Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Thomas Grignon
Le premier film de Nuri Bilge Ceylan, très inspiré, s'attache à restituer les perceptions rêveuses de l'enfance, traçant un sillon commun avec les films de Kiarostami période Kanoon.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Et si on devait filer la métaphore, on dirait que Kasaba représente le printemps d’un futur grand cinéaste, faisant le lien entre son travail de photographe et celui de réalisateur. Le rythme est encore un peu rude, mais l’image est déjà magnifique.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
"Kasaba", un long métrage doux et cruel, ou la naissance d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si ces éléments biographiques sont remaniés et transformés par le cinéaste, sa rigueur, son sens du plan, du détail, et sa vision poétique du réel montrent à quel point sa cosmogonie esthétique était déjà parfaitement définie dès Kasaba.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Le rythme est encore un peu rude, mais l’image est déjà magnifique.
Le Monde
par Ma. Mt.
De l’enfance, on passe aux adultes, à travers une longue conversation s’enfonçant dans la nuit, qui contient le cœur du film. Ce dont on parle recoupe la grande question ceylanienne : la tension insoluble entre l’ici et l’ailleurs, entre le village et le monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un coup de maître à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Inédit jusqu’alors en France, Kasaba regarde parfois un peu vers ses influences bressoniennes mais distille, dans le temps long d’un village turc ignifugé d’ennui, une mélancolie qui n’a pas fini de s’épuiser dans les plaines arides du cinéma de Ceylan.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Frédéric Mercier
Quiconque aime le cinéma de Nuri Bilge Ceylan, et découvre aujourd’hui "Kasaba", son premier long métrage de 1997, ne peut manquer de noter que tout son cinéma s’y trouve déjà.
Première
par Thomas Baurez
Jusqu’ici inédit, le premier long métrage de l’auteur des Herbes sèches permet de mesurer la puissance originelle de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Sophie Grassin
Toute l’œuvre de Nuri Bilge Ceylan est en germe dans ce conte autobiographique de 1997, en partie joué par ses parents, rythmé par le passage des saisons, placé sous l’égide de Bresson à travers le plan d’un âne à l’œil bouffé par les mouches et tourné en plans-séquences dans une nature magnifiée par le noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Méditation poétique sur le sens de la vie et ses désillusions, ancrée dans le contexte d’une Turquie changeante, de Kasaba aux Herbes sèches, Nuri Bilge Ceylan semble boucler la boucle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Yannick Vely
La forme n'est pas encore aussi assurée que dans ses films suivants mais on retrouvait les grands thèmes de l'auteur : les affrontements verbaux au coin du feu, la solitude de l’Homme face à une Nature immuable et magnifique et l'incompréhension éternelle entre les générations.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Samuel Douhaire
À ses débuts, Ceylan était, de son propre aveu, « pas très doué pour faire parler » ses personnages – il s’est bien rattrapé depuis ! –, d’où, dans Kasaba, la rareté des dialogues et leur relative maladresse. En revanche, son art du cadrage, lié à sa pratique assidue de la photographie, est déjà somptueux (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Premier long métrage du plus grand cinéaste turc contemporain, cette chronique familiale touche par sa sobriété et son économie de moyens.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
Le premier film de Nuri Bilge Ceylan, très inspiré, s'attache à restituer les perceptions rêveuses de l'enfance, traçant un sillon commun avec les films de Kiarostami période Kanoon.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et si on devait filer la métaphore, on dirait que Kasaba représente le printemps d’un futur grand cinéaste, faisant le lien entre son travail de photographe et celui de réalisateur. Le rythme est encore un peu rude, mais l’image est déjà magnifique.
Franceinfo Culture
"Kasaba", un long métrage doux et cruel, ou la naissance d’un grand cinéaste.
L'Humanité
Si ces éléments biographiques sont remaniés et transformés par le cinéaste, sa rigueur, son sens du plan, du détail, et sa vision poétique du réel montrent à quel point sa cosmogonie esthétique était déjà parfaitement définie dès Kasaba.
Le Dauphiné Libéré
Le rythme est encore un peu rude, mais l’image est déjà magnifique.
Le Monde
De l’enfance, on passe aux adultes, à travers une longue conversation s’enfonçant dans la nuit, qui contient le cœur du film. Ce dont on parle recoupe la grande question ceylanienne : la tension insoluble entre l’ici et l’ailleurs, entre le village et le monde.
Les Echos
Un coup de maître à découvrir.
Les Fiches du Cinéma
Inédit jusqu’alors en France, Kasaba regarde parfois un peu vers ses influences bressoniennes mais distille, dans le temps long d’un village turc ignifugé d’ennui, une mélancolie qui n’a pas fini de s’épuiser dans les plaines arides du cinéma de Ceylan.
Positif
Quiconque aime le cinéma de Nuri Bilge Ceylan, et découvre aujourd’hui "Kasaba", son premier long métrage de 1997, ne peut manquer de noter que tout son cinéma s’y trouve déjà.
Première
Jusqu’ici inédit, le premier long métrage de l’auteur des Herbes sèches permet de mesurer la puissance originelle de sa mise en scène.
L'Obs
Toute l’œuvre de Nuri Bilge Ceylan est en germe dans ce conte autobiographique de 1997, en partie joué par ses parents, rythmé par le passage des saisons, placé sous l’égide de Bresson à travers le plan d’un âne à l’œil bouffé par les mouches et tourné en plans-séquences dans une nature magnifiée par le noir et blanc.
La Croix
Méditation poétique sur le sens de la vie et ses désillusions, ancrée dans le contexte d’une Turquie changeante, de Kasaba aux Herbes sèches, Nuri Bilge Ceylan semble boucler la boucle.
Paris Match
La forme n'est pas encore aussi assurée que dans ses films suivants mais on retrouvait les grands thèmes de l'auteur : les affrontements verbaux au coin du feu, la solitude de l’Homme face à une Nature immuable et magnifique et l'incompréhension éternelle entre les générations.
Télérama
À ses débuts, Ceylan était, de son propre aveu, « pas très doué pour faire parler » ses personnages – il s’est bien rattrapé depuis ! –, d’où, dans Kasaba, la rareté des dialogues et leur relative maladresse. En revanche, son art du cadrage, lié à sa pratique assidue de la photographie, est déjà somptueux (...).
aVoir-aLire.com
Premier long métrage du plus grand cinéaste turc contemporain, cette chronique familiale touche par sa sobriété et son économie de moyens.