Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un récit d'initiation drôle et touchant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Jason Weils
Un sujet riche, d'une image léchée - renforcée par la 3D - et d'un casting poilant, la musique du film, signée Bruno Coulais, fait beaucoup pour nous retenir dans cette balade en pleine jungle.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
par Caroline Vié
"Amazonia" plonge le spectateur au cœur de la forêt amazonienne avec ses prises de vues vertigineuses réalisées en 3D relief pour mieux l’immerger dans une nature foisonnante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Jeanne Pouget
Avec la 3D, on plonge dans un spectacle grandiose fait de jeux de lumière, et on se laisse emporter par la musique de Bruno Coulais comme un papillon dans le courant du vent!
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Une magnifique épopée en 3D du réalisateur de La Planète blanche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par La rédaction
"Amazonia" est une plongée vertigineuse au cœur d'une végétation bruissante de vies, de beautés, de dangers.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Magnifiés par la 3D, le tatou et le toucan voisinent avec le dauphin rose et le scarabée rhinocéros (...)
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Si cette fable, teintée d'écologie et réalisée au prix de mille difficultés, n'évite pas toujours l'écueil de l'anthropomorphisme naïf, la splendeur des décors naturels, la qualité de la 3D et de la musique, signée Bruno Coulais, feront leur effet sur le jeune public.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le film de Thierry Ragobert est une prouesse : une fiction 100 % animalière au coeur de l'Amazonie, écosystème qui abrite 10 % des espèces de la planète. Bruits, humidité, animaux plus surprenants ou colorés les uns que les autres : grâce à la photo somptueuse et à la 3D, on est en immersion dans le paradis vert.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Ce héros (un singe capucin), petite boule de poils attendrissantes, devrait faire fondre les enfants (...) En revanche, les plus grands risquent de ne pas trouver leur compte devant l'anthropomorphisme gentillet de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Il faudrait un jour cesser cette manie d’utiliser un bébé animal en guise de fil rouge narratif (...) Ce dispositif alourdit considérablement un film comme "Amazonia"(...). Ceci posé, les prises de vue sont splendides et l’atmosphère colorée et hostile de la jungle, particulièrement envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Au final, Amazonia sait étonner et désappointer, et se contente de rester dans l’ombre du monument de documentaire qu’il aurait pu être, alors qu’il en avait tous les moyens, techniques, financiers et même artistiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Fiction ou documentaire ? Prétexte ou nécessité ? On aurait aimé que le réalisateur fasse un choix plus net, pour un film qui, en 3D ou pas, aurait du coup été plus tenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
« Amazonia » ne parvient jamais à susciter l’émotion du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Hubert Prolongeau
"Amazonia" (...) [gaspille] des moyens énormes à nous offrir une vision lisse et apaisée d'un monde bêtement idéalisé.
Première
par Bernard Achour
Images superbes et 3D soignée n’empêchent pas l’anthropomorphisme lénifiant du spectacle de faire passer les documentaires de Disney Nature pour "Cannibal Holocaust".
La Croix
Un récit d'initiation drôle et touchant.
Le Point
Un sujet riche, d'une image léchée - renforcée par la 3D - et d'un casting poilant, la musique du film, signée Bruno Coulais, fait beaucoup pour nous retenir dans cette balade en pleine jungle.
20 Minutes
"Amazonia" plonge le spectateur au cœur de la forêt amazonienne avec ses prises de vues vertigineuses réalisées en 3D relief pour mieux l’immerger dans une nature foisonnante.
Elle
Avec la 3D, on plonge dans un spectacle grandiose fait de jeux de lumière, et on se laisse emporter par la musique de Bruno Coulais comme un papillon dans le courant du vent!
Les Fiches du Cinéma
Une magnifique épopée en 3D du réalisateur de La Planète blanche.
Paris Match
"Amazonia" est une plongée vertigineuse au cœur d'une végétation bruissante de vies, de beautés, de dangers.
Positif
Magnifiés par la 3D, le tatou et le toucan voisinent avec le dauphin rose et le scarabée rhinocéros (...)
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Si cette fable, teintée d'écologie et réalisée au prix de mille difficultés, n'évite pas toujours l'écueil de l'anthropomorphisme naïf, la splendeur des décors naturels, la qualité de la 3D et de la musique, signée Bruno Coulais, feront leur effet sur le jeune public.
Télérama
Le film de Thierry Ragobert est une prouesse : une fiction 100 % animalière au coeur de l'Amazonie, écosystème qui abrite 10 % des espèces de la planète. Bruits, humidité, animaux plus surprenants ou colorés les uns que les autres : grâce à la photo somptueuse et à la 3D, on est en immersion dans le paradis vert.
Le Journal du Dimanche
Ce héros (un singe capucin), petite boule de poils attendrissantes, devrait faire fondre les enfants (...) En revanche, les plus grands risquent de ne pas trouver leur compte devant l'anthropomorphisme gentillet de l'ensemble.
TéléCinéObs
Il faudrait un jour cesser cette manie d’utiliser un bébé animal en guise de fil rouge narratif (...) Ce dispositif alourdit considérablement un film comme "Amazonia"(...). Ceci posé, les prises de vue sont splendides et l’atmosphère colorée et hostile de la jungle, particulièrement envoûtante.
aVoir-aLire.com
Au final, Amazonia sait étonner et désappointer, et se contente de rester dans l’ombre du monument de documentaire qu’il aurait pu être, alors qu’il en avait tous les moyens, techniques, financiers et même artistiques.
Le Monde
Fiction ou documentaire ? Prétexte ou nécessité ? On aurait aimé que le réalisateur fasse un choix plus net, pour un film qui, en 3D ou pas, aurait du coup été plus tenu.
Le Parisien
« Amazonia » ne parvient jamais à susciter l’émotion du spectateur.
Marianne
"Amazonia" (...) [gaspille] des moyens énormes à nous offrir une vision lisse et apaisée d'un monde bêtement idéalisé.
Première
Images superbes et 3D soignée n’empêchent pas l’anthropomorphisme lénifiant du spectacle de faire passer les documentaires de Disney Nature pour "Cannibal Holocaust".