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César D.
37 abonnés
616 critiques
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4,0
Publiée le 19 septembre 2013
le dosage humour-drame est équilibré. les actrices toutes excellentes. j'ai passé un bon moment en compagnie de cette famille dysfonctionnelle, où secrets et mensonges sont légion. peut-être un peu trop "tragédie grecque", mais hey! c'est un film méditérranéen!
J'ai remplacé RIDDICK par ce film qui a débuté à 16 heures Et je ne le regret pas car il est plaisant en tout. Rire, pleur, fidélité, indécision et autres sont les maîtres mots. Personnellement il me rappel le film "La cage Dorée " dans son CHARME.
Après l’excellent Marock (voir ma critique ici ), la jeune réalisatrice marocaine récidive avec Rock the Casbah où elle plante les décors de son récit dans une citadelle de Tanger. Le thème principal de ce film, parfois drôle et d’autres fois poignant, est principalement la mort! En effet, le décès du patriarche, incarné par le très célèbre et rayonnant Omar Sharif, est le point d’entrée du scénario qui s’axe tout le long sur les trois jours de deuil, tradition musulmane, qui vont réunir sa famille, principalement des femmes, qui se remémore le défunt à travers des rires et des larmes. Cela a pour conséquences de réveiller un lourd secret qui pèse sur cette tribu marocaine au passé déchirant qui a mis à l’écart, avant cette tragédie funèbre, Sofia, l’héroïne du film. Elle est interprétée par l’attendrissante Morjana Alaoui, star également de Marock: ce qui en fait l’actrice fétiche de la cinéaste. On l’a également vu dans le film d’horreur Martyrs. Bref elle représente ici, la fille, et soeur, qui a fait ce choix de vivre sa vie librement aux states aux dépens des siens. Ce qui entraîne forcement de la jalousie mais aussi de l’admiration au sein de sa famille.
bon film sur les racines et la tradition à tanger. Belle interprétation pour un film assez poétique sur certaines scénes. Une famille à travers ses épreuves, contente de l'avoir vu
"Rock The Casbah" est le second film de la réalisatrice marocaine Laïla Marrakchi. Un film qui se déroule dans une famille de la haute bourgeoisie de Tanger, juste après la mort du patriarche. Un film dans lequel il n'y a, malheureusement, pratiquement rien à sauver : incohérences, clichés, situations improbables, y'a rien qui marche. On s'ennuie pratiquement en permanence et les comédiens (surtout des comédiennes, d'ailleurs) qui, dans d'autres films, ont prouvé leur qualité sont ici très, très mauvais. Même la grande Hiam Abbass n'est pas bonne, c'est tout dire.
Rock The Casbah nous propose de suivre le retour de Sofia, Marocaine partie aux Etats-Unis pour vivre une carrière d'actrice, dans son pays d'origine pour les funérailles de son père, décédé et laissant trois filles et un bon nombre de rancoeurs familiales non réglées. Les trois jours de la cérémonie seront donc l'occasion de faire ressortir certains non-dits parfois de manière légère, parfois moins. Au crédit du film il faut mettre certains dialogues et certains des personnages, qui bien que caricaturaux ne sont pas dénués d'esprit comique, une atmosphère à la fois de comédie et de drame que l'on connait bien mais qui ne fait pas de mal, et un scénario plus intéressant que ce qu'il pourrait sembler au départ. En revanche le film pèche par des rôles souvent surjoués et des dialogues assez clichés sur des préoccupation qui finalement ne sont que celles des familles les plus aisées, donnant au tout un légère couleur de nanard à la Marocaine, pas assez pour nous ôter complètement le sourire, mais suffisamment pour ne pas nous emballer. Le film s'égare d'ailleurs dans certaines longueurs (les monologues du défunt sont dispensables), l'intérêt du scénario met du temps à émerger, et malheureusement lorsqu'il émerge il est aussitôt tué dans l'oeuf... Dommage. A voir comme ça pour la touche de bonne humeur générale qui se dégage du film et qui fait passer innocemment la soirée.
Très bon film, avec des secrets de famille, tels qu'il pourrait y en avoir dans n'importe quelle famille, c'est universel à vrai dire...sauf qu'ici nous sommes au Maroc (magnifique pays), il y a le poids des traditions, la condition de la femme etc... Qu'on se rassure, il n'y a pas que des drames, il y a aussi beaucoup de sourires et de rires, de la poésie (avec le joli rôle d'Omar Sharif), on prend plaisir à voir évoluer cette famille (les comédiennes sont excellentes) qui se balance des choses en face, mais s'adore, en réalité... Un film intéressant et intelligent.
9 ans après son premier film "Marock" (sur les conflits générationnels) Laïla Marakchi retrouve sa cousine Morjana Alaoui qu'elle plonge dans un deuil familial entouré d'actrices d'origines diverses Hiam Abbass (israelienne), Lubna Azaval (belge d'origine marocaine), Nadine Labaki (libanaise) mais aussi d'acteurs comme Adel Benchérif (d'origine tunisienne) ou Omar Sharif (d'origine égyptienne)... Un beau panel du monde arabe... Le titre fait penser à une comédie familiale ryhtmée mais au final il s'agit d'une comédie dramatique assez sérieuse, on y sourit régulièrement mais on ne rit pas et on a droit à quelques larmes... Le scénario est très classique, le patriarche meurt et ouvre la porte à une remise en question et aux règlement de compte ; le milieu d'une famille musulmane traditionnelle étant censé ajouter un contexte enrichissant la position féministe du film. Il est malheureusement décévant que cette famille soit si embourgeoisée et que les trois filles soient la quintessence du poncif inclus dans le cahier des charges du genre (la fille qui a choisi l'occident, la prof qui a voulu faire plaisir à son papa, l'épouse malheureuse). D'ailleurs il est à noter que l'interprétation n'ait pas aidé à passer outre ces clichés, surtout Lubna Azabal d'habitude moins outrancière dans son jeu, ici une prof très prof engoncée dans tout ce qu'il ne faut pas faire. Est-ce la faute à la direction d'acteur ?!... Evidemment le sujet universel et l'empathie pour ce magnifique casting nous font passer un moment pas si anodin et riche de quelques scènes très réussies. A noter les apparitions du défunt Omar Sharif qui sonne un peu trop comme un film testament, bizarre... Des sourires et de l'émotion mais qui manque d'une réelle singularité pour marquer les esprits cinéphiles. Amusant d'ailleurs de remarquer la présence de Hiam Abbass et Nadine Labaki, toutes deux également réalisatrices qui ont autrement démontrées leur talent en faveur des femmes, la première avec "Héritages" (2011) et surout la secondepour le sublime "Caramel" (2007)...
Film sans message à passer , histoire basique , faut pas être un artiste pour écrire une telle histoire .. tellement ennuyeux qu' on montre des scènes inutiles : des filles qui font des courses au super marché , la bonne entrain de préparer le thé ... 0 efforts pour faire un film original avec une histoire et qui parle vraiment de vrais problèmes et de vraies vie des marocains ..
Une bande son géniale Une histoire de famille Bcp d'humour et d'émotions C'est bien filmé L'histoire tient la route : => Drôle et parfois des passages très touchants (les scènes d'enterrement etc...); bref je le recommande
Waw Waw et Waw A La triste est drole ce film est Magnifique Nadine Labaki est Genial dans ce Role c'est la premiere fois ou je vois Nadine Labaki dans toute sa gloire pour tant j ai vu tous ses films . Qu'elle continue .
Belle brochette d'actrices (que ce soit le sjeunes et les moins jeunes), belles images, douce et triste histoire. Vraiment un très beau film sur le deuil, la douleur de perdre le pillier de la famille. Très touchants de voir leur peine et leur histoir en coulisse. Joli film. triste, mais réussi. Beau tableau.
Un film dont on se demande pourquoi ce titre? Un milieu très aisé au Maroc. Le patriarche tout-puissant décède subitement et on assiste aux trois jours des funérailles. La famille et les proches se retrouvent autour du défunt et cela donne lieu à des règlements de comptes: le poids des traditions, la place de la femme et son émancipation, le droit de vivre une vie choisie. Une soeur s'est suicidée auparavant mais le sujet est tabou. Pourtant l' histoire de famille (que l'on découvre dans les dernières minutes) est assez glauque et ignoble mais elle est vraiment traitée "par dessus la jambe" dans le film et au final, tout est bien qui finit bien!! Nadine Labaki (Miriam) et Lubna Azabal (Kenza) surjouent et c'est bien dommage. Morjana Alaoui (Sofia) semble sincère et Raouia (Yacout), juste et vraie. Omar Sharif (le père) - toujours aussi séduisant - et Hiam Abbass (la mère) parviennent à émouvoir quelque peu mais cela ne suffit pas et ce film se traîne et s'étire. Pas "rock" du tout!
Les comédiennes sont bien mais pour le reste c'est du déjà vu. Des non dits et des histoires de famille qui ressortent apres la mort du patriarche , rien d'original donc sinon que cela se passe au maroc.