Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les séquences très fortes marquent le spectateur qui se laisse prendre par un drame familial où le passé et le présent s’entremêlent. La réflexion à laquelle invite L’origine de la violence fait qu’on repense souvent au film après avoir quitté la salle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Choisissant la fiction pour évoquer la Shoah, Elie Chouraqui ne lésine pas sur le romanesque, mais son film traite avec sincérité et émotion de la transmission mémorielle.
Le Journal du Dimanche
par Eric Libiot
Élie Chouraqui signe un film âpre et prenant où s’entremêlent habilement petite et grande histoire. La réalisation est ambitieuse. Noire et tendue pour ausculter les tourments de son personnage principal interprété avec intensité par Stanley Weber. Plus lumineuse et aérée quand elle plonge dans l’avant-guerre encore insouciant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film part de l'ombre et aboutit à la lumière. Un schéma classique qui participe des qualités et limites de "L'Origine de la violence".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-nativel
Malgré ces maladresses, le film est porté par une belle sincérité, une implication totale de ses protagonistes, à commencer par ses acteurs : Stanley Weber, émouvant dans le rôle de Nathan Fabre, César Chouraqui, qui passe de la fougue espiègle à la terreur du déporté, Richard Berry d’une tendresse rare, Michel Bouquet en lumineux patriarche.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
Même si l’histoire, tirée du roman éponyme de Fabrice Humbert, est vraie, on a du mal à y croire, tant l’intrigue accumule les péripéties mélodramatiques alambiquées (...). Heureusement, le film est porté par d’excellents comédiens, notamment Richard Berry, toujours magnifique, qui font passer une authentique émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Noémie Luciani
C’est cependant moins sur l’ensemble que dans son attention portée à des singularités moins visibles, comme l’ambiguïté des motivations de Nathan, ainsi qu’à des rôles qui auraient pu rester très secondaires que "L’Origine de la violence" trouve sa force discrète, mais réelle.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Michel Bouquet est une belle caution et Richard Berry y joue une partition difficile. Mais comme toujours dans ces ambitieuses machines à secrets, la dernière partie est laborieuse car il faut dénouer jusqu'au bout l'écheveau. Ce qui ne manque jamais de provoquer une sensation de longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Damien Leblanc
(...) Elie Chouraqui livre un perturbant objet de cinéma. Car si les séquences au présent, centrées sur la recherche de vérité d’un héros un poil balourd, paraissent souvent minimalistes, elles laissent place à des flash-back qui jettent un regard intense sur la Shoah.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Christophe Carrière
Après un début très embrouillé, le film pèche par un style tout aussi confus et une interprétation très aléatoire.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ce roman sans nuances, mais pas sans qualités, de Fabrice Humbert, Elie Chouraqui a fait le choix de l’adapter presque littéralement. L’intention est respectable, le résultat est maladroit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
D’honorables sujets, massacrés par la mise en scène pataude et sans âme d’un réalisateur acharné à grossir le trait, à noyer ses images dans une épaisse soupe musicale, à accumuler les complaisances.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Élie Chouraqui a déployé une énergie farouche pour parvenir à adapter le roman de Fabrice Humbert. Le résultat, sans être indigne, n'est à la hauteur ni de ses efforts ni du sujet.
Paris Match
par Alain Spira
Pour que le devoir de mémoire soit efficace, il faut réinventer son écriture cinématographique pour la conjuguer au présent (voir «Le fils de Saul»), sans quoi le passé se dilue dans un déjà-vu qu'on n'a plus envie de voir…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
À l'image d'une partie de son casting, abusant d'un jeu trop théâtral, le cinéaste a la fâcheuse tendance de rajouter de l'émotion là où elle se suffit à elle-même. Un manque de recul qui gangrène son récit.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette histoire de passé qui ne passe pas est captivante. Hélas, les faiblesses de la mise en scène de Chouraqui et l'interprétation inégale ne rendent pas totalement justice au roman éponyme de Fabrice Humbert.
Télérama
par Samuel Douhaire
n sujet costaud (d'après le roman autobiographique de Fabrice Humbert, coscénariste du film), gâché par un excès de pathos et une réalisation qui pèse des tonnes. Les flash-back dans le camp de concentration sont particulièrement embarrassants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Les séquences très fortes marquent le spectateur qui se laisse prendre par un drame familial où le passé et le présent s’entremêlent. La réflexion à laquelle invite L’origine de la violence fait qu’on repense souvent au film après avoir quitté la salle.
Le Dauphiné Libéré
Choisissant la fiction pour évoquer la Shoah, Elie Chouraqui ne lésine pas sur le romanesque, mais son film traite avec sincérité et émotion de la transmission mémorielle.
Le Journal du Dimanche
Élie Chouraqui signe un film âpre et prenant où s’entremêlent habilement petite et grande histoire. La réalisation est ambitieuse. Noire et tendue pour ausculter les tourments de son personnage principal interprété avec intensité par Stanley Weber. Plus lumineuse et aérée quand elle plonge dans l’avant-guerre encore insouciant.
Franceinfo Culture
Le film part de l'ombre et aboutit à la lumière. Un schéma classique qui participe des qualités et limites de "L'Origine de la violence".
La Croix
Malgré ces maladresses, le film est porté par une belle sincérité, une implication totale de ses protagonistes, à commencer par ses acteurs : Stanley Weber, émouvant dans le rôle de Nathan Fabre, César Chouraqui, qui passe de la fougue espiègle à la terreur du déporté, Richard Berry d’une tendresse rare, Michel Bouquet en lumineux patriarche.
Le Figaroscope
Même si l’histoire, tirée du roman éponyme de Fabrice Humbert, est vraie, on a du mal à y croire, tant l’intrigue accumule les péripéties mélodramatiques alambiquées (...). Heureusement, le film est porté par d’excellents comédiens, notamment Richard Berry, toujours magnifique, qui font passer une authentique émotion.
Le Monde
C’est cependant moins sur l’ensemble que dans son attention portée à des singularités moins visibles, comme l’ambiguïté des motivations de Nathan, ainsi qu’à des rôles qui auraient pu rester très secondaires que "L’Origine de la violence" trouve sa force discrète, mais réelle.
Le Parisien
Michel Bouquet est une belle caution et Richard Berry y joue une partition difficile. Mais comme toujours dans ces ambitieuses machines à secrets, la dernière partie est laborieuse car il faut dénouer jusqu'au bout l'écheveau. Ce qui ne manque jamais de provoquer une sensation de longueur.
Première
(...) Elie Chouraqui livre un perturbant objet de cinéma. Car si les séquences au présent, centrées sur la recherche de vérité d’un héros un poil balourd, paraissent souvent minimalistes, elles laissent place à des flash-back qui jettent un regard intense sur la Shoah.
L'Express
Après un début très embrouillé, le film pèche par un style tout aussi confus et une interprétation très aléatoire.
L'Obs
Ce roman sans nuances, mais pas sans qualités, de Fabrice Humbert, Elie Chouraqui a fait le choix de l’adapter presque littéralement. L’intention est respectable, le résultat est maladroit.
La Voix du Nord
D’honorables sujets, massacrés par la mise en scène pataude et sans âme d’un réalisateur acharné à grossir le trait, à noyer ses images dans une épaisse soupe musicale, à accumuler les complaisances.
Les Fiches du Cinéma
Élie Chouraqui a déployé une énergie farouche pour parvenir à adapter le roman de Fabrice Humbert. Le résultat, sans être indigne, n'est à la hauteur ni de ses efforts ni du sujet.
Paris Match
Pour que le devoir de mémoire soit efficace, il faut réinventer son écriture cinématographique pour la conjuguer au présent (voir «Le fils de Saul»), sans quoi le passé se dilue dans un déjà-vu qu'on n'a plus envie de voir…
Studio Ciné Live
À l'image d'une partie de son casting, abusant d'un jeu trop théâtral, le cinéaste a la fâcheuse tendance de rajouter de l'émotion là où elle se suffit à elle-même. Un manque de recul qui gangrène son récit.
Télé 7 Jours
Cette histoire de passé qui ne passe pas est captivante. Hélas, les faiblesses de la mise en scène de Chouraqui et l'interprétation inégale ne rendent pas totalement justice au roman éponyme de Fabrice Humbert.
Télérama
n sujet costaud (d'après le roman autobiographique de Fabrice Humbert, coscénariste du film), gâché par un excès de pathos et une réalisation qui pèse des tonnes. Les flash-back dans le camp de concentration sont particulièrement embarrassants.