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    Dans la cour
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    268 critiques spectateurs

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    galau7
    galau7

    30 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Un grain de folie dans les personnages font de cette fable intimiste un spectacle très plaisant où se mêlent rires et larmes. C. Deneuve dans un rôle où on ne l'attendait pas forcément.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 avril 2014
    Deneuve géniale... Kervern touchant. Ma-gni-fi-que.
    À voir absolument. Une histoire simple avec des gens simples. Un plaisir de regarder ce petit monde s'ébattre dans leur petit monde. Merci.
    Stefiwat75
    Stefiwat75

    9 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2014
    C'est un film de grande tendresse avec des personnages profonds... Beaucoup de réflexions pures sur nos vies pas toujours faciles...
    françoise M.
    françoise M.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2014
    Le film qui m'a procuré le plus de plaisir depuis le début de l'année
    Je suis encore sous le charme de Deneuve , Kerven et des autres acteurs tous excellents.
    J'adore ces films dont le fonds est sombre mais la forme lumineuse , drôle , légère parfois .
    Unité de lieu certes , mais diversité des situations , dialogues savoureux , des surprises , du rythme , de l'émotion , de l'empathie pour ces personnages torturés ,.J'ai adoré ce film car il procure humblement et sans chichis mais sans facilités non plus , du plaisir , de la réflexion , de l'étonnement , de la joie , de la tristesse , tout ce qui me comble au cinéma
    Fan de Deneuve je suis, Fan de Deneuve je resterai , "dans la Cour "ne fait que confirmer mon admiration et mon enthousiasme pour cette formidable actrice .
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Un film magnifique en rires et larmes. Courez-y.
    Et ça fait longtemps que Deneuve n'avait pas été aussi bonne.
    Patrick L.
    Patrick L.

    6 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2014
    La description d'une inexorable descente vers le crépuscule d'une vie qui ne respire que le vide, le vide qui aspire les êtres qu'il croise au hasard. Le tout agrémenté d'humour triste à faire pleurer de rire. Un film à voir. Des acteurs en adéquation.
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2014
    Depuis un peu plus de 20 ans, Pierre Salvadori poursuit une carrière tout à la fois riche et discrète. Dans tous ses films, on remarque une grande sensibilité et la justesse des situations qu'il présente. Dans "Dans la cour", il nous parle de la dépression, et il le fait avec un ton aigre-doux et une grande délicatesse. Il arrive ainsi, de temps en temps, à nous faire rire alors que l'ambiance générale du film est plutôt grave. Une réplique parmi d'autres : "Ce type là n'arrête pas de mentir. Ça se voit, il ment mal" "C'est plutôt bon signe, ça prouve qu'il n'a pas l'habitude". La rencontre entre un ancien rocker dépressif devenu gardien d'immeuble et une nouvelle retraitée bourrée d'angoisses débouche sur des situations surprenantes. L'ancien rocker est joué par Gustave Kervern, la nouvelle retraitée par une Catherine Deneuve étonnante dans un rôle dans lequel on ne l'attendait pas. On retrouve aussi un excellent Féodor Atkine, dans le rôle du mari de Deneuve, et Pio Marmaï qui, en jouant le rôle d'un drogué compulsif, fait beaucoup penser à Patrick Dewaere. Le petit défaut du film réside dans une réalisation qui manque un peu de rythme. Quant à la musique, Pierre Salvadori a fait appel à Stephin Merritt et Grégoire Hetzel. L'américain Stephin Merritt ayant été le leader du groupe The Magnetic Fields, cela nous permet d'entendre, au début et à la fin du film, le très beau "All My Little Words", enregistré par ce groupe en en 1999. On entend aussi, sur le générique de fin, "I can't hardly stand it" des Cramps.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2014
    J'ai bien peur que l'horrible manteau vert que porte Catherine Deneuve dans ce film ne soit un frein à sa carrière en salle. J'entends d'ici les spectateurs cherchant quelque chose à se mettre sous les yeux lors d'un morne week end, dire en voyant l'affiche et surtout la photo qui traîne dans tous les magazines : "Pfff Deneuve qui essaie de faire peuple a accepté de porter une fringue de chez H&M ! Pas crédible ! " Ceux qui savent que l'habit ne fait pas forcément le film iront jusqu'à lire le résumé et y trouveront les mots " dépression" ou " fissure", termes guère engageant pour un film réalisé par un spécialiste de la comédie. Et puis le visage désabusé, au bord du suicide de Gustave Kervern n'inspire pas vraiment non plus l'hilarité et laisse sous entendre un de ces films neurasthéniques qui sont une des spécialités du cinéma français. De prime abord, ce film n'a pas grand chose d'attirant, aucun élément vendeur, sauf peut être Catherine Deneuve mais l'effet est annihilé pour cause de tenue vestimentaire improbable.
    Il faudra donc un tout petit peu de courage ou de curiosité pour découvrir que "Dans la cour" est un film vraiment épatant. Après avoir lorgné vers les comédies façon Lubitsch, Pierre Salvadori revient vers un cinéma moins huilé, mais peut être tout aussi codé, le film choral. En plaçant sa caméra dans une cour d'immeuble plutôt moche, enfermant ses personnages dans un lieu clos, il réussit à nous étonner puis à nous émouvoir et au final, nous faire oublier l'horrible fripe de Mme Deneuve. Tout ce qui passait pour être sur le papier, cliché (les voisins un rien fêlés) ou improbable (Catherine Deneuve en femme lambda) ou lourdement symbolique (la fissure qui risque faire écrouler l'immeuble) devient ici délicat, décalé, drôle ou tendre. Chaque scène offre un moment inattendu, jamais surjoué et toujours en rapport avec le thème central du film : la fragilité et cette solitude omniprésente chez nos contemporains. De l'employée de pôle emploi au bord des larmes au voisin architecte hyper stressé, tous sont au bord de sombrer, il suffirait d'un détail pour que tout bascule, comme le personnage de Catherine Deneuve et sa fissure dans son appartement. La réalité est complice de leur petite folie mais se révèle une alliée bien sournoise.
    Ce sont ces moments fragiles que capte si bien la caméra de Pierre Salvadori, tout en nuance, sans jamais appuyer son propos, il rend ses personnages, totalement humains et touchants. Toujours entre sourire et tristesse, le film dégage un très agréable parfum d'humanité. On se prend à aimer le personnage d'Antoine, pourtant guère expressif, mais sa solitude et son regard de pauvre ours abandonné se raccrochant à cette femme à la dérive, car c'est notre propre fragilité qu'il nous renvoie.
    La fin sur le blog
    Pascal l
    Pascal l

    19 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2015
    Quand je suis sorti de la séance je me suis : parfait.
    Quelques heures plus tard je me dis : Parfait ? Et bien oui, parfait.
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2014
    Bon film, personnages attachants et très bien interprétés. A la fois drôle, prenant et émouvant.
    On retrouve le Salvadori de ses débuts.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2014
    Salvadori est un formidable cinéaste qui encore cette fois ci a mis en lumiére des gens simples, perdus, sensibles et également marrants ! un magnifique film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 avril 2014
    J'ai beaucoup aimé ce film doux amer, qui me fait penser au livre "Le pressentiment" d'Emmanuel Bove, à quelques détails près. Il montre que chacun et chacune sur cette Terre a son petit grain de folie, et regarde son prochain avec stupéfaction mêlée de raillerie. On est toujours l'étrangeté d'un autre. Et pourtant les bizarreries des uns et des autres s'articulent à merveille, si on fait un pas en arrière pour observer le monde on s'aperçoit qu'il s'en dégage une certaine harmonie, et que la vie finit toujours par rejaillir même dans les endroits où on ne l'attend plus. Une belle leçon, je trouve.
    Emmanuelle Halimi
    Emmanuelle Halimi

    16 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Totalement décalé , et surtout déprimant ; ce film n'apporte rien .L'acteur principal ( inconnu d'ailleurs, d'où sort-il?...) est horripilant .
    Deneuve est drôle, dans son rôle de retraitée obsessionnelle , mais le scénario sonne faux , tout est caricatural.
    Les gens riaient beaucoup dans la salle ,ce qui m'a encore + dérangée tellement ça m'a donné le blues .....
    A éviter !
    jmjbest2
    jmjbest2

    27 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Prenez ttes les remarques 2 étoiles ci dessus, tout est dit
    La critique officielle une fois de plus trop complaisante..!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 avril 2014
    L’immeuble dans lequel Antoine s’engage comme concierge, après avoir laissé tomber la musique, n’était pas le plus indiqué pour se « remettre la tête à l’endroit ». On y rencontre un junky maniaque de biclous, un archi allumé et parano et un squatteur sectaire... Mais surtout, au 3e, il y a Mathilde, retraitée surmenée par son investissement associatif, au bord du « burn out »…
    Mathilde la dépressive, entrain de lâcher prise et Antoine, « spécialiste de l’accablement » et de l’indécision, portent toute la souffrance du monde. Les fissures de l’immeuble sont aussi des fêlures dans leurs têtes. Paradoxalement, celui qui se sent inutile «comme une branche morte » va « faire beaucoup de bien » à la belle angoissée. Car entre eux passe toute la tendresse de paumés magnifiques.
    C’est parce qu’on ne s’attendait pas à les rencontrer, que les deux personnages vont si bien ensemble. Lui, le trublion loufoque du Groland, elle la star inaccessible. Cette improbable rencontre est même une des clés du succès du film de Pierre Salvatori. On peut y ajouter les dialogues, particulièrement soignés. Dans cette cour des mirages, chacun court après ses rêves. Et c’est la comédie douce-amère de la vie qui s’y joue.
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