Dupontel gravite les marches de la maitrise du 7ième art. Ici il nous en fait encore la démonstration. L'image est belle, les effets de transition sont maitrisé, la bande son, la lumière, les mouvements de caméra, les acteurs, tout est bon. Ici Dupontel endosse l'écriture, le scénario, les dialogues, la réalisation et un des rôles principale. Et du coup tout est agréable. J'adore les petits passages d'acteurs invités, souvent des amis. Dujardin est trés bon en traducteur pour sourd, et ça fait un moment qu'on ne les as pas vu mais on sait désormais ou ils sont : Jan Kounen et Gaspar Noé sont en prison.
Je ne sais pas se qu'on les cahier du cinéma contre Dupontel mais avec Télérama ils n'aiment pas se qu'il fait. Pourtant, penchez vous sur la narration du film, les effets spécieux, les animations, par exemple la scène ou Dupontel essaye de trouver une explication à se fausse accusation avec la cuisine qui devient folle ou sa théorie du suicide, c'est fluide, efficace, parfaitement réalisé, c'est beau et ça fait beaucoup rire. Bref, les cahier du cinéma sont peu être trop sérieux pour que l'humour les atteignes. Le rythme est soutenu, c'est subversif, parfois trash, c'est touchant et bien réalisé, regardez le jeu des acteurs principaux, comme le regard de Sandrine vers Albert à la fin de son procès. Dupontel devient un grand, un homme sur qui on peu compter, sur qui il FAUT compter car en France les réalisateurs qui vous donne ce rythme, cet humour et ce plaisir tout en étant à l'écriture et au dialogue vous pouvez les chercher, il n"y en a pas beaucoup. Merci Mr Dupontel. Bravo, et j'abuse si j'en redemande?