Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Les comédiens sont attachants, et le metteur en scène a des choses à dire sur la complexité psychologique et l'ambiguïté moral des rapports amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Transfuge
par Frédéric Mercier
S'il (Emmanuel Mouret) délaisse son univers, il n'abandonne pas pour autant son style et il greffe à cette sombre histoire de jalousie ses habituels dialogues polis, riches de bégaiements, d'hésitations et de cautèle.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
20 Minutes
par Caroline Vié
Si son film souffre de baisse de rythmes et d’une certaine froideur, il se révèle fort intéressant pour la façon dont le réalisateur d’Un baiser s’il vous plaît parvient à renouveler son style sur des thèmes qui lui sont familiers.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Tout en s’attachant aux thèmes qui lui sont chers Emmanuel Mouret prend avec "Une autre vie" un tournant plus grave que la tonalité de ses précédents films.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Reste un récit empreint de naïveté [...]. On salue le geste, courageux, en espérant un retour aux sources.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Dans ce mélodrame assumé, mais dont le récit sans surprise est bien maîtrisé par Emmanuel Mouret, JoeyStarr est surprenant, touchant et vraiment formidable dans le peau de cet électricien ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Basé sur la culpabilité, le film distille, pourtant, un vrai sentiment de cruauté, que Mouret dissimulait jusque-là sous le rire. Mis à nu, il a au moins le mérite de nous sauter à la gueule.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Emmanuel Mouret assume clairement son choix de réaliser un mélo. Mais nous sommes constamment désemparés par ses perpétuelles hésitations entre un drame tout en retenue et un mélodrame au lyrisme flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Réelle surprise que de voir Mouret, cinéaste de l’art courtois, flirter soudain avec la cruauté. Celle-ci advient néanmoins un peu tard pour que l’on soit pleinement convaincu.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une vague resucée de "Tout ce que le ciel permet", avec en guise de Rock Hudson le rappeur JoeyStarr, peu crédible en joli cœur. On ne dira pas ridicule, mais tout de même factice. De quoi regretter les désopilantes comédies marseillaises sous influence rohmérienne de Mouret.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Mais là, il manque quelque chose pour emporter le spectateur, qui du coup se laisse aller au train-train, gentil, pas bête, sympathique même, mais si anodin qu'à la fin, et même bien avant, l'envie lui vient de se casser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Différence des milieux sociaux et des cultures, passion qui doit se cacher, silences et échanges maladroits… Autant d’éléments certes peu originaux mais au fort potentiel dramatique qu’Emmanuel Mouret ne parvient pourtant pas à restituer dans leur force et leur évidence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Tout parait plombé dans ce mélo qui se voudrait une tornade sentimentale. Et la bande son envahissante n'arrange rien.
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Si l'histoire d'amour est attachante et la photographie soignée, le duo JoeyStarr/Jasmine Trinca reste peu crédible et la partition de Virginie Ledoyen manque d'épaisseur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Emmanuel Mouret a décidé de changer de registre. L’intention est louable mais la réussite n’est pas complètement au rendez-vous.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
A coups de nappage de cordes qui lorgnent vers Delerue et de clichés vitrifiés à base notamment de spaghetti, le film vise manifestement une ampleur minimale de mélo truffaldien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
(...) ça fonctionne mal, on ne ressent pas la passion, le drame, le destin qui devraient chambouler ce trio (...).
Première
par Damien Leblanc
(...) la direction d'acteurs, vidée de toute fantaisie, anesthésie les tentations romanesques du cinéaste et fait apparaitre les limites d'une mise en scène désincarnée.
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Emmanuel Mouret ("L'art d'aimer") délaisse ici le marivaudage burlesque pour le tragique romanesque. Manque, hélas, à sa nouvelle carte du Tendre, la fièvre que l'histoire réclamait.
Télérama
par Louis Guichard
Le sujet intemporel — le dilemme moral des amants face à la femme trahie — et les références cinéphiles d'Emmanuel Mouret devraient donner un exercice de style élégant. Or rien ne s'incarne vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Rien ne vibre. Sous influence truffaldienne, Une autre vie ressemble à un affreux téléfilm tourné dans les années 70 par un cinéaste des années 40.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Figaroscope
Les comédiens sont attachants, et le metteur en scène a des choses à dire sur la complexité psychologique et l'ambiguïté moral des rapports amoureux.
Transfuge
S'il (Emmanuel Mouret) délaisse son univers, il n'abandonne pas pour autant son style et il greffe à cette sombre histoire de jalousie ses habituels dialogues polis, riches de bégaiements, d'hésitations et de cautèle.
20 Minutes
Si son film souffre de baisse de rythmes et d’une certaine froideur, il se révèle fort intéressant pour la façon dont le réalisateur d’Un baiser s’il vous plaît parvient à renouveler son style sur des thèmes qui lui sont familiers.
Critikat.com
Tout en s’attachant aux thèmes qui lui sont chers Emmanuel Mouret prend avec "Une autre vie" un tournant plus grave que la tonalité de ses précédents films.
Le Monde
Reste un récit empreint de naïveté [...]. On salue le geste, courageux, en espérant un retour aux sources.
Le Parisien
Dans ce mélodrame assumé, mais dont le récit sans surprise est bien maîtrisé par Emmanuel Mouret, JoeyStarr est surprenant, touchant et vraiment formidable dans le peau de cet électricien ordinaire.
TéléCinéObs
Basé sur la culpabilité, le film distille, pourtant, un vrai sentiment de cruauté, que Mouret dissimulait jusque-là sous le rire. Mis à nu, il a au moins le mérite de nous sauter à la gueule.
aVoir-aLire.com
Emmanuel Mouret assume clairement son choix de réaliser un mélo. Mais nous sommes constamment désemparés par ses perpétuelles hésitations entre un drame tout en retenue et un mélodrame au lyrisme flamboyant.
Cahiers du Cinéma
Réelle surprise que de voir Mouret, cinéaste de l’art courtois, flirter soudain avec la cruauté. Celle-ci advient néanmoins un peu tard pour que l’on soit pleinement convaincu.
L'Humanité
Une vague resucée de "Tout ce que le ciel permet", avec en guise de Rock Hudson le rappeur JoeyStarr, peu crédible en joli cœur. On ne dira pas ridicule, mais tout de même factice. De quoi regretter les désopilantes comédies marseillaises sous influence rohmérienne de Mouret.
L'Obs
Mais là, il manque quelque chose pour emporter le spectateur, qui du coup se laisse aller au train-train, gentil, pas bête, sympathique même, mais si anodin qu'à la fin, et même bien avant, l'envie lui vient de se casser.
La Croix
Différence des milieux sociaux et des cultures, passion qui doit se cacher, silences et échanges maladroits… Autant d’éléments certes peu originaux mais au fort potentiel dramatique qu’Emmanuel Mouret ne parvient pourtant pas à restituer dans leur force et leur évidence.
Le Journal du Dimanche
Tout parait plombé dans ce mélo qui se voudrait une tornade sentimentale. Et la bande son envahissante n'arrange rien.
Les Fiches du Cinéma
Si l'histoire d'amour est attachante et la photographie soignée, le duo JoeyStarr/Jasmine Trinca reste peu crédible et la partition de Virginie Ledoyen manque d'épaisseur.
Les Inrockuptibles
Emmanuel Mouret a décidé de changer de registre. L’intention est louable mais la réussite n’est pas complètement au rendez-vous.
Libération
A coups de nappage de cordes qui lorgnent vers Delerue et de clichés vitrifiés à base notamment de spaghetti, le film vise manifestement une ampleur minimale de mélo truffaldien.
Ouest France
(...) ça fonctionne mal, on ne ressent pas la passion, le drame, le destin qui devraient chambouler ce trio (...).
Première
(...) la direction d'acteurs, vidée de toute fantaisie, anesthésie les tentations romanesques du cinéaste et fait apparaitre les limites d'une mise en scène désincarnée.
Télé 7 Jours
Emmanuel Mouret ("L'art d'aimer") délaisse ici le marivaudage burlesque pour le tragique romanesque. Manque, hélas, à sa nouvelle carte du Tendre, la fièvre que l'histoire réclamait.
Télérama
Le sujet intemporel — le dilemme moral des amants face à la femme trahie — et les références cinéphiles d'Emmanuel Mouret devraient donner un exercice de style élégant. Or rien ne s'incarne vraiment.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Rien ne vibre. Sous influence truffaldienne, Une autre vie ressemble à un affreux téléfilm tourné dans les années 70 par un cinéaste des années 40.