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J'ai été déçue par ce film, les histoires sont décousues, le scénario est creux. On a l'impression de voir un documentaire plutôt qu'un film ...
Ce film c'est juste la grosse blague, le Navet en OR de l'année 2013 ! Je n'ai jamais vu un film aussi nul et ennuyeux ! Surtout si vous aviez prévu d'y aller changer d'idée car vous perdrez votre temps et votre argent pour un film sans scénario, creux comme une huitre et surtout ou il n'y a aucun jeu entre les acteurs, des scènes caricaturales et insipide.
Allez y pour faire une sieste si vous avez 2h à ne rien faire mais sinon fuyez !
Je n'arrive pas à trouver un point positif à ce film c'est pour dire ...
Bon courage à ceux qui veulent aller le voir mdrr !!
Allez y pour faire une sieste si vous avez 2h à ne rien faire mais sinon fuyez !
Je n'arrive pas à trouver un point positif à ce film c'est pour dire ...
Bon courage à ceux qui veulent aller le voir mdrr !!
Excellent film pour moi ! Foisonnant d'humanité, très pertinent et intéressant.
La bande annonce m'a appâtée et j'ai ensuite vraiment apprécié ce film.
Passionnant de bout en bout.
Passionnant de bout en bout.
je suis aller voir ce "film" et jamais je n ai connue un tel ennuie abyssale , pas de scénario , jeu des acteurs pitoyables ,aucunes cohérence des scènes , des dialogues creux , voir débiles , le cadrage des cameras qui vous donne envie de vomir, et surtout deux heures de rien , de tortures , de caricatures grotesques .
la seule envie de ma part a était de vouloir fuir cette farce nulissime , l un des pires moment de ma vie .
la seule envie de ma part a était de vouloir fuir cette farce nulissime , l un des pires moment de ma vie .
À côté des quatre personnages principaux, existe une quantité de rôles secondaires (en gros ceux qu’Ismaël interroge pour les besoins de son enquête), la plupart africains ou asiatiques, exerçant des petits boulots (serveurs, dame pipi) en dessous de leur niveau d’études et alimentant le réservoir sans fond des sans-grades, des immigrés et des déplacés.
Gare du Nord constitue un inédit objet filmique, attachant et bancal, qui réserve des beaux moments d’émotion, d’autres instants cocasses qui installent une atmosphère fantastique inattendue dans un lieu dédié au transport, pourtant « une place de village global ». La cinéaste sait parfaitement utiliser tous les ressorts scénographiques de l’immense bâtiment haut de cinq étages, strié de dizaines d’escaliers mécaniques, offrant des perspectives et des angles de vue que le format cinéma parvient à idéalement mettre en valeur. Elle réussit pareillement à nous faire connaitre en quelques plans et minutes de minuscules fictions.
Peut-être la fiction, et au premier chef l’histoire d’amour, prend-elle largement le pas sur la dimension documentaire du film qui, du coup, ne prend que partiellement le pouls de l’endroit qui, pour les deux tiers, parait étrangement manquer de vie. Lorsque la gare est soudain immobilisée suite à l’occupation des voies par des manifestants, le film s’agite soudain et fait davantage corps avec son objet, en faisant d’ailleurs passer au second plan la romance qui parait s’étioler.
Au-delà des moments de flottement qui laissent penser que la pâte ne va pas lever ou va retomber aussitôt et des nombreuses ruptures de ton et de rythme, il n’en reste pas moins le parti pris audacieux de s’en tenir au périmètre de la gare, de ne pas faire exister par exemple l’histoire entre Ismaël et Mathilde à l’extérieur. Et il finit curieusement par s’en dégager un parfum tenace de mélancolie, celle qu’on ressent et qui prend aux tripes à savoir des milliers de possibilités en jachère et d’en voir à peu près autant s’évaporer (le thème de la disparition, réelle ou métaphorique, est récurrent, voire primordial, dans le film).
Gare du Nord constitue un inédit objet filmique, attachant et bancal, qui réserve des beaux moments d’émotion, d’autres instants cocasses qui installent une atmosphère fantastique inattendue dans un lieu dédié au transport, pourtant « une place de village global ». La cinéaste sait parfaitement utiliser tous les ressorts scénographiques de l’immense bâtiment haut de cinq étages, strié de dizaines d’escaliers mécaniques, offrant des perspectives et des angles de vue que le format cinéma parvient à idéalement mettre en valeur. Elle réussit pareillement à nous faire connaitre en quelques plans et minutes de minuscules fictions.
Peut-être la fiction, et au premier chef l’histoire d’amour, prend-elle largement le pas sur la dimension documentaire du film qui, du coup, ne prend que partiellement le pouls de l’endroit qui, pour les deux tiers, parait étrangement manquer de vie. Lorsque la gare est soudain immobilisée suite à l’occupation des voies par des manifestants, le film s’agite soudain et fait davantage corps avec son objet, en faisant d’ailleurs passer au second plan la romance qui parait s’étioler.
Au-delà des moments de flottement qui laissent penser que la pâte ne va pas lever ou va retomber aussitôt et des nombreuses ruptures de ton et de rythme, il n’en reste pas moins le parti pris audacieux de s’en tenir au périmètre de la gare, de ne pas faire exister par exemple l’histoire entre Ismaël et Mathilde à l’extérieur. Et il finit curieusement par s’en dégager un parfum tenace de mélancolie, celle qu’on ressent et qui prend aux tripes à savoir des milliers de possibilités en jachère et d’en voir à peu près autant s’évaporer (le thème de la disparition, réelle ou métaphorique, est récurrent, voire primordial, dans le film).
Je déteste la Gare du Nord, tout comme je déteste la SNCF et tout ce qui tourne autour. Ceci dit, ce film est compliqué à souhait. On a du mal à discerner le vrai du faux, la réalité de la fiction, le bon sens du délire. L'idée de départ était intéressante, mais malheureusement quelque chose sonne totalement faux là-dedans et on se perd dans un dédale de petites scènes mal connectées entre elles. Tournage et prises de vue fatigants, prise de son foireuse avec des dialogues souvent incompréhensibles, montage maladroit : je suis désolé, ceci est à la limite du cinéma d'amateur. Et les acteurs ne sauvent rien du tout là dedans. Deux étoiles pour récompenser l'originalité du thème : c'est vachement bien payé, n'en déplaise aux critiques professionnels et aux inconditionnels du cinéma tordu.
Trés déçue par ce film qui traine en longueur et qui n'est pas arrivé a m'intéresser.
ça se veut inventif et ce n'est que vu et revu, avec un décor nouveau. ça se veut intelligent alors que ça accumule tous les poncifs du genre. ça se veut ésotérique là où ça n'est que niais, ça se veut bien joué alors que tout repose sur une Nicole Garcia toujours aussi névrotique...mais heureusement qu'elle est là et qu'elle joue bien parce qu'elle est bien la seule. éligible au plus mauvais film de l'année voire de la décennie, c'est creux, prétentieux, bête, et comme tous les films qui accumulent ce genre de saynètes sans fond, ce n'est que pour masquer l'indigence du scénario. A fuir, je me demande encore pourquoi je suis resté pour contempler ce désastre...pas une scène pour rattraper l'autre, il faut quand même le faire ! heureusement, le film est très mal distribué...on comprend pourquoi !
Heureusement qu’il y a la présence et le charisme de Nicole Garcia ainsi que le très bon jeu de cet acteur Rada Kateb, cantonné jusqu’ici aux seconds rôles, qui nous prouve la qu’il est un excellent acteur, car sans eux, je ne serai pas resté jusqu’à la fin tant le film est mauvais. Un sujet de sociologie, qui, s’il avait été bien mis en scène, aurait pu être un film vraiment intéressant, mais la lourdeur des dialogues est insupportable. Je comprends les personnes qui ont quitté la salle avant la fin. La réalisatrice part dans toutes les directions avec des sujets complètement différentiels sans qu’un seul ne soit véritablement traité. J’ai rarement vu un film aussi mauvais.
dominique P.
Ce film est un peu trop long et se passe toujours pratiquement au même endroit mais il est bien intéressant.
On s'attache aux personnages, c'est assez rythmé et bien vu.
On s'attache aux personnages, c'est assez rythmé et bien vu.
Le scénario du film est à l'image de cette gare: il n'a ni queue ni tête. On a le sentiment d'avoir ici un documentaire superbe sur les populations de la gare du Nord, mais le côté fiction s'effondre tant les personnages sont mal traités, et leurs problèmes mals exploités. Le tout donne un film plutôt ennuyeux à en sortir déprimé.
Un non film vide, insipide, sans scénario, nombrilisme , mal filmé, sans intérêt aucun. Mais que sauver d'un tel naufrage sans aucune construction, et déserte par les spectateurs plus les longues 110 (!!!) minutes avançaient . C'est consternant de médiocrité et de suffisance . Un film a l'image de la production française de l'heure, qui n'existe que grâce a l'argent des contribuables la région île de France ayant financé cette nullité .
Ce film choral original et touchant est une fiction parsemée de passages aux airs de documentaire qui suit les tribulations d'une poignée de personnages en souffrance tous très bien interprétés (particulièrement Nicole Garcia) au milieu de la gare du Nord et de ses fantômes.
Belle peinture de notre société à travers les rencontres de 4 personnages dans une gare. On les suit avec passion pour connaître leurs liens mais malheureusement le film paraît bien long avec quelques temps morts qui gâchent
le plaisir. De plus, les quelques aspects mystiques n'ont pas trop leur place dans l'histoire. En tout cas je regarderai les gares différemment à présent. Mention spéciale à Monia Chokri, très crédible dans son rôle!
le plaisir. De plus, les quelques aspects mystiques n'ont pas trop leur place dans l'histoire. En tout cas je regarderai les gares différemment à présent. Mention spéciale à Monia Chokri, très crédible dans son rôle!
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