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Le thème des voyages dans le temps, et ses conséquences "effet papillon" filmés par des lycéens (enfin presque. Tourné en found footage pour le faire croire) et pour des lycéens, dont les retours dans le passé ont pour but de participer à un festival rock ou de repasser un examen raté. Cela donne une pâle imitation de l'Effet Papillon d'Eric Bress, avec un côté film à petit budget et scènes déjà exploitées par ailleurs mais cela garde un côté sympathique pour ceux qui apprécient le sujet des machines à remonter le temps.
Une production de Micheal Bay ? Je m'en doutais... Franchement, autant vous le dire tout de suite, ne vous posez aucune question de logique. Bref, le film parle donc de voyage temporel, c'est originale pour certains et ça ne l'ait pas pour d'autre, du coup les mecs ont eu l'idée de tourner entièrement le film comme un found-footage. Personnellement, tant que c'est divertissant ça me va. Le résultat est donc plutôt positif, les acteurs sont très impliqués dans leur rôle, chaque personnage à sa part d'importance...
Enfin presque. Le scénario du film mise en grande partie sur le suspens ( c'est plutôt bien parti ), on se retrouve donc propulsé dans le monde de ses lycéens, on découvre leur quotidien, leur problèmes, etc. Puis un jour, leur vie est chamboulée par la découverte d'un étrange " truc ", je vais pas vous spoiler...
En gros, c'est dynamique et bien rythmé, il y a du fun, le film explore à peu près tout ce qu'on peut faire avec cette machine. Techniquement, le film est à jour, le côté " caméra embarquée " nous plonge dans l'ambiance, les effets numériques sont peu nombreux ( heureusement ), et la bande-originale est juste excellente, tout s'accorde avec le thème. Au final, " Projet Almanac " est une surprise, un jolie passe-temps qui a une morale très fictive.
Enfin presque. Le scénario du film mise en grande partie sur le suspens ( c'est plutôt bien parti ), on se retrouve donc propulsé dans le monde de ses lycéens, on découvre leur quotidien, leur problèmes, etc. Puis un jour, leur vie est chamboulée par la découverte d'un étrange " truc ", je vais pas vous spoiler...
En gros, c'est dynamique et bien rythmé, il y a du fun, le film explore à peu près tout ce qu'on peut faire avec cette machine. Techniquement, le film est à jour, le côté " caméra embarquée " nous plonge dans l'ambiance, les effets numériques sont peu nombreux ( heureusement ), et la bande-originale est juste excellente, tout s'accorde avec le thème. Au final, " Projet Almanac " est une surprise, un jolie passe-temps qui a une morale très fictive.
L'histoire d'amour pour ado est très chiante. Le scénario est les répercutions sont très bien faite. Mais encore une fois il faut arreter les films camera au poing. Ca n'apporte rien et ça donne mal à la tête !
L'intrigue du film est simple et suffisante, le film reste divertissant et n'est absolument pas prise de tête. Il n'est pas long en soit, 1h47 au total, et se laisse regarder avec facilité. Le procédé du "found footage" est sympa et nous offre de beaux effets visuels. Néanmoins, il n'est pas aussi abouti et utile que pour Chronicle (2012). L'histoire m'a littéralement transporté et les musiques sont vraiment top (mention spéciale pour le Festival de Lollapalooza).
Le voyage dans le temps est un thème qui a été de nombreuses fois exploité, j'ai même cité certains de ces films un peu plus haut et je pensais que ce fameux Projet Almanac allait nous proposer une nouvelle vision du genre. Il n'en fut rien. Rien de nouveau n'est apporté. Je trouve cela plutôt dommage en fin de compte. J'ai attendu l'inattendu, j'ai envie de dire, mais cette production hollywoodienne n'apporte rien de plus que ce que les films à "voyage temporel" nous avait déjà offert.
En revanche, ce film comporte pas mal de références aux autres œuvres traitant du voyage dans le temps. Looper, Terminator et Time Cop sont directement référencés. On imagine que le film en lui-même est une référence à Retour vers le Futur II, dont le titre n'est pas sans rappeler celui de "l'almanac des sports", que l'on retrouve justement dans le deuxième opus de la DeLorean qui voyage à travers le temps.
L'élément déclencheur de tous les événements qui surviennent dans le film (et plus principalement celui de la découverte de la machine à voyager dans le temps), à savoir David qui se voit tel qu'il est aujourd'hui dans une vidéo de son septième anniversaire (voir photo ci-dessous. Regardez dans le miroir, sur la gauche), est une excellente trouvaille. Vraiment. On s'interroge, au même titre que les protagonistes principaux lorsqu'ils font, eux aussi, cette découverte.
Ce que je reproche essentiellement au film, ce sont les facilités scénaristiques qui conduisent à pas mal d'incohérences. Dommage encore une fois. Je veux bien croire que le voyage dans le temps n'est pas un thème simple à traiter, mais un minimum d'efforts quand même !
Quelques petits exemples : Pourquoi lorsque les personnages voient leur double, ils disparaissent ? Rien ne nous l'explique. Autre élément, lorsque la petite bande remonte le temps afin que Quinn puisse rattraper l'interro qu'il avait loupé, pourquoi ils ne se croisent pas plusieurs fois ? En effet, à chaque fois que Quinn se plante, ils retournent plusieurs fois à cet instant-là du passé. Or, ils sont déjà venus à cet instant donc logiquement il devrait y avoir plusieurs exemplaires d'eux-mêmes à l'instar de Retour vers le Futur II lorsque Doc et Marty retournent à la date du 12 novembre 1955 et qu'ils doivent faire attention à ne pas croiser leurs doubles : le Doc de 55 et le Marty du premier film, déjà présent en 55 !
Le réalisateur a préféré nous offrir une scène comique avec Quinn qui recommence plusieurs fois son interro orale, plutôt que de s'intéresser à la cohérence et à la logique de tout ce passage.
Ma critique et mon analyse complète est à retrouver sur mon blog
Le voyage dans le temps est un thème qui a été de nombreuses fois exploité, j'ai même cité certains de ces films un peu plus haut et je pensais que ce fameux Projet Almanac allait nous proposer une nouvelle vision du genre. Il n'en fut rien. Rien de nouveau n'est apporté. Je trouve cela plutôt dommage en fin de compte. J'ai attendu l'inattendu, j'ai envie de dire, mais cette production hollywoodienne n'apporte rien de plus que ce que les films à "voyage temporel" nous avait déjà offert.
En revanche, ce film comporte pas mal de références aux autres œuvres traitant du voyage dans le temps. Looper, Terminator et Time Cop sont directement référencés. On imagine que le film en lui-même est une référence à Retour vers le Futur II, dont le titre n'est pas sans rappeler celui de "l'almanac des sports", que l'on retrouve justement dans le deuxième opus de la DeLorean qui voyage à travers le temps.
L'élément déclencheur de tous les événements qui surviennent dans le film (et plus principalement celui de la découverte de la machine à voyager dans le temps), à savoir David qui se voit tel qu'il est aujourd'hui dans une vidéo de son septième anniversaire (voir photo ci-dessous. Regardez dans le miroir, sur la gauche), est une excellente trouvaille. Vraiment. On s'interroge, au même titre que les protagonistes principaux lorsqu'ils font, eux aussi, cette découverte.
Ce que je reproche essentiellement au film, ce sont les facilités scénaristiques qui conduisent à pas mal d'incohérences. Dommage encore une fois. Je veux bien croire que le voyage dans le temps n'est pas un thème simple à traiter, mais un minimum d'efforts quand même !
Quelques petits exemples : Pourquoi lorsque les personnages voient leur double, ils disparaissent ? Rien ne nous l'explique. Autre élément, lorsque la petite bande remonte le temps afin que Quinn puisse rattraper l'interro qu'il avait loupé, pourquoi ils ne se croisent pas plusieurs fois ? En effet, à chaque fois que Quinn se plante, ils retournent plusieurs fois à cet instant-là du passé. Or, ils sont déjà venus à cet instant donc logiquement il devrait y avoir plusieurs exemplaires d'eux-mêmes à l'instar de Retour vers le Futur II lorsque Doc et Marty retournent à la date du 12 novembre 1955 et qu'ils doivent faire attention à ne pas croiser leurs doubles : le Doc de 55 et le Marty du premier film, déjà présent en 55 !
Le réalisateur a préféré nous offrir une scène comique avec Quinn qui recommence plusieurs fois son interro orale, plutôt que de s'intéresser à la cohérence et à la logique de tout ce passage.
Ma critique et mon analyse complète est à retrouver sur mon blog
Un "Retour vers le futur" à la sauce "teenagers surexcités" qui lasse par cette frénésie hystérique permanente et le found footage complètement inutile. Le réalisateur tient à tout prix à nous tenir en haleine, mais on lâche un peu prise à cause de ces scènes répétitives. Il cherche aussi à imiter à fond la caisse les "Retour vers le futur" avec la même approche. On ne parle pas des raccourcis faciles, puisque ce n'est que du cinéma fantastique et de science fiction. En fait c'est moyen, sans plus et pas innovant non plus.
Ce film fait son taf et il le fait très bien !!! Je suis partie voir ce film en me disant que ce sera un navet ou quelque chose comme ça, et à ma grande surprise, j'ai adoré. Le pitch de base fut utilisé dans pas moins de 110 films avant lui. Le voyage dans le temps continue et restera un sujet qui passionne. Ici c'est simple, on se retrouve avec une bande d'ados ( des génies, pas des débiles mentaux ) qui découvre qu'il est possible de voyager dans le temps suite à une découverte. Puis, vous connaissez la suite. Ce film est un found-footage c'est à dire filmé à la main avec des caméras banales comme une GoPro ou un caméscope basique. Utilisé depuis longtemps et ayant fait le bonheur de certains films ( Rec, Chronicles ), le sujet divise car ce n'est pas souvent agréable à regarder quand c'est mal filmé. Ici c'est propre et on comprend pourquoi on l'a utilisé même si cela n'était pas forcément nécessaire. Le scénario se divise en 3 phases, la découverte et la construction de la machine, les voyages avec les bons cotés et enfin, les problèmes (car oui, sans ça le film n'a aucun intérêt ...). Personnellement j'ai vraiment pris mon pied, je ne me suis pas ennuyé une seule fois car tout s’enchaîne assez vite et c'est très bien ficelé du début à la fin. Les acteurs sont vraiment excellent et les dialogues sont " naturels ". Pourquoi je dis ça; pour tourner ce film, Dean Israelite ( le réal ) a laissé carte blanche aux acteurs pour leur dialogue. Donc tout est fait en quelques sortes à l'instinct et ça se voit. A part le fait qu'ils ne font pas leur âge ( 25-30 ans chaque mais ça c'est les States ), ils ont des réactions convaincantes et on aurait réagi de la même façon dans certains cas. Au final on s'attache beaucoup aux personnages même ceux qui sont moins charismatiques. Bref, le film nous plonge dans son histoire et on n'en sort qu'au générique de fin. Une fin qui est assez surprenante et originale mais qui ne déplaît pas. Quand je suis sorti de la salle, j'étais excité, boosté. Ce film m'a donné la pêche parce que c'est cool. Voilà, le mot pour décrire ce film est " cool ". Et il a été saccagé par les critiques ... Sauf que ce n'est pas un film comme L'armée des 12 singes ou même Retour vers le Future. Le seul point commun de ce film avec ces chefs d'oeuvre reste l'idée, c'est tout. Projet Almanac ne se vend pas comme un film qui fait réfléchir, loin de là. On est là pour se divertir, pour sortir de la salle avec le sourire et être détendu. Le film le fait très bien mais apparemment le cinéma d'aujourd'hui ne doit faire que des films sérieux. Le cas de Michael ( Fucking ) Bay est le parfait contre-exemple, il fait des films divertissants ( Transformers, Tortues Ninja, Bad Boys, Armageddon ou encore Rock ) et je ne me suis jamais ennuyé devant une de ses créations. Dont celle là, Projet Almanac, produit par lui et franchement, j'ai hâte du prochain.
Film un peu long au démarrage mais débordant de ressource, va de surprises en surprises et de rebondissements en rebondissements, malgré quelques scènes prévisibles. On arrive à suivre le fil si on se concentre bien sur l'image. Les acteurs son corrects. En tout cas c'est un véritable film de science fiction qui traite assez bien d'un sujet particulier et très fantaisiste : les voyages dans le temps ! Ce film ne traite pas simplement des améliorations que l'on effectue à sa vie grâce aux voyages, mais bien, et surtout des conséquences que cela peut engendrer et il le fait plutôt simplement, mais si bien. Ce film fait réfléchir. Bon alors certes ce n'est pas un film incroyable, culte mais il est plutôt convaincant. Ce film est assez réaliste (réaliste notamment car les premiers réflexes des personnages sont les même que nous aurions nous a leurs places)
bien qu'il traite d'un sujet totalement irréaliste (enfin, qui sait ?...). Le défaut majeur de ce film (même si je sais bien que sans, cela changerait tout) est la façon dont il est tourné. C'est assez désagréable à certains moments d'avoir une caméra mal orientée ou qui ne cesse de remuer. Après, cela donne au film un attrait de plus pour nous faire voyager avec les personnages. Bref, finalement assez content du résultat.
bien qu'il traite d'un sujet totalement irréaliste (enfin, qui sait ?...). Le défaut majeur de ce film (même si je sais bien que sans, cela changerait tout) est la façon dont il est tourné. C'est assez désagréable à certains moments d'avoir une caméra mal orientée ou qui ne cesse de remuer. Après, cela donne au film un attrait de plus pour nous faire voyager avec les personnages. Bref, finalement assez content du résultat.
une bonne surprise. meme si c'est loooong a se mettre en place. trop long. facilement 1/3 du film sert a fabriquer la machine alors que des le depart on sait bien qu'elle existe. apres c'est un melange de projet X et de l'effet papillon. un film bien frais, surprenant.
Si vous voulez regarder un horrible film de found footage mettant en scène les personnages les plus stupides du monde vous avez trouvé le film qu'il vous faut. Les motivations et les décisions des personnages sont incroyablement illogiques. Les mouvements de caméra semblaient forcés non motivés et n'avaient tout simplement aucun sens alors pourquoi filmer quelqu'un en train de commettre un crime quand il n'y en a pas dans cette histoire. Les effets de voyage dans le temps étaient essentiellement une caméra tremblante et un souffleur de feuilles. Et il y a environ 20 minutes d'une scène de Lollapalooza qui n'est évidemment qu'un remplissage et ne contient qu'un seul moment qui fait avancer l'histoire. Ce n'est que du cinéma bâclé et nous aurons encore plus de ce genre de films si les gens continuent à payer pour regarder ca...
Une bonne idée de départ malheureusement super mal exploitée.
Tout cela n'est pas très cohérent et le procédé de found footage est tout à fait agaçant, mais il faut aller un peu au delà et admettre que ce petit film présente aussi quelques qualités : un scénario soigné, des acteurs bien engagés et tout un tas de réflexions intéressantes.
Pauline G.
Un film de science fiction dans un cadre réaliste, tout de suite, ça me parle ! Alors on nous présente une petite bande de jeunes tout ce qu'il y a de plus cliché et puis boum ! la super machine arrive et hop ! on part à l'aventure. Ok, jusque-là c'est du classique mais c'est bien fait alors je me laisse prendre au jeu. Et puis petit à petit, ça s'essouffle et puis ça part un peu dans tous les sens, un peu comme si le réalisateur avait préféré faire état de toutes les options qui se présentaient à lui plutôt que d'en choisir une seule et l'exploiter à fond. Le classique/cliché devient progressivement lourdeau et ne sait pas trop comment s'en tirer, si bien qu'il finit par focaliser sur l'histoire d'amour des deux persos clichés principaux (le geek à problèmes perso et la nana populaire et trop belle pour lui). On ne peut pas dire de Project Almanac qu'il soit un mauvais film mais on peut tout de même regretter qu'il ne fasse pas preuve de plus d'ambition avec un pitch pareil.
un sujet de départ hyper prometteur mais desservis par un scénario trop superficielle et niais. La réalisation en caméra "amateur" est détestable. Je n'aime pas du tout sauf pour certains films vraiment particulier qui nous immergent au plus près de l'angoisse mais là, ce fut un mauvais choix enfin pour moi. dommage... à voir une fois, ça passe mais pas plus car c'est sympa mais pas terrible. Un film vraiment adressé aux ados
Je souhaite délivrer ce message pour tous les jeunes de ce site : Allez voir Projet Almanac !!!! J'ai juste adoré ce film, un mélange de Projet X et L'effet Papillon (uniquement sur la forme bien sûr!). Le found footage est très immersif les personnages sont géniaux (deux sont de parfaites copies de certains personnages de Projet X), il ne faut pas le voir pour le scénario qui est extrêmement basique. A partir de la découverte du voyage dans le temps ca devient un vrai film comique... Si vous avez aimé Projet X, vous adorerez ce film je vous le garantis!
LBDC
(...) par sa façon d’aborder le found footage, PROJET ALMANAC refait les mêmes erreurs, dans sa mise en scène, et même davantage, que le décevant Cloverfield (2008). Car si ces petits détails peuvent passer inaperçus pour certains, on ne peut que remarquer l’utilisation problématique d’une bande originale extra diégétique (hors de l’intrigue) et d’effets sonores qui n’ont pas lieu d’être, comme pour suggérer une courte surdité des protagonistes après leur première tentative. Sans parler de l’improbable qualité du son, toujours impeccable et audible, même dans les circonstances les plus bruyantes. Avec de tels choix en contradiction avec le principe du found footage une mise en scène classique aurait été préférable.
Malheureusement ce « détail » n’est pas le seul problème du film. Si Projet X assumait pleinement son aspect teen movie délirant et immature (ce qu’a su intégrer Chronicle dans un univers fantastique), PROJET ALMANAC ne parvient même pas à divertir et ennuie plus qu’autre chose. La faute à un scénario sans grand intérêt. Car après s’être concentré sur une longue découverte de la machine, puis sur les premiers essais de voyage dans le temps, PROJET ALMANAC bascule dans une histoire d’amour inintéressante entre David et Jessie (Sofia Black D’Elia), la « bombe du lycée ». C’est à partir de cette romance et après une séquence toujours aussi absurde au festival de musique Lollapalooza, que le film aborde (enfin ?) les conséquences du voyage dans le temps : changer quelque chose du passé impacte sur le futur. Au final les seules séquences divertissantes seront les premières utilisations de la machine dans le but de régler des problèmes personnels des personnages. Comme repasser une interrogation ratée ou se venger de la brute du lycée. Bien trop peu pour nous garder attentif.
L'intégralité de notre critique, sur Le Blog du Cinéma
Malheureusement ce « détail » n’est pas le seul problème du film. Si Projet X assumait pleinement son aspect teen movie délirant et immature (ce qu’a su intégrer Chronicle dans un univers fantastique), PROJET ALMANAC ne parvient même pas à divertir et ennuie plus qu’autre chose. La faute à un scénario sans grand intérêt. Car après s’être concentré sur une longue découverte de la machine, puis sur les premiers essais de voyage dans le temps, PROJET ALMANAC bascule dans une histoire d’amour inintéressante entre David et Jessie (Sofia Black D’Elia), la « bombe du lycée ». C’est à partir de cette romance et après une séquence toujours aussi absurde au festival de musique Lollapalooza, que le film aborde (enfin ?) les conséquences du voyage dans le temps : changer quelque chose du passé impacte sur le futur. Au final les seules séquences divertissantes seront les premières utilisations de la machine dans le but de régler des problèmes personnels des personnages. Comme repasser une interrogation ratée ou se venger de la brute du lycée. Bien trop peu pour nous garder attentif.
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