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    Transcendance
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    816 critiques spectateurs

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    Dawasta
    Dawasta

    64 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    Un peu mou, pseudo intello et vaguement énigmatique comme les films de Nolan, ce "petit" film de SF qui pique des idées un peu partout sonne creux mais s'en sort pas si mal, à condition de ne pas être trop exigent non plus : le scénario n'est pas abouti et la moitié du prestigieux casting ne fait que de la figuration. Un peu dommage. (Pas mal)
    Benjamin L
    Benjamin L

    15 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    Je ne me suis pas vraiment ennuyer devant ce film, je dirais plus qu'il m'a laissé de marbre... Le scénario comporte des approximations gênantes, les personnages sont brossés de manière un peu grossière, et dans l'ensemble, malgré de bonnes idées, ce film laisse clairement un goût d'innachevé, de superficiel... Je mets quand même la moyenne, mais tout juste. 2,5/5
    Marla-Jane
    Marla-Jane

    17 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2014
    Transcendance, qui souhaite profiter de la mode des dystopies, apparaît paradoxalement dépassé, ringard avant même sa sortie. Il sent terriblement le déjà vu. Deux heures que l'on occuperait mieux à lire une nouvelle d'Isaac Asimov, qui s'intéressait à la conscience des robots bien avant que Hollywood n'y mette le nez. Dans « Le robot qui rêvait, » l'auteur démontrait, sans effets spéciaux ni acteurs millionnaires, que l'homme pouvait être machine et la machine... bien plus qu'un homme.

    Pour une analyse détaillée du film et de ses inspirations, rendez-vous sur Marla's Movies:
    ocelot
    ocelot

    24 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2014
    Je m'attendais au pire après avoir vu la bande-annonce mais j'ai été agréablement surpris par ce film. Film de divertissement intelligent à voir !
    Shaka666
    Shaka666

    58 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2014
    Cela paraissait prometteur sur le papier, mais au bout de quelques minutes, on déchante rapidement. Le scénario part vite dans du grand n'importe quoi, les acteurs semblent blasés et certains sont sous utilisés et l'ennui nous gagne très vite.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2014
    Johnny Depp joue les hologrammes après sa mort, envahit et contrôle les réseaux informatiques tout en continuant d'aimer son épouse... à sa façon. Véritable électron libre, est-il une menace ou une bénédiction pour le genre humain ? Malgré son sujet pseudo-scientifique dans l’air du temps sur les dangers technologiques, « Transcendance » n’a rien de transcendant. Le film n’est pourtant pas désagréable à regarder. C’est de la SF populaire plutôt distrayante (les effets numériques lors des régénérations de cellules, les scènes d’action avec les anti-internet), légèrement pompeuse (le discours obscur bourré d’incohérences scientifiques) et exagérée (les personnes « réparées » par la nanotechnologie transformées en zombies d'une force surhumaine « connectés » à l’Intelligence Artificielle). Les acteurs font ce qu’on leur demande, sans plus. La réalisation et le scénario n’évitent pas les maladresses (une ellipse de deux ans dans le futur comme si de rien n'était, les conversations parfois à la limite du ridicule entre l’I.A. et sa bien-aimée, quelques plans sans intérêt). Pourtant, ponctuellement, l’émotion arrive à passer. Il y a un début de réflexion sur les opportunités des nouvelles technologies dans le domaine médical mais aussi sur les risques de la perte de « l’humain ». Evidemment, le message est simplifié à l’extrême. Mais c’est mieux que rien.
    Thomas G
    Thomas G

    18 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    Je ne voulais pas allée le voir mai juin étant très calme au ciné je suis donc allée voir ce film et bien je trouve que c est un peu tirer par les cheveux le scenario. Mai on passe malgré tout un bon moment
    circusstar
    circusstar

    135 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juillet 2014
    Un peu compliqué et pas très approfondi. Aussitôt vu, aussitôt oublié.
    Oriwa
    Oriwa

    63 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Tiré par les cheveux, l'ennui vient rapidement. Dommage, y avait de l'idée.
    Zbrah
    Zbrah

    45 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2014
    Fête du cinéma 2014, mardi soir. S’il était sorti à un autre moment de l’année, j’aurais probablement regretté d’avoir payé près de 8€ pour ce film. Mais je me vante d’avoir pu découvrir « Transcendance » pour 1,75€ seulement. Malgré une idée de base intéressante, focalisant sur les limites morales des avancées technologiques, le film de Wally Pfister ne passionne pas. Les fanas de nouvelles technologies et d’anticipation devraient y trouver leur compte, sans pour autant y déceler le film de l’année. Pour son premier film, Wally Pfister propose une œuvre à l’influence nolanienne non dissimulée. Le réalisateur va même jusqu’à reprendre les acteurs fétiches de son mentor. La mise en scène de l’ex-directeur de la photographie n’est ni mauvaise, ni remarquable. Une caméra qui tremblote toujours trop lors des rares scènes d’action exceptée, c’est passable. Le gros problème de « Transcendance », c’est que l’ensemble est terriblement mou. Non pas que j’aurais aimé que tout explose de partout, mais qu’il se passe des choses un minimum intéressantes aurait pu être bien. Dans ce film, les héros, bon scientifiques, sont bavards. On nous parle de physique quantique, de processeurs derniers cris aux noms impossibles à se rappeler... C’est peut-être de la mauvaise foi, mais je me suis vraiment ennuyée devant leurs échanges pleins de mots compliqués glissés exclusivement pour rabaisser le spectateur à l’état d’esprit inférieur. Il est difficile de cerner précisément ce qui cloche, mais tout semble vain. Je ne me suis jamais sentie anxieuse ou même concernée par le sort de ces personnages. Le tout se suit avec un certain détachement. L’une des meilleures trouvailles de « Transcendance » est son audace par rapport aux nanotechnologies. Le propos est assumé, les technologies devraient permettre de révolutionner le monde. Le plus difficile étant de trouver la frontière pour préserver notre humanité. Une question soulevée de deux points de vue différents par Will et Bree. Créer une intelligence artificielle ne correspond-il pas à créer un Dieu ? Le dénouement proposé par le scénariste Jack Paglen est simpliste et moralisateur. spoiler: En gros pour ceux qui se fichent d’être spoilés ou qui ont vu le film : Will a deux choix : se suicider gentiment pour faire plaisir au monde ou refuser de se soumettre et dominer l’humanité, sa femme mourant dans les deux cas. Parce qu’une fin apocalyptique ne plaira pas au public moyen, Will se soumet. Avec l’excuse bateau qu’il reste une part d’humanité en lui, qu’il est encore gentil, il laisse ses hôtes partir et s’en va de façon admirable. Après avoir voulu se développer durant une heure et demie, il abandonne avec plein de bons sentiments bien humains. Oh excusez-moi. Est-ce qu’il fallait pleurer ? Ah bon ? Et devant ce plan terriblement esthétique de la dernière étreinte du couple aussi ?
    (l’ironie c’est le mal). Le couple phare, sur qui repose toute l’œuvre, suscite aussi peu d’intérêt que les évènements. Il y a un petit quelque chose dans la relation Will/Evelyn qui rend leur histoire peu crédible. Est-ce les vingt ans d’écart des acteurs, le manque d’alchimie entre eux ou la présentation superficielle de leur couple qui en est la cause ? Aucune idée, mais à aucun moment le duo fonctionne. Elle, est interprétée par Rebecca Hall, qui est la plus remarquable du remarquable casting de « Transcendance ». Est-ce vraiment une surprise ? L’actrice interprète à la perfection chacune de ses scènes. Elle en devient bluffante lors de spoiler: sa prise de conscience
    après une grosse moitié de film. Face à elle, Johnny Depp. Je ne sais pas si on peut parler d’une bonne performance pour l’acteur qui est mono-expressif tout le temps, qu’il soit dans la machine ou non. Bon. Disons qu’il joue bien l’intelligence artificielle. L’intrigue se focalisant surtout à donner de la profondeur au couple Caster, il ne reste pas grand-chose à dire sur la suite du casting ; les présences de Paul Bettany (bon comme d’habitude), Cillian Murphy (coucou je ne sers à rien) ou Morgan Freeman (s’auto-parodiant dans son énième interprétation du vieux mentor savant) sont anecdotiques. Ah ! Et Kate Mara. Ancienne stagiaire, elle est maintenant à la tête d’une organisation terroriste. Un peu jeune pour le poste, mais ça n’a l’air de choquer personne, alors passons. C’est beau la fiction. L’actrice surjoue son rôle de dure à cuire, avec les expressions qui vont avec (comprenez aucune, les sourcils froncés suffisent). Une interprétation très moyenne pour un des pires personnages de cette histoire. A l’image du très jeune leader des RIFT, l’élite des scientifiques de ce monde (Depp, Hall, Bettany) a des allures de top modèles. C’est beau la fiction.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 juillet 2014
    C'est amusant de constater à quel point Transcendance, premier film de Wally Pfister, a été victime d'un bashing injustifié avant même la sortie du film en France. Injustifié si ce n'est qu'il se basait sur des critiques américaines assassines. Le plus consternant dans tout ça résidait dans la manière dont les spectateurs (je ne vise personne, je parle d'une tendance) retournèrent leurs vestes lors de la parutions de ces critiques. Passant ainsi d'un "Il a l'air trop bien ce film ! Le concept à l'air assez original" à un "pffou c'est du déjà-vu, ça a l'air naze" (une tendance faux-cul en fait...) sans même avoir vu le long-métrage, juste histoire de s’accommoder avec les critiques des amerloques. Mais depuis quand les critiques américaines (et même françaises) sont-elles sources de fiabilité pour tout les films ? Cloud Atlas était-il la merde décrite ? Et Lone Ranger ?
    Quoi qu'il en soit et malgré ces avis plus que mauvais, j'ai tout de même décider de bouger mes miches pour voir ce qu'il en était, en réalité. Puis la sortie du film tombant quasiment pile pendant la fête du cinéma, c'était l'occasion de se faire son avis sans trop casquer. L'intrigue m'intéressait énormément et même avec les différentes mauvaises critiques que j'avais pu lire, je ne pouvais penser qu'avec un tel postulat de départ (quoi qu'on en dise, l'idée de départ restera original), le long-métrage pouvait être une bouse. Car ce postulat soulevait un tas de questions de plus en plus actuelles sur la place de l'intelligence artificielle dans la société et de son pseudo-contrôle que l'Homme avait dessus.
    Malheureusement, cette intrigue ne profite pas de ce concept pour répondre à ces interrogations, on les effleure parfois mais sans jamais faire place à la réflexion. L'intrigue se contente de se servir de quelques idées plus ou moins bonnes pour faire avancer le récit, qui fait son petit bonhomme de chemin sans faire d'écartements, assurant le minimum syndical pour une production si ambitieuse sur le papier. Cependant, est-ce pour ça que le film doit être qualifier de m*rde ? Même si le scénario déçoit clairement, entre sous-utilisation de thématiques intéressantes et théories fumeuses (fumeuses car mal amenées, pas si incohérentes que ça) amenant des situations "dafuq ?", le reste constitue un honorable divertissement et une bonne première tentative pour Pfister (ça fait nom de désodorisant vous trouvez pas ? "Avec Pfister, dites adieu aux mauvaises odeurs").
    On retrouve forcément une certaine patte nolanienne puisque le réalisateur de Transcendance opérait auparavant comme directeur de la photographie pour la quasi-totalité des films du metteur en scène. Et ce n'est pas pour me déplaire (en même temps, quiconque voit mon pseudo s'en doute...), c'est propre, peut-être un peu trop au point d'en devenir un peu fade mais les scènes d'actions et plus généralement toutes les séquences contenant des effets spéciaux sont très bien filmées (avec quelques touches de poésie en prime).
    Les acteurs font aussi leurs jobs, ni plus ni moins, on aurait peut-être aimé voir un peu plus de la part de Cilian Murphy ou Paul Bettany (qui reste quand très bon) et ressentir une meilleure alchimie entre Johnny Depp et Rebecca Hall. Car au fond, Transcendance est plus un film sur le deuil qu'un film sur la technologie, mais malheureusement la relation entre les deux acteurs est tellement transparente qu'on peine à croire qu'ils soient mariés. Et c'est pas une petite gueulante de Rebecca Hall qui démontrera au spectateur à quel point l'amour entre les deux est fort. Y'avait un épisode de la saison 2 de Black Mirror qui abordait un peu la même idée de combler un manque créé par la perte de la personne aimé et qui réussissait parfaitement à retranscrire à l'écran la complexité et la puissance de l'amour liant les deux personnes.
    Ici, c'est d'autant plus dommage quand l'on voit la fin du long-métrage, très belle sur le papier mais manquant de force émotionnelle à cause de la fadeur de la relation.
    Loin d'être la bouse annoncée, donc, Transcendance est un thriller qui se laisse suivre avec un certain plaisir. Même si le pitch n'est pas exploité à fond et laisse une impression d'incertitude quant à adopter un vrai point de vue, le premier long-métrage de Wally Pfister dégage une certaine élégance dans la mise en scène.
    Pas transcendant, mais divertissant.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    133 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juin 2014
    Johnny Depp est entré dans le tunnel des flops à la durée inconnue. Verra t-on, un beau jour, la lumière blanche, qui le sortira de ce pétrin à la puanteur exécrable? Ou est-il en train de s'adapter à ça : conte idiot, de nature philosophique, qui essaie de nous transmettre un message par-ci par-là. En fait, ce film ne sert à rien : l'anémagomie de la technologie est la seule bonne idée... Plagiée, faute de goût. Et encore, on aurait pu être séduit par le luxe qu'offre le casting! Mais, comme le prouve la plupart des blockbusters anéthiques, on n'y rencontre que des poupées gonflées à l'odeur méprisante des simples mais enviés billets. On suit péniblement le parcours d'une soi-disante scientifique, qui, pour retrouver l'homme de ses rêves, est prête à gaspiller des années d'études et l'Internet lui-même... Attention, rupture d'anévrisme en cours.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 décembre 2017
    Jusqu'aux 3/4 du film, j'étais prêt à mettre 4 étoiles. Mais malheureusement, la dernière partie du film a un peu tout gâché pour moi.
    Les bons côtés: de la science-fiction presque poétique et philosophique, et une montée en puissance peu à peu angoissante
    Les mauvais côtés: une impression de déjà-vu, la prestation de bien mais sans plus, et surtout une fin décevante, qui laisse sur sa faim et donne presque l'air d'être bâclée en sacrifiant aux poncifs du genre.
    Dommage, il aurait en ressortir quelque chose de bien.
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    43 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juin 2014
    Bon, ce projet de blockbuster sf ne donne pas envie ni sur le papier ni par sa bande annonce. Autant dire que je ne partais pas gagnant depuis longtemps. Mais quand j'ai appris que c'était le bébé du chef op de Nolan, et qu'il produisait, c'était fini, le brin d'estime que j'aurais pu avoir du film (et Dieu sait qu'il était inexistant) s'est envolé vers la stratosphère, direction la Lune. Pas que je déteste tous les films de Nolan, mais il a le don de m'énerver assez vite avec son côté magicien de pacotille.

    Bref, si le sujet n'est pas mauvais en soit, l'intelligence artificielle est un concept rebattu mille fois au cinéma et en littérature, et vu qu'il est compliqué de faire un film de sf réussi sans se foirer on n'a pas eu tant de films si réussis. Transcendence ne se démarque en rien du blockbuster sf moisi, sans intelligence ni talent derrière la caméra, et au contraire se vautre dans la médiocrité totale.

    Bon déjà les acteurs. La seule partie intéressante du casting (Morgan Freeman et Cillian Murphy) est honteusement sous-exploitée et ne sert strictement à rien, ils sont pas là le film est le même. On les remplace par des types lambda et le tour est joué. Sans doute sont-ils présents pour faire plaisir au bon producteur (histoire d'avoir encore une chance de tourner dans ses films). Le reste du casting ne vaut pas tripette il faut le dire, Rebecca Hall j'ai beau bien aimer sa frimousse, elle a un rôle féminin lambda, elle fait la potiche, n'est pas mise en valeur, rien d'intéressant. Et Depp, mon dieu, c'est une catastrophe, sa carrière est vraiment en chute libre, il a tellement l'air d'en avoir rien à foutre d'être ici et d'attendre patiemment son cachet, s'en est navrant. Dire que je l'aimais bien cet acteur avant, mais là... Seul un grand cinéaste pourra le sauver, et pas sûr que ça arrive un jour. Mann ne pourra pas toujours être là.

    Evidemment, le scénario est une ânerie du début à la fin, tout s'enchaîne terriblement vite, sans cohérence aucune, encore une fois on sacrifie tout sur l'autel du divertissement, il faut que ça aille vite, qu'on ait pas le temps de réfléchir, et tant pis si ce bordel de merde n'a aucun sens. Parce que putain niveau connerie on fait quand même assez fort. Rien que Depp et sa copine, grands scientifiques qui veulent sauver le monde, pff, tu le vois venir à 100 kilomètre mon cliché tout frais ?

    Ce qui est marrant c'est que le concept du film étant purement inacceptable logiquement, le film est contraint de recourir à la bonne vieille méthode du "oh ta gueule, c'est la science, ça marche c'est tout". Parce que bon désolé, j'ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne vois pas comment on peut transférer une conscience humaine dans un réseau informatique juste en la "connectant". Alors oui, sinon y a pas de film. Mais bon, comment tu veux croire une seconde au truc quand on t'explique qu'une intelligence artificielle peut créer un corps humain et prendre le contrôle des esprits humains sans qu'ils soient connectés en plus (comment, on ne le saura jamais) et contrôler le temps et la météo ? Mais tu comprends "c deu la science ficiton !!!". Mouais, ce n'est pas une excuse. On peut créer un univers inconnu, délirant, avec des trucs incroyables, et avoir quelque chose de cohérent. Total Recall y arrivait très bien (dans le domaine des films grand public). Là, ils ont juste eu la flemme d'en créer un, et à la place ont fait ce truc informe, simpliste et inintéressant. Avec des enjeux et des pouvoirs de l'ia si perchés, comment tu veux qu'on y croit ? Qu'on puisse même en tirer des conclusions, un message ?

    Bref c'est n'importe quoi, mais comme d'habitude je dirais, malgré la frimousse de Rebecca Hall.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2014
    Fan de SF et trés bon public avec le genre, transcendance m'as comme beaucoup déçu.. Le problème du film c'est que TELLEMENT gros, tellement rajouté, tellement pas crédible et incohérent que NON ce n'est possible. NON un ordinateur ne controlera pas de la matière comme ça "clap", non il ne se répendra pas dans les nuages et dans les consciences humaines en un claquement de doigt, et non un super centre scientifique dans le désert en sous sol avec un champ de panneaux solaires ça ne vaux pas 30 millions.

    Par contre la thématique du deuil est intéressante et la fin pas trop mal mais ça n'empeche qu'on s'ennuieeee en plus de ça avant..
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