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Eselce
1 389 abonnés
4 238 critiques
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2,0
Publiée le 5 juin 2016
Le traitement du voyage dans le temps met bien 1/2 heure à se mettre en place et multiplie les effets spéciaux inutiles dont les objets qui volent. On arrive rapidement dans la banalité des envies de la jeunesse. spoiler: Concerts, vengeance, revivre les cours pour avoir une bonne note (Sérieux, après le loto ?!) . La romance est fade, la caméra amateur ne rend pas plus plausible le film (Il le rend écœurant avec les mauvais plans, les tremblements, les coupures intempestifs et les dizaines de coupures injustifiées sur une même scène... Il y a beaucoup d'incohérences avec les voyages dans le temps que l'on connaît au cinéma spoiler: Ne pas rencontrer son double ou son triple après plusieurs voyage au même endroit ? La folie aurait du être traitée et la dernière 1/2 heure nous perd complètement au niveau de la cohérence et l'on n'a plus envie de suivre cette mauvaise exploitation d'une idée qui démarrait pourtant bien.
LA MACHINE A DEMONTER LE TEMPS. Bienvenue hier. Se satisfaire des voyages intemporels, ces intrépides adolescent qui aiment tout et rien, rien et tout, tout comme le found foutage, et le rien quand il n'y a pas d'action. Je cherche encore à comprendre, le faut il ?
Un film qui avait de l'ambition mais qui se perd dans son scénario avec des incohérences, des facilités et un déroulement compliqué. Les personnages sont assez intéressants mais l'histoire a du mal à être crédible car on ne s'attache pas vraiment à eux, ils manquent de consistance... Il y a malgré tout un univers jeune, assez libéré et avec une ambiance plutôt cool...
Rien de neuf puisque "Retour vers le futur," "Un jour sans fin", etc sont passés à la moulinette teen, le tout réalisé en found foutage. Heureusement que le casting a du charisme sinon ce serait imbuvable.
Une bande de petits génies qui, de leur garage, assemblent une machine à remonter le temps. Pour bientôt s'empêtrer dans les boucles en tentant d'effacer les erreurs passées. Le pitch interpellera les connaisseurs : c'est celui de Primer, sorti dix ans plus tôt, déjà. A ceci près que les 7000 dollars dont devait se contenter l’inspirateur laissent place ici à quelques mille sept cents fois plus (j'approxime). D’où vient l’argent ? Je vous le donne en $1000 : Michaël Bay, roi des grands huit, pétards et feux d'artifice. Et où est-ce qu’il part ? Ca, on ne le sait pas trop. Des ralentis en apesanteur, des bruitages en surcharge de basse, des figurants pourtant sporadiques. Le scénario, fruit du travail des deux signataires du navrant mais ouf, dernier Paranormal activity, n’apporte comme on pouvait se douter rien de bien neuf. Surtout, on jurerait les acteurs issus d’un hebdo d’adolescents : les mêmes mèches couvertes de gel, les mêmes sourires éclatants, la même impression qu’ils ne brilleront que dans des sagas pour teens. A l'inverse d'un Neill Blomkamp, pourtant compatriote et presque aussi jeune, Dean Israelite devra sans doute se contenter de tristes séries Z. Comme avant lui, du reste, son cousin John Liebesman, responsable des illustres Tortues Ninja et Choc des titans 2. Eh oui mais c’est un peu ça aussi, les liens du sang.
Personnellement, je n'ai pas trop aimé. Un film pour ados, particulièrement mal joué, avec des acteurs qui sourient tout le temps et ne prennent pas ce qu'ils font au sérieux. Et puis, technique (ou technologiquement), c'est tellement tiré par les cheveux qu'un adulte ne peux pas endurer cela une heure trente. L'idée du scénario était bonne. La réalisation...
Ce film n'est sans doute pas le meilleur des films du même genre, tourné sous la forme d'un faux documentaire et d'un enregistrement trouvé (généralement appelé "Found footage" depuis le fameux THE BLAIR WITCH PROJECT), mais m'a toutefois convaincu : je m'y suis bien rentré et amusé avec un sourire au coin de mes lèvres. Il donne envie également de participer à cette expérience loufoque, histoire de corriger nos erreurs du passé, connaître les bonnes réponses pour gagner quelques millions d'euros ou avoir de bonnes notes, assister à des spectacles inoubliables avant notre naissance, etc. En même temps, le film montre combien cette expérience est un risque : mêler le passé, c'est déranger le futur... Bien sûr, on pense beaucoup à des films cultes comme RETOUR VERS LE FUTUR. Le scénario est réussi, malheureusement du déjà-vu sauf que cela donne un côté plus moderne et plus jeune, dont la distribution des rôles est fort appréciable. Surtout Jonny Weston qui, visiblement, y était très à l'aise. On s'y croirait ! Enfin... presque.
Un teen movie à la sauce SF qui aurait pu être largement mieux foutu. Sur la forme, le found footage est déplaisant à la longue et devient d'une banalité affligeante. Mais le thème est sympathique et les voyages dans le temps bien pensés avec leurs nombreuses imbrications et conséquences. Les personnages sont stéréotypés, production MTV oblige, mais pas foncièrement désagréables. Dans la lignée de l'effet en papillon mais en moins bien. La moyenne tout de même.
Un film de science fiction assez sympathique qui n'est pas sans rappeler un certain "effet papillon". Le scénario basé sur le voyage dans le temps et les conséquences que cela représente est bien exploité et l'ensemble du casting est crédible. On ne s'ennui jamais et on prend même plaisir à suivre les aventures de ce groupe de jeunes adultes. Evidemment, ce divertissement s'adresse plus aux adolescents et cela s'en ressent dans la mise en scène qui parait un peu niaise par moment. Mais au final on passe tout de même un agréable moment devant ce divertissement.
Projet Almanac revisite le voyage temporel à la sauce ado, et même s'il est légèrement en-dessous de l'Effet Papillon, exemple dont il s'inspire sans vergogne, le film reste très accrocheur. Le film met un peu de temps à démarrer, les réactions des ados sont parfois excessivement juvéniles et la façon de filmer n'est plus tellement avant-gardiste, il n'empêche que l'histoire nous met facilement dans le bain, et le dénouement est très bien trouvé, surtout pour un film sur ce thème.
Au départ l idée n est pas mauvaise mais au final le film peine d une mise en scène moyenne sur fond de teen movie qui lui désert fortement. L intrigue ne décolle pas vraiment elle est même trop facile , elle commence un peu à bouger sur le final... Dommage il y avait la place de faire autre chose sur ce sujet. Les acteurs portent le film avec toute leur énergie mais ne le rendent pas meilleur.
Comment dire ? Ce film n'a absolument aucun sens , incohérent , les acteurs sont terriblement mauvais .Ils passent la majeure partie du film à bricoler une machine dont on ne connait pas du tout le fonctionnement . Ce réalisateur signe pour son 1er film un véritable navet et je reste poli.Seul point positif il fait désormais partie de mes films culte et je prends un malin plaisir à pouvoir le revisionner avec des amis pour leur monter à quoi ressemble un vrai mauvais film .
Un nouveau film pour ado tourné en found-footage. Cette fois-ci, on s'attaque au voyage dans le temps. Evidemment, comment aborder cette thématique sans parler de toutes les choses qu'on souhaiterait faire (réussir ses examens, se venger de ses camarades de classe, devenir populaire, gagner au loto, ...) et des conséquences qu’entraînent les changements. Donc rien de bien neuf. L'utilisation du found-footage n'a aucun intérêt ici (certaines séquences le prouvent complètement) si ce n'est de tourner dans l'urgence et de faire des économies budgétaires. On regrette le formidable "Chronicle".
"Projet Almanac" comporte une bonne idée de départ mais la mise en scène gâche un peu tout. La première partie du film est inintéressante. On s'ennuie ferme ! Par ailleurs, le "found footage" est pénible à regarder. Il faut attendre la dernière demi-heure pour que l'histoire s'emballe et que les protagonistes se révèlent, enfin, attachants. C'est peu, et c'est la raison pour laquelle la réalisation de Dean ISRAELITE reste bien moyenne.