage confirme les belles qualités de cinéaste de Julie Lopes Curval : justesse des personnages, subtilité du discours et beauté tranquille de l'image. Un très joli film, porté par deux excellents jeunes comédiens.
Ouest France
Un récit d'initiation sociale et sentimentale où les interprètes de ce couple en transformation, Bastien Bouillon et Ana Girardot, donnent à leur personnage une intense finesse.
Positif
Remarquablement interprété par Ana Girardot, dans le plus beau rôle de sa jeune carrière, "Le Beau Monde" mérite de ne pas passer inaperçu. Un film sensible et délicat, dépourvu d'afféteries (...).
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
Un joli récit d'apprentissage qui fait dans la dentelle.
aVoir-aLire.com
Un film salutaire sans tape-à-l’oeil, un presque rien enchanté (...) qui impose sa propre nécessité.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Julie Lopes Curval montre une violence sociale et des humiliations rarement dénoncées (…). À côté de Bastien Bouillon, parfait en enfant gâté plein de rage, Ana Girardot interprète Alice de manière très juste, avec ses doutes et ses maladresses (…).
Le Monde
Le film joue une partition mesurée et ouverte, mais a du mal à s'extirper des clichés dans la caractérisation des personnages.
Première
Malgré un aspect binaire trop appuyé dans l'écriture, l'ensemble a une grâce et un charme surannés.
TéléCinéObs
(...) une fiction sur la différence de classes avec une délicatesse feutrée non exempte de lucidité acerbe où les rapports de force, inhérents et insidieux, ponctuent le parcours initiatique de l’héroïne.
Télérama
Deux manières d'être jeune et d'aborder la vie aujourd'hui, c'est le beau sujet de ce Beau Monde.
Critikat.com
Julie Lopes-Curval questionne la possibilité de la mobilité sociale à travers le prisme du couple que tout oppose, et également à travers celui de l’éclosion d’une jeune femme qui souhaite exercer le métier qui la passionne mais se heurte à des barrières sociales et à ses propres défauts. Si le traitement du premier souffre parfois d’un manque de subtilité, l’autre est joliment déployé.
L'Humanité
Très élémentaire, focalisé une relation amoureuse assez plate.
Le Journal du Dimanche
À la limite de la caricature (...). (...) pas toujours désagréable, mais plat dans son ensemble.
Les Inrockuptibles
(...) une version hétéro édulcorée de "La Vie d'Adèle", sans rien de sulfureux. Ici, la chair n'est pas au programme. Elle est vaguement remplacée par un travail sur la texture textile et le paysage. Mouais...