Mon compte
    Dans la cour
    Note moyenne
    3,3
    1657 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Dans la cour ?

    268 critiques spectateurs

    5
    15 critiques
    4
    82 critiques
    3
    86 critiques
    2
    52 critiques
    1
    24 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    circusstar
    circusstar

    136 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Pour qui aime la dépression et les dépressifs ( même si ce sont de très bons acteurs ) ce film sera pour vous. En tout cas : c'était pas pour moi !
    jmjbest2
    jmjbest2

    27 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Prenez ttes les remarques 2 étoiles ci dessus, tout est dit
    La critique officielle une fois de plus trop complaisante..!
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2014
    Dans la cour est un film superbe, à la fois drôle, émouvant et aussi anxiogène. Pierre Salvadori bénéficie d'un beau casting. Catherine Deneuve trouve un de ses plus beaux rôles dans le rôle d'une femme qui glisse progressivement, dont la personnalité se fissure. Le personnage est superbement bien écrit, réfléchi. Gustave Kerven trouve son grand rôle, un homme à bout de course bon et généreux. N'oublions pas tous ces superbes seconds rôles (Féodor Atkine et autres...). Triste le film l'est sûrement à l'image de sa conclusion inoubliable à pleurer. Dans la cour est aussi drôle, regorgeant de scène hilarantes (le chien dévorant la maquette, la démonstration de l'architecte et son croquis, la séance de diapositives.) Nous sommes là dans le vrai humour noir, teinté de surréalisme. Il y a une certaine tension dans le film, la peur que le concierge soit critiqué, que la femme soit empêchée dans sa quête absurde.... Eh puis il y a la mise en scène dans un lieu clos d'un immeuble du 11ème, étouffement ressenti mais les scènes en extérieures sont bien filmées. Le début du film, d'entrée plait avec ce départ sur scène en valise. Une musique discrète mais, la scène spoiler: de délire du toxico où il voit un chien géant qui dévore la ville
    a quelque chose de magique du registre du fantastique. Même si le film patine vers son milieu par certaines hésitations scénaristiques, Dans la cour est le meilleur film français de ce début d'année.
    choppinou
    choppinou

    4 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    J'ai bien aimé ce film porté par les 2 personnages principaux qui sont Antoine et Mathilde... On suit l'évolution de leur lien au fil de cette histoire qui se déroule au cœur de la communauté d'un immeuble!
    Il y a là de nombreux personnages plus ou moins paumés et désorientés! Ce film aborde avec délicatesse le problème de la solitude,du chômage,et de la dépression qui peut en résulter... du rôle que chacun a besoin de jouer ds la société,y compris qd l'heure de la retraite a sonné!! Antoine ,le personnage principal,avec ses faux airs de Raphaël Mezrahi (que ce soit physique ou son phrasé lunaire,c'est troublant) est très touchant! Il permettra la résurrection de Mathilde au travers d'un drame! J spoiler: 'ai bcp aimé la symbolique du rosier tt à la fin qui évoque la renaissance et la vie qui reprend le dessus tt comme Mathilde!
    Belle performance de Catherine Deneuve!!
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    J'ai bien peur que l'horrible manteau vert que porte Catherine Deneuve dans ce film ne soit un frein à sa carrière en salle. J'entends d'ici les spectateurs cherchant quelque chose à se mettre sous les yeux lors d'un morne week end, dire en voyant l'affiche et surtout la photo qui traîne dans tous les magazines : "Pfff Deneuve qui essaie de faire peuple a accepté de porter une fringue de chez H&M ! Pas crédible ! " Ceux qui savent que l'habit ne fait pas forcément le film iront jusqu'à lire le résumé et y trouveront les mots " dépression" ou " fissure", termes guère engageant pour un film réalisé par un spécialiste de la comédie. Et puis le visage désabusé, au bord du suicide de Gustave Kervern n'inspire pas vraiment non plus l'hilarité et laisse sous entendre un de ces films neurasthéniques qui sont une des spécialités du cinéma français. De prime abord, ce film n'a pas grand chose d'attirant, aucun élément vendeur, sauf peut être Catherine Deneuve mais l'effet est annihilé pour cause de tenue vestimentaire improbable.
    Il faudra donc un tout petit peu de courage ou de curiosité pour découvrir que "Dans la cour" est un film vraiment épatant. Après avoir lorgné vers les comédies façon Lubitsch, Pierre Salvadori revient vers un cinéma moins huilé, mais peut être tout aussi codé, le film choral. En plaçant sa caméra dans une cour d'immeuble plutôt moche, enfermant ses personnages dans un lieu clos, il réussit à nous étonner puis à nous émouvoir et au final, nous faire oublier l'horrible fripe de Mme Deneuve. Tout ce qui passait pour être sur le papier, cliché (les voisins un rien fêlés) ou improbable (Catherine Deneuve en femme lambda) ou lourdement symbolique (la fissure qui risque faire écrouler l'immeuble) devient ici délicat, décalé, drôle ou tendre. Chaque scène offre un moment inattendu, jamais surjoué et toujours en rapport avec le thème central du film : la fragilité et cette solitude omniprésente chez nos contemporains. De l'employée de pôle emploi au bord des larmes au voisin architecte hyper stressé, tous sont au bord de sombrer, il suffirait d'un détail pour que tout bascule, comme le personnage de Catherine Deneuve et sa fissure dans son appartement. La réalité est complice de leur petite folie mais se révèle une alliée bien sournoise.
    Ce sont ces moments fragiles que capte si bien la caméra de Pierre Salvadori, tout en nuance, sans jamais appuyer son propos, il rend ses personnages, totalement humains et touchants. Toujours entre sourire et tristesse, le film dégage un très agréable parfum d'humanité. On se prend à aimer le personnage d'Antoine, pourtant guère expressif, mais sa solitude et son regard de pauvre ours abandonné se raccrochant à cette femme à la dérive, car c'est notre propre fragilité qu'il nous renvoie.
    La fin sur le blog
    zeligette
    zeligette

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Salvadori mêle avec habileté la comédie et le drame, et on reconnaît les failles et les angoisses qui animaient déjà les personnages des Apprentis.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    On pouvait craindre beaucoup de choses à la lecture du script et du casting du nouveau film de Pierre Salvadori : des numéros d'acteurs un peu vains, une sorte de surenchère dans le misérabilisme psychologique, une petite chose parisienne étriquée à la mesure d'une cour d'immeuble, un succédanné d'esprit grolandais avec le snobisme chic que cela comprend.

    La suite ici :
    csma
    csma

    4 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2014
    .Film tourné en clair obscur, donc peu lumineux, dans la grisaille ambiante d'une cour d'immeuble sans aucun charme... en dehors de l'excellente interprétation de tous les acteurs, l'idée est bonne mais se termine en eau de boudin... me suis ennuyée sur la seconde moitié du film.
    basset lune
    basset lune

    2 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Très bon film, une comédie touchante, drôle, intelligente. Vive le tragi-comique !!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 avril 2014
    Petites fissures et grandes fêlures...

    "J'ai envie de dormir". Au moment de rentrer en scène le musicien incarné par Gustave Kervern a du vague à l'âme. Quelque chose commence à se fissurer dans sa vie. Il semble ne pas trop savoir ni à quoi ni à qui se raccrocher, et c'est finalement dans la loge du gardien d'immeuble de la femme jouée par Catherine Deneuve qu'il va s'échouer. Elle le recueille d'abord parce que son intuition lui dit qu'elle doit le faire et ensuite parce qu'il n'est pas sûr de lui. "Moi j’aime les gens pas sûrs d’eux, au moins ils s’appliquent". Elle doit aussi voir le pressentiment que quelque chose est en train de changer en elle. Cela se matérialise par la fissure bien réelle qui se forme sur le mur de son séjour et qui symbolise le changement qui est en cours dans son cerveau.

    C'est un film tout en finesse et en nuances avec beaucoup de sensibilité de tendresse pour ses personnages. Beaucoup d'humour aussi dans sa description des situations qui peuvent parfois cocasses mais souvent très proches de la réalité. Il donne une lecture souvent à tiroirs des dérèglements que nous connaissons tous personnellement ou par l'observation de nos proches au cours de notre vie. Ces fêlures et les gens qui les portent ont quelque chose d'attendrissant peut-être un peu parce qu'elles laissent passer la lumière. Et des fêlés ce film en regorge. Entre le toxico qui vend des vélos et le parano qui pousse des hurlements de chien dans la cour au beau milieu de la nuit. Il n'y a guère que le mari de Deneuve, ex-syndicaliste, pour sembler à peu près équilibré. Ce qui n'empêche pas sa femme de le traiter de communiste à tendance stalinienne.
    Les symboles, dans ce film, on en trouve un petit peu partout. On y trouve également quelques clins d'œil et nombre de répliques ou scènes très affûtées. L'époux de Deneuve ne la contredit pas quand elle dit qu'elle habite au cinquième étage alors qu'ils habitent au troisième. Plus loin dans le film, une personne habitant un autre immeuble témoigne que son appartement est descendu du deuxième au rez de chaussée à cause d'un glissement de terrain.
    La toute fin du film est moins légère et les rires se font plus rares dans la salle. Mais l'optimisme dans le désespoir renaît toujours avec la farouche détermination de la fleur qui perce la neige au sortir d'un rude hiver.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Voilà un très joli film, lumineux, d'une tendresse inouïe. Deneuve est éclatante et surtout très bien dirigée. On est ému, jamais triste et on sort de ce film grandi.
    galau7
    galau7

    30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Un grain de folie dans les personnages font de cette fable intimiste un spectacle très plaisant où se mêlent rires et larmes. C. Deneuve dans un rôle où on ne l'attendait pas forcément.
    fernand l
    fernand l

    222 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Pas mal pour les dialogues mais bien pessimiste...
    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 avril 2014
    le fait de faire de la chirurgie malgré le bon jeu de l'actrice fait que l'on perd les accroches du film . Sombre cela ne nous entraine pas sur les chemins attendus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Sublimement joué et bien inspiré, ce film très simple révèle ses trésors dans la compréhension des maniaco-dépressifs. Amusant, attendrissant, c'est un peu cliché du film français mais dans le bon sens. Il cible un public particulier mais dans son genre, je l'ai trouvé réussi!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top