Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
On est sous le charme de "Dans la cour", rencontre improbable et inoubliable d'un gardien d'immeuble et d'une retraitée, joués par Gustave Kervern et Catherine Deneuve.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
[...] dialogues ciselés que s'approprie le phrasé inimitable de Catherine Deneuve. [...] Gustave Kervern, en gentil paumé, forme avec elle un tandem cocasse, aussi burlesque que touchant. [...] chronique tendre sur le mal-être, les fêlures du quotidien sans jamais verser dans la déprime ni le pathos.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur des "Apprentis" (1995) et de "Hors de prix" (2006) signe son film le plus abouti avec "Dans la cour", petit bijou de tendresse autour des habitants plus ou moins barrés d'un immeuble.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Pierre Salvadori est le peintre des âmes endolories, il brosse des portraits de personnages sensibles, entre rires et larmes. Sa distribution tient la part belle dans cette tragi-comédie.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Grâce à des envolées burlesques et à une sensibilité à fleur de caméra, il réussit à raconter deux solitudes en pleine détresse sans jamais sombrer dans la déprime. Que du bonheur.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le huitième long-métrage de Pierre Salvadori en vingt ans de carrière est, nettement, le plus réussi. Pourquoi ? Simple. Il est le plus désespéré, donc le plus beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Salvadori renoue avec une forme plus souple dans cette noire et drôle chronique de la dépression ordinaire. Un film infiniment aimable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Une « mélancomédie » élégante sur des dépressifs qui réapprennent à vivre. Pierre Salvadori délaisse les comédies sophistiquées et signe son film le plus intime et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Avec "Dans la cour", il parvient à ce balancement gracieux avec une fluidité qui tranche singulièrement dans le paysage à demi-sinistré de la comédie à la française.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Marilyne Letertre
La finesse des dialogues et des portraits n'a ici d'égal que l'intelligence du casting.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
(...) des personnages attachants. Derrière les mots et au-delà des sourires, la mélancolie d'un mal-être du jour, avec la sensibilité de Catherine Deneuve et Gustave Kervern.
Positif
par Ariane Allard
Une comédie dépressive qui glisse avec grâce de l'humour à la gravité. A la fois inattendus et évidents, les deux comédiens exhalent à merveille la polyphonie, en apparence modeste mais savante au fond, des dialogues et des situations.
Première
par Christophe Narbonne
Salvadori se plaît à filmer des scènes complexes où l'apparente légèreté est sans cesse contredite par le mal-être, réel, des deux personnages principaux. En résulte l'impression troublante de se noyer le sourire aux lèvres.
Studio Ciné Live
par Christophe Carrière
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Chronique de cour d’immeuble (comme "Domicile conjugal"), miroir de notre époque angoissée, ronde joliment désuète de nos solitudes contemporaines, "Dans la cour" a la politesse du désespoir : celle de l’un de nos meilleurs dialoguistes et directeurs d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
[...] une beauté aérienne, funambule, irradiante, que le film finit par libérer, on ne sait comment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Tristan Gauthier
Intelligent, vif, mélancolique et par-dessus tout marqué du sceau de l’authenticité, Dans la cour passe du rire aux larmes avec une aisance de tous les instants en s’appuyant sur des comédiens d’une humanité formidable...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
La bonne idée reste la rencontre entre Catherine Deneuve, fébrile, et Gustave Kervern, lunaire, qui font de ce buddy-movie névrotique, une chronique amère, fidèle aux sentiments qui ont inspiré Salvadori à l’époque des "Apprentis".
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Le programme est le même que celui des Apprentis : il consiste à contrer l'optimisme systématiquement en jeu dans ce genre de comédie par une dose de pessimisme qui progresse insensiblement, tellement insensiblement qu'on ne se rend pas compte que le film est, en fait, en train de sombrer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Carole Milleliri
La comédie, au rythme bien huilé, repose surtout sur la dynamique du duo antagoniste formé par Gustave Kervern (dépressif et déphasé comme José Garcia dans "Après vous") et Catherine Deneuve (lunatique et pétulante comme Audrey Tautou dans "Hors de prix").
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Quelle bonne idée de réunir Catherine Deneuve et Gustave Kerven. Pierre Salvadori persiste et signe dans le registre de la comédie dramatique - ce genre très français où il excelle - sans être répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Dans la cour" prétend à une gravité dont la citation d'un beau texte de Raymond Carver est censée faire oublier l'absence et qu'il n'atteint que tardivement, par la seule grâce d'un coup de force dramatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Pierre Salvadori livre une comédie à l’humour dépressif, portée avec réussite par le duo inattendu que forment Catherine Deneuve et Gustave Kervern.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
On est sous le charme de "Dans la cour", rencontre improbable et inoubliable d'un gardien d'immeuble et d'une retraitée, joués par Gustave Kervern et Catherine Deneuve.
Télé 7 Jours
[...] dialogues ciselés que s'approprie le phrasé inimitable de Catherine Deneuve. [...] Gustave Kervern, en gentil paumé, forme avec elle un tandem cocasse, aussi burlesque que touchant. [...] chronique tendre sur le mal-être, les fêlures du quotidien sans jamais verser dans la déprime ni le pathos.
20 Minutes
Le réalisateur des "Apprentis" (1995) et de "Hors de prix" (2006) signe son film le plus abouti avec "Dans la cour", petit bijou de tendresse autour des habitants plus ou moins barrés d'un immeuble.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Figaroscope
Pierre Salvadori est le peintre des âmes endolories, il brosse des portraits de personnages sensibles, entre rires et larmes. Sa distribution tient la part belle dans cette tragi-comédie.
Le Journal du Dimanche
Grâce à des envolées burlesques et à une sensibilité à fleur de caméra, il réussit à raconter deux solitudes en pleine détresse sans jamais sombrer dans la déprime. Que du bonheur.
Le Monde
Le huitième long-métrage de Pierre Salvadori en vingt ans de carrière est, nettement, le plus réussi. Pourquoi ? Simple. Il est le plus désespéré, donc le plus beau.
Les Fiches du Cinéma
Salvadori renoue avec une forme plus souple dans cette noire et drôle chronique de la dépression ordinaire. Un film infiniment aimable.
Les Inrockuptibles
Une « mélancomédie » élégante sur des dépressifs qui réapprennent à vivre. Pierre Salvadori délaisse les comédies sophistiquées et signe son film le plus intime et émouvant.
Libération
Avec "Dans la cour", il parvient à ce balancement gracieux avec une fluidité qui tranche singulièrement dans le paysage à demi-sinistré de la comédie à la française.
Metro
La finesse des dialogues et des portraits n'a ici d'égal que l'intelligence du casting.
Ouest France
(...) des personnages attachants. Derrière les mots et au-delà des sourires, la mélancolie d'un mal-être du jour, avec la sensibilité de Catherine Deneuve et Gustave Kervern.
Positif
Une comédie dépressive qui glisse avec grâce de l'humour à la gravité. A la fois inattendus et évidents, les deux comédiens exhalent à merveille la polyphonie, en apparence modeste mais savante au fond, des dialogues et des situations.
Première
Salvadori se plaît à filmer des scènes complexes où l'apparente légèreté est sans cesse contredite par le mal-être, réel, des deux personnages principaux. En résulte l'impression troublante de se noyer le sourire aux lèvres.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Chronique de cour d’immeuble (comme "Domicile conjugal"), miroir de notre époque angoissée, ronde joliment désuète de nos solitudes contemporaines, "Dans la cour" a la politesse du désespoir : celle de l’un de nos meilleurs dialoguistes et directeurs d’acteurs.
Télérama
[...] une beauté aérienne, funambule, irradiante, que le film finit par libérer, on ne sait comment.
aVoir-aLire.com
Intelligent, vif, mélancolique et par-dessus tout marqué du sceau de l’authenticité, Dans la cour passe du rire aux larmes avec une aisance de tous les instants en s’appuyant sur des comédiens d’une humanité formidable...
Cahiers du Cinéma
La bonne idée reste la rencontre entre Catherine Deneuve, fébrile, et Gustave Kervern, lunaire, qui font de ce buddy-movie névrotique, une chronique amère, fidèle aux sentiments qui ont inspiré Salvadori à l’époque des "Apprentis".
Chronic'art.com
Le programme est le même que celui des Apprentis : il consiste à contrer l'optimisme systématiquement en jeu dans ce genre de comédie par une dose de pessimisme qui progresse insensiblement, tellement insensiblement qu'on ne se rend pas compte que le film est, en fait, en train de sombrer.
Critikat.com
La comédie, au rythme bien huilé, repose surtout sur la dynamique du duo antagoniste formé par Gustave Kervern (dépressif et déphasé comme José Garcia dans "Après vous") et Catherine Deneuve (lunatique et pétulante comme Audrey Tautou dans "Hors de prix").
Franceinfo Culture
Quelle bonne idée de réunir Catherine Deneuve et Gustave Kerven. Pierre Salvadori persiste et signe dans le registre de la comédie dramatique - ce genre très français où il excelle - sans être répétitif.
L'Obs
"Dans la cour" prétend à une gravité dont la citation d'un beau texte de Raymond Carver est censée faire oublier l'absence et qu'il n'atteint que tardivement, par la seule grâce d'un coup de force dramatique.
La Croix
Pierre Salvadori livre une comédie à l’humour dépressif, portée avec réussite par le duo inattendu que forment Catherine Deneuve et Gustave Kervern.