Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Soit par crainte d’être un peu trop secoué, on s’enfuit en courant, soit on trouve cette œuvre passionnante et d’une grande beauté. Nous sommes de ce radical parti.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est donc bien, au royaume de la jouissance effrénée et de l'utilitarisme consumériste, le refus héroïque de la satisfaction qui ouvre, à l'horizon de cette trilogie, la possibilité de la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Après les rudes “Amour” et “Foi”, Ulrich Seidl clôt son triptyque par un film d'une étonnante douceur, révélant chez lui une compassion inattendue, âpre mais bien réelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Séguret
C'est (...) l'extrême rigueur de son programme qui donne à [Ulrich] Seidl ce style unique dans le paysage contemporain : [il] agit en savant mais son cinéma s'exprime en artiste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Ollivier Pourriol
Ce cinéma à la fois dérangé et dérangeant, mais rigoureux et subtilement pervers, invente une qualité de comique très nouveau, très étrange, qui naît précisément de ce désordre que les corps désirants font naître dans le cadre.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Philippe Rouyer
S'en dégage une force de vie qui permet de clore la trilogie sur une paradoxale note de tendresse malgré la composition bouchée du dernier plan (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Le dernier volet de la trilogie s'avère le moins péremptoire. (...) Le cinéaste (...) se prend même de compassion pour cette héroïne qui ne connaîtra rien de ce qu'elle désirait en secret.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Ulrich Seidl réussit à rendre passionnantes et universelles des questions adolescentes sur les apparences, la communication, l'atavisme familial et le sexe (...). Belle, drôle et triste façon de clore de cette trilogie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Entre satire et drame intime du désir sans retour, (...) [Ulrich Seidl] signe un conte moral où l’émotion empathique, moteur du récit, trace magnifiquement sa route.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Si le cinéma d'Ulrich Seidl n'est pas aimable, il est réjouissant pour peu qu'on ait l'âme chevillée au corps et le coeur bien accroché. Pourtant, Seidl révèle ici une humanité qui ne lui est pas habituelle (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
Entre révulsion et fascination, on hésite. Cadre, composition, jeu des acteurs : tout est impeccable. Et même l'absence de vie sonne terriblement vivante.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On savoure les discussions entre ados, crues et vraies, même si cette fois le récit manque de densité et de chair.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Transfuge
par Frédéric Mercier
Seidl aura juste signé, sans le savoir, la nouvelle franchise d'un certain cinéma de genre bis et pervers dont la singularité est de se prendre très au sérieux.
Télérama
par Jacques Morice
Nettement moins réussi [que "Paradis : Amour"], (...) c'est parfois loufoque : Ulrich Seidel fait alors mouche sur le manque de confiance en soi, l'égarement et les désillusions de l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La rédaction
Même si la mise en scène porte toujours la marque froide et allusive du réalisateur autrichien, le propos reste assez sommaire dans un déroulé attendu. Pas de quoi y retrouver L'espoir promis par le titre de ce chapitre ultime.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Seidl appuie sa critique sociale sur le dos d'acteurs qu'il laisse s'ébattre et se ridiculiser dans le plan, et qu'il torture finalement autant que ses personnages. Pour leur reprocher quoi, dans le fond, sinon leur profonde insatisfaction sexuelle ? La belle affaire.
Critikat.com
par Alice Leroy
Ce Spring Break à l’autrichienne creuse le chemin de croix sur lequel chaque personnage traîne sa solitude.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
Soit par crainte d’être un peu trop secoué, on s’enfuit en courant, soit on trouve cette œuvre passionnante et d’une grande beauté. Nous sommes de ce radical parti.
L'Express
Voir le site de L'Express
Le Monde
C'est donc bien, au royaume de la jouissance effrénée et de l'utilitarisme consumériste, le refus héroïque de la satisfaction qui ouvre, à l'horizon de cette trilogie, la possibilité de la grâce.
Les Fiches du Cinéma
Après les rudes “Amour” et “Foi”, Ulrich Seidl clôt son triptyque par un film d'une étonnante douceur, révélant chez lui une compassion inattendue, âpre mais bien réelle.
Libération
C'est (...) l'extrême rigueur de son programme qui donne à [Ulrich] Seidl ce style unique dans le paysage contemporain : [il] agit en savant mais son cinéma s'exprime en artiste.
Marianne
Ce cinéma à la fois dérangé et dérangeant, mais rigoureux et subtilement pervers, invente une qualité de comique très nouveau, très étrange, qui naît précisément de ce désordre que les corps désirants font naître dans le cadre.
Positif
S'en dégage une force de vie qui permet de clore la trilogie sur une paradoxale note de tendresse malgré la composition bouchée du dernier plan (...).
Première
Le dernier volet de la trilogie s'avère le moins péremptoire. (...) Le cinéaste (...) se prend même de compassion pour cette héroïne qui ne connaîtra rien de ce qu'elle désirait en secret.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Ulrich Seidl réussit à rendre passionnantes et universelles des questions adolescentes sur les apparences, la communication, l'atavisme familial et le sexe (...). Belle, drôle et triste façon de clore de cette trilogie.
TéléCinéObs
Entre satire et drame intime du désir sans retour, (...) [Ulrich Seidl] signe un conte moral où l’émotion empathique, moteur du récit, trace magnifiquement sa route.
20 Minutes
Si le cinéma d'Ulrich Seidl n'est pas aimable, il est réjouissant pour peu qu'on ait l'âme chevillée au corps et le coeur bien accroché. Pourtant, Seidl révèle ici une humanité qui ne lui est pas habituelle (...).
Elle
Entre révulsion et fascination, on hésite. Cadre, composition, jeu des acteurs : tout est impeccable. Et même l'absence de vie sonne terriblement vivante.
Le Journal du Dimanche
On savoure les discussions entre ados, crues et vraies, même si cette fois le récit manque de densité et de chair.
Transfuge
Seidl aura juste signé, sans le savoir, la nouvelle franchise d'un certain cinéma de genre bis et pervers dont la singularité est de se prendre très au sérieux.
Télérama
Nettement moins réussi [que "Paradis : Amour"], (...) c'est parfois loufoque : Ulrich Seidel fait alors mouche sur le manque de confiance en soi, l'égarement et les désillusions de l'adolescence.
Ouest France
Même si la mise en scène porte toujours la marque froide et allusive du réalisateur autrichien, le propos reste assez sommaire dans un déroulé attendu. Pas de quoi y retrouver L'espoir promis par le titre de ce chapitre ultime.
Cahiers du Cinéma
Seidl appuie sa critique sociale sur le dos d'acteurs qu'il laisse s'ébattre et se ridiculiser dans le plan, et qu'il torture finalement autant que ses personnages. Pour leur reprocher quoi, dans le fond, sinon leur profonde insatisfaction sexuelle ? La belle affaire.
Critikat.com
Ce Spring Break à l’autrichienne creuse le chemin de croix sur lequel chaque personnage traîne sa solitude.