Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Critikat.com
par Alexis Gilliat
Nulle trace de folklore utilitaire ou d’exotisme de pacotille dans l’univers de fascination que déploie Michel Spinosa : le film produit une forme d’accoutumance, un trouble fantastique dépouillé d’effets de genre, où l’hésitation demeure, quand bien même on croit moins à la possession qu’au fait que le veuf en vienne à s’y laisser prendre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Marjolaine Gout
"Son épouse" se révèle être ainsi un triptyque évanescent, déclinant les formes diverses et variées de la possession, porté par un solide casting.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Un voyage souvent déroutant, mais toujours surprenant.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Spinosa filme les scènes françaises dans des tons hivernaux puis se laisse lui aussi posséder par les couleurs claquantes de l’Inde et sa sidération devant l’asile, les yogis, les paysages semblent parfois prendre le pas sur le récit. Mais toutes les scènes avec Charlotte Gainsbourg (pelote de douleurs et vraiment excellente) tirent le film vers le haut.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
Tandis que Charlotte Gainsbourg s'abandonne avec une folle maîtrise, Yvan Attal convainc en vétérinaire veuf, désespéré, revenu de tout mais humaniste. Comme Michel Spinosa : chez lui, même les mauvais esprits ne sont finalement que des fantômes en mal d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce beau drame mâtiné de fantastique et de spiritualité plonge dans les zones d’ombre d’un couple en faisant fi du cartésianisme généralement attaché à ce type de production française. Troublant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Anne Diatkine
On sort du film en ayant envie de le revoir, mais différemment. On aurait peut-être supprimé la musique ou proposé un autre montage. (...) Charlotte Gainsbourg est impressionnante dans le rôle de celle qui porte un lourd secret.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le film "tient" et distille une énergie singulière, liée au sujet lui-même, mais aussi captée au fil d’un tournage quasi "documentaire".
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Un film sobre et réaliste, entre déchirement d'un couple, étude de cas clinique et confrontation culturelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) ce regard sur l’Inde et ses pratiques (...) n’a pas pour but essentiel de témoigner de la réalité locale, mais d’exotiser un malaise occidental. Sur ce plan, c’est réussi (...) Il y a un précédent plus réussi dans ce genre roman-kitsch : "Nocturne indien" d’Alain Corneau qui, malgré son artificialité, parvenait à générer un trouble kafkaïen.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Après une exposition prometteuse (...), le récit de ce drame se perd un peu dans les traditions du continent indien.
Positif
par Olivier De Bruyn
Le film, dans ses meilleurs moments, entraîne dans sa poésie noire, mais hélas, à force de miser à tout prix sur l'étrangeté s'abîme parfois dans l'artifice et les surenchères ésotériques. Intéressant, mais frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Les premières scènes (...) sont d'une beauté douloureuse et rare. La construction et le montage (...) nuisent quant à eux à l'empathie, et la mise en scène, plus théorique, ne trouve que rarement les fulgurantes promesses originelles.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Étrange postulat pour une œuvre aussi exotique qu’intimiste, dont la dimension documentaire est peu approfondie et la fiction trop à cheval entre deux cultures pour que nous puissions accorder du crédit à ces élucubrations mystiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Poussive, cette quête éperdue manque de conviction et de crédibilité.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malgré le message de partage, les deux mondes restent hermétiques l'un à l'autre, et Michel Spinosa hésite à jouer à fond la carte du surnaturel. Conséquences : un ton bancal et un film qui sonne faux.
Libération
par Didier Péron
L’exotisme indien d’un côté, la noirceur des vies dépeintes de l’autre, quelque chose se cherche dans le rapport entre couleurs ambiantes et ténèbres intérieures, mais la magie n’opère pas vraiment. Le film semble souvent forcé ou théorique avec des acteurs livrés sans secours aux affres de la dépression.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une profondeur géographique et métaphysique dont le film ne tire d'avantage que celui d'un vain exotisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
Nulle trace de folklore utilitaire ou d’exotisme de pacotille dans l’univers de fascination que déploie Michel Spinosa : le film produit une forme d’accoutumance, un trouble fantastique dépouillé d’effets de genre, où l’hésitation demeure, quand bien même on croit moins à la possession qu’au fait que le veuf en vienne à s’y laisser prendre.
Ecran Large
"Son épouse" se révèle être ainsi un triptyque évanescent, déclinant les formes diverses et variées de la possession, porté par un solide casting.
Télé 7 Jours
Un voyage souvent déroutant, mais toujours surprenant.
TéléCinéObs
Spinosa filme les scènes françaises dans des tons hivernaux puis se laisse lui aussi posséder par les couleurs claquantes de l’Inde et sa sidération devant l’asile, les yogis, les paysages semblent parfois prendre le pas sur le récit. Mais toutes les scènes avec Charlotte Gainsbourg (pelote de douleurs et vraiment excellente) tirent le film vers le haut.
Télérama
Tandis que Charlotte Gainsbourg s'abandonne avec une folle maîtrise, Yvan Attal convainc en vétérinaire veuf, désespéré, revenu de tout mais humaniste. Comme Michel Spinosa : chez lui, même les mauvais esprits ne sont finalement que des fantômes en mal d'amour.
aVoir-aLire.com
Ce beau drame mâtiné de fantastique et de spiritualité plonge dans les zones d’ombre d’un couple en faisant fi du cartésianisme généralement attaché à ce type de production française. Troublant.
Elle
On sort du film en ayant envie de le revoir, mais différemment. On aurait peut-être supprimé la musique ou proposé un autre montage. (...) Charlotte Gainsbourg est impressionnante dans le rôle de celle qui porte un lourd secret.
La Croix
Le film "tient" et distille une énergie singulière, liée au sujet lui-même, mais aussi captée au fil d’un tournage quasi "documentaire".
Les Fiches du Cinéma
Un film sobre et réaliste, entre déchirement d'un couple, étude de cas clinique et confrontation culturelle.
Les Inrockuptibles
(...) ce regard sur l’Inde et ses pratiques (...) n’a pas pour but essentiel de témoigner de la réalité locale, mais d’exotiser un malaise occidental. Sur ce plan, c’est réussi (...) Il y a un précédent plus réussi dans ce genre roman-kitsch : "Nocturne indien" d’Alain Corneau qui, malgré son artificialité, parvenait à générer un trouble kafkaïen.
Ouest France
Après une exposition prometteuse (...), le récit de ce drame se perd un peu dans les traditions du continent indien.
Positif
Le film, dans ses meilleurs moments, entraîne dans sa poésie noire, mais hélas, à force de miser à tout prix sur l'étrangeté s'abîme parfois dans l'artifice et les surenchères ésotériques. Intéressant, mais frustrant.
Première
Les premières scènes (...) sont d'une beauté douloureuse et rare. La construction et le montage (...) nuisent quant à eux à l'empathie, et la mise en scène, plus théorique, ne trouve que rarement les fulgurantes promesses originelles.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
L'Humanité
Étrange postulat pour une œuvre aussi exotique qu’intimiste, dont la dimension documentaire est peu approfondie et la fiction trop à cheval entre deux cultures pour que nous puissions accorder du crédit à ces élucubrations mystiques.
Le Figaroscope
Poussive, cette quête éperdue manque de conviction et de crédibilité.
Le Journal du Dimanche
Malgré le message de partage, les deux mondes restent hermétiques l'un à l'autre, et Michel Spinosa hésite à jouer à fond la carte du surnaturel. Conséquences : un ton bancal et un film qui sonne faux.
Libération
L’exotisme indien d’un côté, la noirceur des vies dépeintes de l’autre, quelque chose se cherche dans le rapport entre couleurs ambiantes et ténèbres intérieures, mais la magie n’opère pas vraiment. Le film semble souvent forcé ou théorique avec des acteurs livrés sans secours aux affres de la dépression.
Le Monde
Une profondeur géographique et métaphysique dont le film ne tire d'avantage que celui d'un vain exotisme.