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Un visiteur
2,5
Publiée le 15 avril 2015
Les idées et le potentiel sont bien là mais pas assez bien exploités. On ne se passionne jamais pour cette histoire. On ne croit pas une seconde à la love story. Rebecca Hall fait ce qu'elle peut mais Johnny Depp est déjà déshumanisé bien avant son transfert informatique. A croire qu'à force d'en faire des tonnes avec Jack Sparrow, il soit passé d'un extrême à l'autre. Du coup j'ai un peu regardé le film comme un docu-fiction sur les dérives de la science. Intéressant mais mou et sans aucune puissance émotionnelle. J'aurais bien aimé voir ce film avec Nolan aux commandes.
Je dis pas mal pour les acteurs, il y a de superbes plans. Le film est assez long à démarrer, il y a de bonnes idées et de l'émotion mais il manque ce petit brin de folie ! Si vous voulez un film de science fiction au calme, n'hésitez pas vous serez peut-être surpris.
J'ai trouvé ce film plutôt intelligent, un peu sombre et surtout pas lourdingue façon mega blockbuster hollywoodien. Les acteurs principaux sont dans l'ensemble plutôt convaincant.
Le chef-opérateur de Christopher Nolan s'essaye à la réalisation pour un résultat mitigé. D'un côté « Transcendance » a un léger pouvoir d'envoûtement, Wally Pfister maîtrisant bien ses effets et pouvant s'appuyer sur un sujet sur un sujet plutôt original et intéressant pour nous tenir en éveil jusqu'au bout. De l'autre, j'avoue ne pas m'être senti plus concerné que cela par le déroulement de l'histoire et les personnages qui la composent, joués convenablement mais sans grande intensité (à l'exception peut-être de Paul Bettany). Les rebondissements sont finalement peu nombreux et si l'ensemble se tient à peu près, le film manque trop de chair et d'émotion pour nous séduire véritablement. Reste qu'il est plutôt à l'honneur de Pfister d'avoir laissé de côté l'action pour privilégier la réflexion sur notre société et le monde d'aujourd'hui, mais nul doute qu'un équilibre mieux maîtrisé entre ces deux aspects aurait bénéficié à l'œuvre. Honorable néanmoins.
Sur le point de mourir, un scientifique transfert sa conscience dans un ordinateur, et devient une puissante IA. "Transcendence" est pétri de bonne intention, en pointant du doigt la sur-connectivité du monde moderne, et le danger des IA trop poussées. Le film démarre même de manière relativement correcte, avec un premier acte intriguant. Cependant, de nombreux défauts surviennent rapidement. En premier lieu, les acteurs sont complètement sous-employés : Paul Bettany, Johnny Depp, et surtout Morgan Freeman ou Cillian Murphy, presque anecdotiques. Ensuite, l'image du film est certes esthétique (la réalisateur Wally Pfister est le directeur de la photographie attitré de Christopher Nolan), mais elle est trop épurée, et dégage une ambiance sans âme. Enfin, le scénario est maladroit. Entre gros sabots, idées à la limite du grotesque, et peu de développement du concept de base (pas d'interaction entre l'IA et la société par ex.), le script semble avoir été écrit pour un film cyberpunk moyen des 90's (on notera d'ailleurs plusieurs similitudes avec "The Lawnmower Man" !). Ainsi, "Transcendence" tient d'une série B moyenne, ce qui est dommage vu son budget très confortable.
Très bon film. C'est un film assez facile à comprendre mais qui fait réfléchir sur les avantages et les inconvénients de la technologie. Peut-être qu'un jour on pourra télécharger un esprit humain. Mais Transcendance, c'est aussi une histoire d'amour entre Will et Evelyn. Pour moi Transcendance n'est pas raté.
N'est pas Christopher Nolan qui veut, et ce n'est pas parce qu'il a fait parti de son équipe technique sur quelques films que Wally Pfister peut prétendre en avoir le génie. En effet, son coup d'essai s'avère raté : les enjeux sont terriblement ennuyeux, les personnages plats et Johnny Depp semble s'ennuyer autant que nous.
La transcendance ou le transfert de l'âme humaine dans une machine, un ordinateur. Sujet vaste et controversé à ce stade de la connaissance scientifique. C'est d'autant plus compliqué quand le film aborde l'évolution de l'intelligence artificielle et les progrès techniques très rapides qu'elle opère ensuite. L'idée est bonne mais la façon d'aborder le sujet est perturbant et assez peu convainquant. On en retiendra la magie de la vie après la mort (la réincarnation) qui apporte dans le film un peu d'émotion sous la forme de l'amour éternel de deux êtres qui s'aiment. Un film compliqué sur le fond qui ne plait pas à tout le monde (il suffit de voir les commentaires) mais c'est prévisible.
L'on se demande si les acteurs ont lu le scénarios avec sérieux avant de signer pour tourner dans ce navet. Histoire débile, un scientifique qui code aussi bien des programmes informatiques que des opérations chirurgicales sans compter son maniement des armes de poing. Un navet. Le plus rigolo reste l'attaque au canon et au mortier contre un champs de panneau solaire. La c'est le summum de la connerie.
En un mot : "dommage". Nous avons une histoire ou tout est possible ( je ne raconte pas l'histoire des films que je critique, je me dis que le lecteur connait le scénario ), avec de bons effets spéciaux, donc des moyens assez importants. Mais le film ne s'envole pas. La fin est très décevante. Juste quelques molécules qui se jettent sur des soldats : assez soft pour un film aux effets spéciaux et aux moyens important.On ne peut pas comparer a Lucy, ou un personnage devient tout puissant. Dans le film de Luc Besson ( peu importe notre avis sur Lucy ), nous avions une fin originale et visuellement satisfaisante. Mais le réalisateur de transcendance ( c'est la premiere réalisation pour ce directeur de la photo ) nous frustre avec un bon film prometteur de grand spectacle mais qui nous laisse affamé. Je me concentre sur l'aspect visuel du film et non sur le scénario. Car l'idée est intéressante mais deja plusieurs fois traitée auparavant.
Je ne suis pas un expert en film de science fiction, mais j'ai trouvé que ce film avait un esthétisme certain et surtout crédible, ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas de ce type de film. Les acteurs sont convaincants, l'histoire est pleine de promesses, mais la magie n'a pas réellement pris pour ma part. L'histoire manquait de suspense, de rebondissements pour m'agripper tout au long du film. Puis, les histoires des cellules ou des ondes qui montent au ciel et qui intègrent la pluie etc... c'est presque de la magie pour moi...
Je vois bien plus loin que la thématique de l'intelligence artificielle dans cette jolie SF qui est quasiment un Nolan (qui a d'ailleurs contribué au film). Pfister croise plusieurs sujets : il expose l'espoir intemporel de l'Homme de parvenir à l'immortalité, en ayant recours aux nouvelles technologies toujours plus développées et avancées, dans une tentative de sauvetage humanitaire. J'avais peur que l'on tombe dans un duel nunuche entre les pros & les anti futuristes, mais l'histoire se déroule bel et bien sur plusieurs années, permettant de suivre le développement du projet de la transcendance.
Le chef opérateur habituel de Christopher Nolan nous livre un premier film bien loin de ce qu’on aurait pu attendre vu son pédigrée et le casting qu’il avait réussi à réunir derrière son projet. Un sujet complexe et mal traité malgré quelques originalités visuelles. On sent dès les premières minutes qu’on ne va pas avoir droit à un thriller d’anticipation comme c’était suggéré. Pfister a voulu réunir certains sujets dans l’air du temps afin de mettre en avant la grande question de son film : la technologie pourra-t-elle un jour dépasser l’homme ? On retrouve bien des métaphores et des références, bien appuyées parfois, mais trop désordonnées et approximatives pour être intéressantes. Pfister n’est pas vraiment fait pour la mise en scène. On voit bien d’ailleurs que les acteurs ont eu du mal à comprendre le projet en voyant leurs réactions en interview ou simplement à l’écran.
La déception de l’année. Encore une fois, la bande annonce laisse envisager de belles choses et le soufflé retombe très vite : scénario brinquebalant avec des ellipses assez énormes, des personnages peu incarnés (Johnny Depp est bien mauvais) ou qui font doublon (Cillian Murphy et Morgan Freeman). Seule Rebecca Hall, la véritable héroïne du film, sort son épingle du jeu