Derniers Avis : Projet Almanac - Page 5

Une intention plutôt louable de part sa technique et l'histoire telle qu'elle est mise en scène, un visuel qui rend plutôt pas mal ou encore un style bien défendu dans l'ensemble, mais malgré ces bonnes intentions que l'on peut relever, il est difficile de dire que ce film soit si enthousiasmant que cela car même si l'on arrive à accrocher tout du long à l'histoire et ce qui est proposée, il y a de nombreux soucis qui réside ici faisant de ce moment surtout un bon divertissement mais clairement pas une théorie et un univers si passionnant concernant le voyage dans le temps, cela allant jusqu'à perturbé la compréhension totale de l'intrigue par de nombreux non-sens ce qui est plus que regrettable. En effet la première chose qui semble nécessaire de souligner c'est évidement l'utilisation du found footage du début à la fin, et voilà un effet qui fonctionne plutôt bien ici, car en plus de parvenir à créer cette immersion si complexe à obtenir à l'écran dans ce genre de technique, cela permet de voir un genre que l'on connaît bien mais sous un œil bien plus moderne, donnant lieu à des scènes au visuel assez intéressant parvenant à rester très réaliste dans tout ses aspects, de la construction d'une telle machine qui ne propose pas de grand complexe scientifique pour à voir fonctionner aux voyages effectués dont les effets spéciaux s'incrustent parfaitement à l'image réelle, sans trop en faire si ce n'est jouer avec l'image et cela est plutôt plaisant lors de quelques passages, et ainsi on peut dire que l'utilisation de la caméra live rend bien dans ce film, surtout dans la manière dont cela est fait tout au long de l'intrigue, sachant changer d'œil de vue pour varier les styles de plans tout en conservant le point d'orgue de la présence d'une caméra pour raconter cette histoire, hélas tout cela reste stable jusqu'à ce qu'on arrive à la fin du film car le scénario tente de lier maladroitement ce type de réalisation très réaliste à l'intrigue en elle même, ce qui pose quelques soucis. Car tant que cela était une manière originale d'illustrer un sujet exploité des milliers de fois de toutes les visions imaginables, l'ambiance et le visuel faisant bon ménage emmenant sans difficulté dans ses quelques délires comiques ou encore d'atmosphère bien festive qui suscite l'envie pas une mise en scène bien rythmée, mais une fois que la boucle du scénario commence à se fermer, on fait face à une avalanche de contre sens, de facilités et de mauvais choix, à tel point qu'on en doute réellement d'avoir tout bien saisi si l'on s'en réfère à ce qui a été établi tout du long, et sans parler de la science et les théories mises en pratique que nombreux néophytes ne peuvent saisir sans références, mais rien en ce qui concerne l'intrigue, on reste assez perplexe devant ce qui est proposé pour mettre fin au film, car l'idée peut sembler alléchante telle qu'elle est présenté dans l'ultime scène mais on ne peut pas accepter l'explication qui est donné pour justifier cela, des éléments mis en scène pour conclure tout ce voyage sont complètement incohérents et c'est également le cas quelques autres détails qui peuvent prendre une importance capitale le pour justifier un bon nombre d'éléments du scénario dans son intégralité, donc il faut dire que l'on ne peut pas vraiment adhérer à ce qui est donner pour finir, et mettant en évidence qu'il faut se contenter des scènes plus funs, de fêtes et délires. Le problème c'est que ce film passe du statut de fantastique qui parvient à captiver par sa manière d'être raconter et son réalisme plaisant pour le genre à un style plus adolescent et jeune en désir de sensations, passant par un brin de sentimentalisme et de passage ou personnage à la limite de la niaiserie, et pourtant ce qui est dommage c'est que parmi tout cela on peut trouver quelques actes de bonne volonté comme un humour mettant en scène de bon geek et l'un d'entre eux est particulièrement drôle, à l'image de la scène en répétition de l'interrogation en classe de science qui est à se tordre de rire, et l'interprétation n'y est pas pour rien non plus, et on trouve d'autres bons personnages comme le héros qui fonctionne pas mal par son naturel, sachant ne pas trop en faire la majorité du temps, et qui en plus d'être attachant par son histoire et sa volonté en deviens intéressant par sa manière de mener à bien son ambition, même si cela disparaît à profit d'un scénario alambiqué une fois la conclusion entamée, quant aux scènes plus passives bien que la plupart ne soit pas passionnantes dans ce qui est mis dans l'objectif de cet caméra embarquée, on arrive tout de même à entrer dans le monde de ces jeunes dans certaines d'entre elles, par leurs délires, leurs "voyages" ou les discussions qui les unissent, tout cela restant assez basique pourtant on se laisse prendre au jeu, puis dans le fond il faut avouer que l'intrigue parvient à nous accrocher assez habilement dès le début du film, que ça soit dans la scène d'ouverture qui est chargé à bloc dans sa réalisation, musique bien puissante à l'appui comme dans le reste du film et qui est aussi un des atouts de la mise en scène générale et plutôt attirante ou que cela soit par l'élément déclencheur de tout cela qui laisse planer un mystère qui alimente pas mal le film, restant du moins suffisamment en suspens et présent pour tenir jusqu'à à la fin ce qui est fait sans difficulté, mis une fois le sac de noeud défait, on reste non seulement bien moins emballé, et en plus de cela on déchante un peu plus à chaque nouveaux éléments qui constituent la fin et l'explication du tout, principalement par le manque de rigueur concernant un bon nombre de chose tout du long. Alors cela reste distrayant et plutôt bien foutu, du moins assez pour que se laisse prendre, et cela rappelle par son style et son genre abordé la problématique qui se posait avec "Chronicle", c'est que vachement bien foutu visuellement et en plus on est facilement happé par cette manière singulière de raconter le fantastique, mais une fois les bonnes scénario établies, tout part dans n'importe quoi, à tel point que cela reste juste sympa, comme c'est le cas ici, et la grande différence avec le film cité précédemment, c'est que lui offrait un vrai plaisir visuel rendu de manière impressionne alors qu'ici, l'ensemble des bonne trouvailles d'effets spéciaux restent furtifs et souvent les mêmes, sans jamais offrir une pure spectacle digne de ce nom!

Si vous avez aimé “Echo”, sorti l’an dernier, où des pré-ados trouvaient un robot extra-terrestre, le tout filmé en found-footage, alors vous allez adorer ce long-métrage sur des lycéens qui trouvent une machine à remonter le temps et qui est filmé de la même manière. Personnellement, le found-footage n’est pas un parti-pris de réalisation que j’apprécie et il faut vraiment une bonne raison pour l’utiliser ; dans le cas présent c’est une raison un peu limite et parfois cela donne parfois des séquences un peu artificielles. Ensuite, l’intrigue est quelque part entre “Projet X” et “L’effet papillon”, on suit une bande de jeunes qui, après avoir trouvé une machine à remonter le temps, va l’utiliser pour régler leurs problèmes ou faire la fête et ce jusqu’à ce que les problèmes commencent. L’intrigue est évidemment un peu emberlificotée, paradoxes temporels obligent, mais cela reste un spectacle distrayant. L’ensemble est évidemment, tant dans la forme que dans le fond, du déjà vu, mais sa cible : le public adolescent, y trouvera sans mal de quoi à se réjouir. Pour le public plus adulte ou/et plus cinéphile, s’il y trouvera des raisons de se distraire, ne partagera pas l’enthousiasme des premiers tant le film leur paraîtra pas mal convenu dans son intrigue et un peu agaçant dans son image. Un long-métrage peu original, mais somme toute fun et offrant une heure cinquante de distraction pure.

Projet Almanac est un film de science-fiction qui se veut réaliste et il faut dire que ça fonctionne plutôt bien. L'histoire parle du voyage dans le temps et est agréable à suivre car on rêve tous de vivre ça et on se demande tous ce que l'on ferait à leur place. En plus c'est rythmé du au fait qu'on a ici droit à une réalisation caméra à l'épaule. C'est un procédé qui peut rebuté mais je le trouve ici bien exploité car elle nous permet d'être au cœur de l'action. En plus c'est propre et ça ne bouge pas de partout. Mon seul regret est qu'elle est très souvent porter par la très jolie Chris ce qui fait qu'on ne la voit pas beaucoup. D'ailleurs les personnages sont sympas, ce sont des gens comme vous et moi. Ils sont simples et du coup on se sent impliqué. Les dialogues sont bons avec quelques touche d'humour distillé mais il y a beaucoup de placement de produits même si vu que c'est moderne ça passe assez bien. Pour finir j'ai été un peut déçu par la fin et par certaines incohérences mais globalement c'est un film sympa, à voir une fois qui change de ce que l'on voit d'habitude.

Encore un teen-movie sur le thème du "voyage dans le temps". C'est raté pour le coup. On ne mélange pas des gamins de 17/18 ans tous surdoués (question crédibilité, vous repasserez, étant donné le niveau du langage ainsi que les termes utilisés faisant passer les propos et les aspects "techniques" pour des dialogues nanardeux dignes des films Z des années 80) avec des concepts assez complexes en réalité, théoriquement et pratiquement irréalisables. Cela fait penser à un groupe de singes qui inventeraient une mobylette. C'est rapidement énervant surtout avec le mode de tournage à la main (avec un téléphone portable, pour faire "jeune") et le décalage constant entre dialogues et sujet. Bon, question effets spéciaux, c'est toujours identique à ce genre de film. Le problème est qu'il n'y a pas de trame de fond et que ça tourne en rond. Une machine à voyager dans le temps pour ados qui n'en ont rien (à faire et) à en faire, à part des projets stupides (pour des ados, c'est logique, mais construire une machine à voyager dans le temps pour changer ses notes où se rendre à des concerts pour admirer des "célébrités" du moment, c'est en totale contradiction avec l'intelligence de quelqu'un pouvant en concevoir une). Je ne parle pas non plus des débilités scénaristiques récurrentes. Si vous voulez voir mieux, il y a, bien sûr les "Retour vers le futur" pour les bonnes comédies traitant de ce type de sujet ainsi que, plus récemment, mais aux antipodes de celui-ci "Primer" pour ne pas le citer, et qui demande un gros effort intellectuel pour bien le comprendre (bien que le message de cette dernière production soit très néo-libéral dans le fond). A côté de "Projet Almanac", il n'y a pas photo. Ce film est pour ados et je dirai même plus, pour ados totalement débiles. On n'adhère pas une seule seconde tellement c'est grotesque. Je mets 0.

Remake de L'Effet Papillon, de Mister Nobody
spoiler: avec là une originalité, il y a une vidéo diffusé dans le film qui apporte un élément clé très important pour le film. A part ça rien d'extraordinaire, des gamins aisés qui voyagent dans le temps.

A oublier.

Si les film sur le voyage spatio-temporel sont légion, on peut dire que "Projet Almanac" dépoussière le genre. Orienté teenage-movie, l'histoire s'inscrit parfaitement dans notre époque et met en avant les préoccupation de la jeunesse d'aujourd'hui. C'est peut-être ce ciblage appuyé qui constitue le principal défaut du film. L'intrigue est trop centrée sur la romance entre deux des personnages et occulte les ambitions plus crédibles que les personnages peuvent faire de la machine à explorer le temps. Cela dit, même s'il est plus destiné aux adolescents, l'adulte que je suis, bien que moins concerné, y a trouvé son compte. Quant à l'usage du found-footage, ce procédé ne sert pas à grand chose ici mais, à l'inverse, n'handicape pas le film. Un bon petit teenage-movie en somme.

Honnêtement, je pense que ceux qui ont regardé ce film, c'était parce que c'était un Found footage de SF. Et une fois n'est pas coutume, le synopsis est sur les voyages dans le temps, tout ça donne l'eau à la bouche. Alors, le film est vraiment lent, les 20 première minutes sont inefficaces, elle ne pose pas d'enjeux, elle ne présente pas les personnages. Ceux sont des minutes mal utilisées, en plus de cela la caméra bouge en permanence. Après, je ne sais pas si c'est moi qui me suis habitué ou si c'est la caméra qui ne bouge pas, toujours est t'il qu'on rentre dans le film petit à petit. Et 20 minutes encore après le film commence enfin. Et on va avoir une bonne heure jusqu'à la fin. On passe par de super moments, très beaux, ou alors très fun, et assez stressant. Mais les personnages sont pas assez traités. C'est dommage, car il se dégage certaines scènes très fortes du film. En fait, on aurait aimé plus de péripéties dans le passé. Le film reste assez à quais, et souffre de la comparaison avec "l"effet papillon", Mention spéciale à la mise au procédés de changement d'époque, qui si il est sale et assez réaliste. Et le film choisit la facilité, il y a des incohérences évidentes sur le voyage dans le temps( sans parler des paradoxes). Quand à la fin elle se termine, comme si elle sous entendait une suite.

Premier film du réalisateur, qui s’en tire plutôt bien avec son sujet ! Alors oui c’est une bande de lycéens geek, avec soeur et copine sexy qui sort de nulle part, oui c’est la fête sur le campus, mais pas seulement. Premièrement, parce qu’ils ont une machine de déplacement temporel (pour voyager dans le temps quoi). Et lorsque l’on prétend jouer avec l’effet papillon, il faut l’assumer. C’est le cas. Ensuite car souvent les histoires entre grands ados laissent à désirer, alors qu’ici elle se laisse apprécier. Enfin parce que l’on s’imagine facilement à leur place, ce qui est toujours agréable. Une des forces du film également, c’est cette caméra subjective en permanence : jusqu’à la dernière minute, les personnages sont réellement censés balader une caméra. Heureusement ça ne remue pas trop ! En somme, un film grand public bien réussi, et qui vous fera peut-être réfléchir un peu. A leur place, que feriez-vous ?

C'est tres mal tourne. La mise en scene et les prises de vues sont mediocres. Ca a du etre filme au telephone portable et celui qui le tenait devait trembler car j'ai eu mal au coeur en regardant. Le scenario est plutot bon mais s'adresse plus a des ados.

Une note de cinq ! C'est ce que ce film mérite et je pense qu'il vaut mieux prendre la peine de venir le noter. Un film de science-fiction comme j'adore, pas d'effets abusés qui gâchent tout le film, une vraie fiction qui ne fait pas trop "fiction", un scénario qui change radicalement des films qu'on a l'habitude de voir, les jeux des acteurs sont au top. Bref, c'est l'un de mes gros coups de cœur de l'année ! A voir et revoir, je recommande vivement ce film !

Assez bon film d'ado, même si le found foutage n'est pas d'une énorme nécessité, l'histoire est assez joli bien qu'un peu évidente. L'ensemble est tout de même davantage novateur dans le procédé que d'autres films pour le même public.

Excellent !!!!!! Je recommande vivement à tous les amateurs de science fiction !!! et ceux qui sont sceptique pour la caméra embarqué ne partez pas avec des préjugers, ça ne bouge pas dans tous les sens cela rend le film d'autant plus captivant, intense ... vivant quoi !
A voir absolument

La manière de filmer est à vomir, la caméra est montée sur ressort et les plans sont aléatoires. Les acteurs ne savent que crier et bouger dans tous les sens pour faire du vent. Les dialogues sont nuls et les réactions des ados sont pitoyables. Cela pourrait vexer de nombreux jeunes d'être considérés de cette façon. Je donne un demi-point uniquement pour le scénario et les incidences du voyage dans le temps.

Un temps considéré comme un genre en pleine expansion dans le cinéma, le found footage s’est peu à peu effacé de l’inconscient collectif, ne laissant que les films d’horreur (Paranormal Activity et consorts) exploiter ce format à leur guise. Et si certains projets sont passés inaperçus comme le récent Écho, Michael Bay relance aujourd’hui la machine en tant que producteur avec ce long-métrage dont la sortie en salles n’a cessé d’être repoussée à ce 25 février 2015, tout en changeant de titre. Un tel projet valait-il vraiment autant d’attention ?

Amis des scripts bien écrits et respirant l’originalité à plein nez, autant vous le conseiller tout de suite : passez votre chemin, Projet Almanac n’est vraiment un film qui saura combler vos attentes. Surtout que la thématique du voyage dans le temps a déjà été traitée maintes et maintes fois au cinéma, allant de La machine à explorer le temps à X-Men : Days of Future Past, en passant par la saga Terminator, la trilogie Retour vers le Futur et Men in Black 3. Un sujet qui a été vus dans tous les angles possibles et inimaginables, autant dire que Projet Almanac partait avec un sérieux handicap, celui de n’avoir pas grand-chose à dire. Et c’est malheureusement le cas pour ce film, qui en prenant des adolescents comme personnages principaux, va reprendre toutes les ficelles du genre pour mettre en place son histoire : gagner au loto, se venger d’une personne ne pouvant pas vous saquer, réussir une interro loupée, participer à une fête alors que vous ne pouviez pas avant… sans oublier l’éternel danger du « modifier ne serait-ce qu’un minime détail du temps entraîne de lourdes conséquences » et un soupçon de « quoique l’on fasse, l’histoire est écrite d’avance ». Projet Almanac n’est donc pas le film qui saura réinventer quoi que ce soit, se contentant juste du minimum scénaristique syndical pour justifier sa mise en chantier.

Mais à défaut d’avoir une once d’ambition, il faut bien reconnaître que le long-métrage de Dean Israelite se présente au public comme un petit film n’ayant que la prétention de divertir. Et sur ce point, Projet Almanac remplit son cahier des charges sans véritablement chercher à impressionner l’assistance. Le but ici est juste de raconter l’aventure de cette bande d’adolescents, de la fabrication de la machine jusqu’aux problèmes qu’ils rencontrent et qu’ils doivent corriger, ni plus ni moins. Une simplicité des plus enfantines qui porte néanmoins ses fruits, étant donné que l’ensemble se révèle être assez plaisant à suivre. En effet, les personnages en question ne sont pas des abrutis comme les productions Michael Bay avaient jusque-là l’habitude de mettre en avant (les remakes de films d’horreur comme Vendredi 13, le récent Ninja Turtles), ringardisés par un humour balourd et des répliques lamentables. Non, dans Projet Almanac, les protagonistes sont des adolescents comme les autres, ayant leurs problèmes et leurs envies, vivant des situations que tout le monde a au moins déjà subi... Des personnages tout bonnement proches du spectateur, facilement identifiables auxquels il n’est donc pas difficile de s’attacher et de les suivre dans leur mésaventure temporelle rythmée, l’interprétation honorable des jeunes comédiens, méconnus du grand public, faisant le reste.

Et le found footage dans tout cela ? Pourquoi avoir choisi ce format pour réaliser Projet Almanac ? Depuis sa popularisation avec le succès du Projet Blair Witch, ce type de mise en scène avait pour but d’immerger le public dans une réalité créée de toute pièce mais au combien crédible tout en lui faisant ressentir ce qu’éprouvaient les protagonistes, sans oublier quelques enjeux scénaristiques. Ici, comme pour la plupart des récents films de ce genre, il ne s’agit que d’un simple artifice non justifiée. Dans le cas du long-métrage de Dean Israelite, le fait qu’un personnage filme constamment caméra à la main est expliqué par le fait que chaque expérience vécue avec la machine à explorer le temps soit un moment à immortaliser. Quid donc des passages intimistes ou de la dernière demi-heure de l’ensemble ? Comme la plupart de ses congénères, Projet Almanac use assez mal du found footage, étant spécialement composé de séquences qui, d’un point de vue réaliste, non pas lieu d’être, une personne censée n’étant pas supposer filmer telle ou telle situation dans la vraie vie. Sans oublier les nombreuses coupures entre chaque plan d’une même scène, témoignant de la présence d’un montage qui rappelle que le public à affaire à un film et non une vidéo amatrice réalisée par un individu lambda.

Sans aucune prétention ni ambition, Projet Almanac n’est rien d’autre qu’un sympathique divertissement, agréable à regarder mais vite oubliable, qui n’a de Michael Bay que les moyens en matière d’effets spéciaux (assez bons, au vue d’un budget de 12 millions de dollars) et des placements de produits un peu poussifs par moment (par exemple, une canette de telle marque en lévitation). Alors qu’à première vue, le film s’annonçait comme un nouveau Projet X, Projet Almanac se rapproche bien plus de Chronicle sans toutefois l’égaler. C’est déjà ça !

Comment dire ? Ce film n'a absolument aucun sens , incohérent , les acteurs sont terriblement mauvais .Ils passent la majeure partie du film à bricoler une machine dont on ne connait pas du tout le fonctionnement . Ce réalisateur signe pour son 1er film un véritable navet et je reste poli.Seul point positif il fait désormais partie de mes films culte et je prends un malin plaisir à pouvoir le revisionner avec des amis pour leur monter à quoi ressemble un vrai mauvais film .