Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Tourné en décors naturels avec une distribution irréprochable, "Suite française" déploie une photographie magnifique au service d’une romance taboue sur fond de guerre.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une vision plutôt simpliste de l’Occupation, on se laisse attendrir par cette passion contrariée.
Le Parisien
par Alain Grasset
Cet amour impossible entre un militaire aux ordres de Hitler et une jeune Française est à la fois dérangeant, complexe et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Maryline Letertre
Pari réussi. C’est un soldat tourmenté, raffiné, cultivé, contraint de se battre sans l’avoir choisi, que présente "Suite Française", fresque romanesque et très classique destinée aux cœurs sensibles.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Olivier Corriez
Si "Suite française" peut apparaître de facture classique, la force de son histoire parvient à captiver le spectateur, à le faire vibrer pour cette romance interdite au dénouement forcément tragique. Il restitue avec force et respect ce qui a fait le succès du roman d'origine. Un bel hommage à son auteure.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CinemaTeaser
par Renan Cros
Efficace et élégant à défaut d’être surprenant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
La romancière Irène Nemirovsky travaillait à ce livre quand elle a été déportée. Le précieux cahier est devenu le prix Renaudot en 2004 à titre posthume. Et aujourd'hui un film émouvant.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Adapté du roman posthume retrouvé d’Irène Némirovsky, une évocation appliquée de la vie en France pendant les années noires.
Première
par Laura Meyer
De cet extraordinaire travail d’observation transposé en fiction, le film retient l’amour impossible entre une épouse esseulée et un Allemand, au détriment de la critique sociale. Ce regret ravalé, on peut se laisser séduire par les élégances d’un mélo joliment désuet électrisé par la présence de Matthias Schoenaerts (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Voici
par La Rédaction
Romance classique et assumée comme telle (...).
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) on aurait aimé que "Suite française" assume un peu plus son irrévérence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
En dehors du luxe de la reconstitution, il n'y a pas grand chose à sauver de cette romance tiédasse et convenue.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Surtout ne pas sortir des rails, jouer avec des archétypes généralement attribués au roman dit de gare. C’est dire que le réalisateur de "The Duchess", s’emparant ici d’un best-seller d’Irène Némirovsky, ne vise pas, par sa mise en scène décorative, à transcender le septième art.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par David Nathanson
Adaptation poussive du roman d'Irène Némirovsky, le film de Saul Dibb se révèle être ennuyeux, superficiel et maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un peu figé et convenu.
Positif
par Alain Masson
Jamais la mise en scène ne parvient à mettre vraiment en relation les personnages entre eux, faute de les inscrire dans un cadre concret et singulier. (...) Quant au reste, le récit se laisse lire, voilà tout.
Télérama
par Pierre Murat
Le réalisateur fait ce qu'il peut et réussit, par moments, ce qu'il veut, à savoir soigner ses décors et ses lumières, qui visiblement lui importent plus que ses personnages. Reste qu'Irène Nemirovsky est bien loin...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Comme souvent, lors d’adaptations d’ouvrages au cinéma, le livre reste encore la plus belle illustration d’une intention louable, (…) ; le cinéma, ici, n’apporte rien de plus au récit initial.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
D'une histoire sulfureuse et brûlante, Saul Dibb a fait un film policé, propre sur lui, irréprochable dans ses reconstitutions d'époque mais dont l'encéphalogramme émotionnel reste plat d'un bout à l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film a les allures d'un catalogue qui paraît avoir été conçu non après la parution du livre, en 2004, mais au temps de sa rédaction, en 1941 (...). Rumeurs, trahisons, résistance, éxécutions, rien ne manque à un tableau qui mériterait d'être appelé "l'Occupation pour les nuls".
La Croix
par Arnaud Schwartz
Tant de choses sonnent faux dans "Suite Française", qu'on se raccroche au jeu toujours impeccable de Kristin Scott Thomas pour ne pas rire (de gêne). Sur le même thème, mieux vaut encore revoir en DVD les épisodes de la série télévisée "Un village français", qui fait depuis cinq ans le bonheur de France 3.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Sandrine Marques
Poussiéreux, sans style, et dénué de toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le cinéaste déroule son catalogue d’images d’Epinal de la guerre au rythme d’un mélo ronflant, sauvé ici et là par les apparitions quasi parodiques de Kristin Scott Thomas, lancée dans un nouveau festival de moues grincheuses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
L'adaptation du roman d'Irène Némirovsky signée Saul Dibb, en offrant une France d'occupation d'opérette, est plus que décevante.
CNews
Tourné en décors naturels avec une distribution irréprochable, "Suite française" déploie une photographie magnifique au service d’une romance taboue sur fond de guerre.
Le Journal du Dimanche
Malgré une vision plutôt simpliste de l’Occupation, on se laisse attendrir par cette passion contrariée.
Le Parisien
Cet amour impossible entre un militaire aux ordres de Hitler et une jeune Française est à la fois dérangeant, complexe et bouleversant.
Metro
Pari réussi. C’est un soldat tourmenté, raffiné, cultivé, contraint de se battre sans l’avoir choisi, que présente "Suite Française", fresque romanesque et très classique destinée aux cœurs sensibles.
TF1 News
Si "Suite française" peut apparaître de facture classique, la force de son histoire parvient à captiver le spectateur, à le faire vibrer pour cette romance interdite au dénouement forcément tragique. Il restitue avec force et respect ce qui a fait le succès du roman d'origine. Un bel hommage à son auteure.
CinemaTeaser
Efficace et élégant à défaut d’être surprenant.
Femme Actuelle
La romancière Irène Nemirovsky travaillait à ce livre quand elle a été déportée. Le précieux cahier est devenu le prix Renaudot en 2004 à titre posthume. Et aujourd'hui un film émouvant.
Le Dauphiné Libéré
Adapté du roman posthume retrouvé d’Irène Némirovsky, une évocation appliquée de la vie en France pendant les années noires.
Première
De cet extraordinaire travail d’observation transposé en fiction, le film retient l’amour impossible entre une épouse esseulée et un Allemand, au détriment de la critique sociale. Ce regret ravalé, on peut se laisser séduire par les élégances d’un mélo joliment désuet électrisé par la présence de Matthias Schoenaerts (...).
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
Romance classique et assumée comme telle (...).
Critikat.com
(...) on aurait aimé que "Suite française" assume un peu plus son irrévérence.
Ecran Large
En dehors du luxe de la reconstitution, il n'y a pas grand chose à sauver de cette romance tiédasse et convenue.
La Voix du Nord
Surtout ne pas sortir des rails, jouer avec des archétypes généralement attribués au roman dit de gare. C’est dire que le réalisateur de "The Duchess", s’emparant ici d’un best-seller d’Irène Némirovsky, ne vise pas, par sa mise en scène décorative, à transcender le septième art.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation poussive du roman d'Irène Némirovsky, le film de Saul Dibb se révèle être ennuyeux, superficiel et maladroit.
Ouest France
Un peu figé et convenu.
Positif
Jamais la mise en scène ne parvient à mettre vraiment en relation les personnages entre eux, faute de les inscrire dans un cadre concret et singulier. (...) Quant au reste, le récit se laisse lire, voilà tout.
Télérama
Le réalisateur fait ce qu'il peut et réussit, par moments, ce qu'il veut, à savoir soigner ses décors et ses lumières, qui visiblement lui importent plus que ses personnages. Reste qu'Irène Nemirovsky est bien loin...
aVoir-aLire.com
Comme souvent, lors d’adaptations d’ouvrages au cinéma, le livre reste encore la plus belle illustration d’une intention louable, (…) ; le cinéma, ici, n’apporte rien de plus au récit initial.
Franceinfo Culture
D'une histoire sulfureuse et brûlante, Saul Dibb a fait un film policé, propre sur lui, irréprochable dans ses reconstitutions d'époque mais dont l'encéphalogramme émotionnel reste plat d'un bout à l'autre.
L'Obs
Le film a les allures d'un catalogue qui paraît avoir été conçu non après la parution du livre, en 2004, mais au temps de sa rédaction, en 1941 (...). Rumeurs, trahisons, résistance, éxécutions, rien ne manque à un tableau qui mériterait d'être appelé "l'Occupation pour les nuls".
La Croix
Tant de choses sonnent faux dans "Suite Française", qu'on se raccroche au jeu toujours impeccable de Kristin Scott Thomas pour ne pas rire (de gêne). Sur le même thème, mieux vaut encore revoir en DVD les épisodes de la série télévisée "Un village français", qui fait depuis cinq ans le bonheur de France 3.
Le Monde
Poussiéreux, sans style, et dénué de toute émotion.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste déroule son catalogue d’images d’Epinal de la guerre au rythme d’un mélo ronflant, sauvé ici et là par les apparitions quasi parodiques de Kristin Scott Thomas, lancée dans un nouveau festival de moues grincheuses.
Marianne
L'adaptation du roman d'Irène Némirovsky signée Saul Dibb, en offrant une France d'occupation d'opérette, est plus que décevante.