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    The Smell of Us
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    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Un grand film à l'énergie rock et à la sensualité trash qui oscille entre romantisme et provocation. (...) Dans l'imaginaire de Larry Clark, on pourrait dire que dès qu'on a passé l'âge de 20 ans, dès que l'on n'est plus un adolescent, on est forcément perverti et quelque peu corrompu, jusque dans sa chair. (...) Larry Clark met en scène son propre vieillissement, son corps affaissé qui fait contraste à celui de la jeunesse, encore innocente et pure, à ces corps qu'il vient filmer au plus près dans une poésie rock'n'roll.

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    brunetol
    brunetol

    189 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2015
    C'est puissant. Pas très agréable à regarder, dérangeant : du Larry Clark. Des corps jeunes, des peaux imberbes, pas mal de poils aussi, confrontés à d'autres corps qui s'avouent "détruits" par le temps, mais la manière dont Clark filme ces chairs lisses ou flétries les remet à égalité. Pas de réelle narration, plutôt un florilège de séquences, de clips fragmentés soutenus par la musique omniprésente, trash, punk-rock ou Coltrane. Une sorte de "Springbreakers" très sale, primitif, tourné en France, centré sur les bandes de skaters du Trocadéro, sans qu'on puisse vraiment savoir si cette jeunesse-là existe vraiment, si elle se comporte comme ça, bref si la dimension documentaire du film est crédible ou si c'est juste l'étalage des fantasmes du réalisateur, sa fascination quasi-morbide pour ces jeunes déstructurés et nihilistes qui vendent leur corps en s'assommant de psychotropes pour se faire un fric dont ils n'ont pas vraiment besoin (la plupart habitent des 200m2 haussmanniens) et dont ils ne font rien à part s'acheter des montagnes de coke. Génération perdue, engendrée par des parents largués qui ont refusé de grandir, et qui, à l'image de l'hallucinante Dominique Frot dans une scène d'inceste anthologique, en sont resté au stade primal du désir infantile, presque au stade foetal. Mais désir transformé en matière cinématographique, qui circule sans cesse dans les images tantôt brutes et pixellisées des téléphones portables (ces gamins ne cessent pas de se filmer, comme ravagés par un narcissisme terminal), tantôt magnifiquement composées, de ce grand foutoir désespéré et stimulant, premier grand film de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 janvier 2015
    Dans la scène la plus longue, peut-être la plus essentielle de The Smell of us, Dominique Frot fait intrusion dans le film pour jouer le rôle de la mère de Math (Lukas Ionesco), qui se prostitue pour se faire de l'argent de poche. Elle a chaud, elle se déshabille et se frotte au corps à moitié nu de son fils, qui lui dit qu'elle est cinglée. « Il ne se passe rien », déplore-t-elle. Qu'est-ce qui peut encore se passer entre ces deux corps, se demande Larry Clark, quel contact peut encore exister entre l'éphèbe éthéré et cette mère d'une autre génération, d'un autre âge, qui parle comme Brigitte Fontaine? The Smell of us formule peut-être l'utopie de réunir tous ces corps: non pas les jeunes contre les vieux, mais les jeunes et les vieux, les skateurs et les clodos du Trocadéro. The Smell of us, c'est autant l'odeur des clients qui s'incruste sur le torse des garçons qui se vendent à eux, que celle de la nuque de Math, qu'un homme vient renifler dans une scène de boîte. Ce sont tous ces corps que le film veut mêler dans ses scènes les plus belles, celle du tatouage par exemple, où Rockstar, le clodo joué par Larry Clark, s'endort et se pisse dessus alors qu'on grave sur son avant-bras la tête de mort qui se trouve sur la main de Math. Voilà à quel abandon aspirent tous les personnages du film, jeunes ou vieux: tous veulent s'allonger, se reposer, dormir. Ce film parfois brutal est au fond d'une immense douceur. Ne surtout pas se fier aux critiques négatives, qui formulent un peu partout les mêmes arguments : c'est moche, sale, dégueu, immoral, ce n'est pas la réalité. Ce qu'il reste de The Smell of us, c'est plutôt l'abandon, la langueur, la somnolence. Ce n'est pas le moindre des paradoxes d'un film où les ados se vendent, se prostituent, mais apparaissent aussi comme des icônes intouchables, impénétrables. Eternité de la jeunesse qu'aucun film français n'a su saisir depuis trente ans. La dernière fois, c'était dans Boy meets girl de Carax. C'était en 1984.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2015
    Larry Clark est, il est difficile de le nier, un cinéaste important. Pourtant, il risque plus que jamais, avec ce dernier opus de diviser son public. Moins narratif, plus abstrait, The Smell of Us suit la déchéance physique et sexuelle d'adolescent parisiens sans chercher réellement à expliquer les raisons de leurs élucubrations. C'est trash, racoleur, malsain mais étonnement fascinant. Le film de Clark a beau être complaisant, il est empli d'idées de mises en scènes. Plus que jamais l’utilisation des caméras-vidéos, des portables donnent un sens au propos. C'est une société déshumanisée que nous présente le cinéaste américain. Mais cette recherche passe par un refus du réalisme. Clark met en scène un fantasme, des corps jeunes en perdition copulant avec des vieux, des pulsions autodestructrices, une énergie dévorante. The Smell of Us donne un peu la nausée mais est traversé de scènes folles parfois grotesques qui réussissent même à nous amuser. C'est une proposition de cinéma culottée, radicale mais qui prouve que Clark, a plus de 70 ans, n'a rien perdu de sa superbe. Subversif et délirant, mélancolique et malaisant, bref un moment de cinéma aussi atypique que passionnant.
    Miltiade
    Miltiade

    37 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2015
    « The smell of us », c’est du grand cinéma sordide.
    L’artiste, pour la première fois, se met lui-même en scène, à travers deux personnages différents (mais égaux de vulgarité et grossièreté). Il y a deux manières de voir cette incrustation du réalisateur dans ses propres images. Vient-il de franchir la dernière limite à ne pas dépasser – la séparation entre l’auteur et son sujet, point de départ du « malaise Clark », étant réduite à néant dans son dernier film ? Ou y fait-il preuve d’une honnêteté rare, courageuse et pleine d’autodérision, en reconnaissant lui-même qu’il est là où il ne devrait pas être ?
    Il est en fait difficile de trancher pour l’une ou l’autre manière de voir.
    Maintenant qu’il est (et se voit comme) quelqu’un d’âgé, la fascination de Larry Clark pour la jeunesse est plus aigüe que jamais. Lorsqu’il confronte parfois très crûment la jeunesse de la peau de ses acteurs au déclin de la vieillesse, il fait jaillir une mélancolie terrible et poignante.
    Mais cette fascination, qu’il assume comme jamais puisqu’il se filme lui-même en adorateur fétichiste de la jeunesse, n’en reste pas moins extrêmement perturbante, et même malsaine – la répétition des scènes de sexe vire rapidement à l’infâme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Clark continue son petit bonhomme de chemin, et évolue dans sa mise en scène. Beaucoup moins d'effets de style pour se concentrer uniquement sur le message délivré, et il est fort probable que celui de The Smell of Us en choque en choque pas mal. C'est toujours brut de décoffrage dans les représentations des corps, le casting est surprenant de qualité. On regrette juste des séquences de skate parfois bien trop longues.
    Fritz L
    Fritz L

    183 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Il est toujours difficile d’appréhender sereinement une œuvre de Larry Clark, avec ses constantes visions exacerbées d’une adolescence en perdition (dans le sens de la morale), ses relents fantasmatiques et malgré tout ses fulgurances d’esthète. Adulé ou conspué, Clark ne déroge jamais d’un iota (de Kids en 1995 en passant par « Ken Park » en 2002 et jusqu’à ce dernier opus) pour ce qui est de son envie de filmer, de montrer et d’appréhender un univers qui le fascine, l’adolescence, de manière presque morbide, une sorte de quête intellectualisée permanente de la fontaine de jouvence. Plus que jamais ressentie avec ce « The smell of us ». Il capte ou surprend des instants présents, pris sur le fait, et évoque le sentiment de liberté, l’intention (le vivre plus), la tentation, le passage à l’acte (no limit), la mort, qui trahissent sa propre peur de vieillir ou de mourir. Il cherche à refreiner le temps, tout en sachant que c’est impossible. Les corps se flétrissent, l’envie s’estompe, la raison défaille jusqu’à une fin de non recevoir. C’est derrière cet illusoire et fugace instant présent que courre Clark, où tout semble possible et sans fin, qu’il s’agisse de sensations, de jouissances, d’indépendance. Une prise de conscience de l’éphémère, qui distille un venin, celui d’un vécu à jamais perdu. Cette peur de l’inconnu (l’avenir) vient contraindre l’amour (plus aléatoire que la mort annoncée si effrayante) mais aussi la morale. Ainsi nous assistons à un paroxysme de comportements plus excessifs les uns que les autres (drogue, sexe, prostitution, alcool, déviances) entremêlés à des moments de grâce, de joie mais jamais d’espoir. « The smell of us » est un film sur la désespérance. Ce n’est par pour autant, ou pour être plus juste uniquement, une espèce d’auto psychothérapie, quelque peu onaniste, de Clark. Son film est une expression d’un monde en souffrance, où les adultes ne réussissent plus à véhiculer l’envie de vivre. Sa réflexion est autant philosophique qu’esthétique (certains plans ou cadrages sont uniques). La musique (comme toujours chez Clark) est prédominante et puissante, elle ajoute à la surexcitation ambiante, à la limite du tenable parfois. Larry Clark signe ici une espèce de film testament, reprenant quelques thèmes dominant de sa carrière, l’insouciance de la jeunesse, l’équivoque, l’ineffable, l’innocence, la précarité de l’existence, la mort… Il se choisit un clone, avec un acteur qui, comme lui, mais beaucoup plus jeune, filme le quotidien de cette bande, sorte de passage de relai, un témoin de ce vécu qui ne peut être annihilé ni par la mort, ni par le désespoir.
    Guiciné
    Guiciné

    162 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Un film ou un documentaire??? Tout est proche du vide et du néant, le scénario et les dialogues sont inexistant et les acteurs ne semblent pas être dirigé. L'ennui est permanent et les émotions au fond des abysses. À oublier.
    Fabien N.
    Fabien N.

    6 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2015
    On adore Larry Clark, sa radicalité, son audace, sa manière unique de filmer l'adolescence... Mais là, quelle énorme déception! Jeunesse à la dérive, parents absents ou défaillants, sensualité des corps juvéniles, les éléments habituels sont là. Et pourtant, ça ne marche pas, mais alors pas du tout. La virtuosité tourne au procédé, la proximité à la complaisance, le dérangeant se fait obscène. Et surtout, il manque un fil conducteur pour intéresser le spectateur à ce film décousu, à ces personnages auxquels on peine à accrocher.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Le sujet est correctement traité. Les acteurs jouent bien. Cependant l'ensemble sonne faux et l'on s'ennuie par moment.
    Butch06
    Butch06

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Habitué et adepte du cinéma de Larry Clark, c'est avec impatience que j'attendais son dernier film.
    Les attentes étaient nombreuses et elles sont totalement comblées. Plus qu'un film qui prend aux tripes, il s'agit également d'une expérience de cinéma: des plans d'une grande maîtrise, une bande originale comme toujours qui donne envie de l'écouter en boucle et des performances d'acteurs qui restent bien après la séance (mention spéciale à la mère du héros). Alors oui c'est sombre, les scènes fortes s'enchaînent mais on reste fasciné par ces personnages qui se cherchent et se perdent.
    Totalement dans la lignée de "Ken Park", "Bully" ou "Kids", Larry Clark prouve une nouvelle fois qu'il est bien le maître pour brosser un portrait de la jeunesse, sans concession, toujours avec son esprit punk bien intact. Voir un film avec autant de liberté et d'audace à l'écran, ça fait un bien fou en ce début d'année!
    César D.
    César D.

    36 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    et dire que ce film a été couronné au festival Chéries Chéris. incompréhensible. Larry Clark a réussi le tour de force de faire encore plus mauvais que ses précédents films. scénario indigent, image ultra moche, caméra atteinte d'épilepsie, et bien évidemment, des scènes de sexe avec des ados complètement inutiles et barbantes. je doute fort que les ados parisiens d'aujourd'hui peuvent se reconnaitre dans dans ces personnages frisant (pour être poli) le ridicule. ceci dit, leurs interprétation n'est pas mauvaise. dommage que leurs talents aient été utilisés pour un film aussi cheap.
    spoty753
    spoty753

    3 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    THE SMELL OF US
    Le dernier opus du controversé Larry Clark oscille entre sexe, drogue & skate! Subversif et sulfureux comme toujours, le cinéaste-photographe filme ici sa vision de l'univers parisiano-blasé où l'ado, après s'être adonné aux joies du skate, se livre à une autre "glisse" plus... exotique, explicite et rentable : la prostitution.
    Avec, navigant au milieu de tout cela, un anecdotique clochard septuagénaire (Larry, himself), témoin d'un temps qui passe où les relations sexuelles adolescentes sont devenues déshumanisées.

    La perte de repères voila le fer de lance de ce drame versant parfois jusque dans le glauque spoiler: (cf la scène de bouffage de pieds ou encore la mère à l'alcool incestueux)
    .

    Fidèle à lui-même, on retrouve là, la galaxie clarkienne et sa trashittude assumée : les corps sont jeunes, beaux, angéliques, rebelles, fétichisés et lascifs.

    En bref : Analogie entre une vieillesse perverse et une adolescence gourmande, désabusée : du Larry 100% pur jus quoi... on adore mais pour les adeptes du Monsieur!

    #movie #review
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Le suicide d'un réalisateur qui fut parfois très talentueux (je pense aux excellents Kids, Bully et Wassup rockers notamment). The Smell of Us est une succession médiocres de scènes poisseuses filmées avec une complaisance sans bornes pour les jeunes corps qu'il (le réalisateur) semble désirer. Malaise... ou comment être spectateurs des fantasmes pédophiles de Larry Clark. Artistiquement rien ne sauve "ce film" du naufrage puisque l'ensemble est extrêmement mal joué (a-t-il dirigé ses acteurs??? Il est probable que jouer dans certaines scènes sexuellement nauséabondes lui suffisait finalement...), les acteurs paraissant ne pas comprendre (à raison) ce qu'ils font dans ce fiasco. Une seule sensation perdure après l'apparition (tant attendue!) du générique de fin: la nausée!!!
    Jorik V
    Jorik V

    1 272 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2015
    Des corps qui se frôlent. Des bouches qui se touchent. Des vapeurs de fumées. Des lignes sniffées sur le pubis de l’autre. Des skate-boards qui virevoltent sur le parvis du Trocadéro. De très jeunes hommes, entre l’âge adulte et la fin de l’adolescence. Quelques jeunes filles aussi, surtout une au regard perçant. Des cinquantenaires aux corpas abîmés. De l’argent, du cash, fruit de sexe monnayé. Bienvenue dans le monde de Larry Clark !
    Le cinéaste américain que l’on avait un peu perdu de vue depuis le raté et ennuyant « Wassup Rockers » sur le monde du skate-board américain quitte sa Californie pour poser ses valises à Paris et cela lui va comme un gant. Même si le premier quart d’heure on a un peu peur tant sa caméra filme un peu tout et n’importe quoi, dès que le récit se focalise sur ses trois personnages principaux, le film prend son envol. Mais le mot récit est peut-être inapproprié car il n’y a pas vraiment d’arc narratif ni d’intrigue ici, comme souvent chez le cinéaste. On est plus dans une chronique ou des tranches de vies.
    Les jeunes acteurs, tous non professionnels, sont impressionnants de vérité. Larry Clark a toujours su caster ses films avec de nouvelles têtes et les diriger pour en tirer le meilleur. Lucas Ionesco et sa gueule d’ange, la sublime Diane Rouxel et le sauvage Hugo Behar-Thinières, archanges et ambassadeurs de la décadence morale, sexuelle et physique d’une certaine jeunesse dorée parisienne en perte de répères qui se fourvoie dans la prostitution, le racket, l’échangisme et la drogue fait froid dans le dos. Mais ces trois-là et les autres également sont magnétiques et la façon dont ils sont filmés rend certaines séquences carrément hypnotiques et belles malgré la laideur des actes montrés.
    Car attention, on est chez Larry Clark, et peut-être plus encore que dans « Ken Park » qui poussait le bouchon très loin mais ne nous touchait pas, certaines séquences de « The Smell of Us » dérangent et choquent. Pas la succession de scènes de sexe qu’on a déjà vu ailleurs et qui n’interpellera que les cul-bénis, mais davantage celle avec le fétichiste des pieds par exemple ou celle où Dominique Frot en mère complètement cintrée s’offre à son fils d’une manière si étrange qu’on hésite à en rire…
    Dans tous les cas, cette accumulation d’images sur les pratiques de ce petit groupe de post-adolescents délurés imprègne durablement la rétine. Etat des lieux d’une certaine jeunesse ou ode à une nouvelle façon de la vivre ? On doute. Mais la façon de filmer de Larry Clark, son montage et la musique utilisée font de son dernier opus un film à l’ambiance trouble et délétère mais qui nous aspire, à nos risques et périls…
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