Avis : Final Girl : La dernière proie - Page 2

Version moderne du conte Le Petit Chaperon Rouge qui mélange Battle Royale et Hunger Games mais sombre dans les méandres de la nullité. Aucun intérêt, aucune imagination, un casting bâclé, à oublier et vite.

De nouveau, on retrouve Abigail Breslin dans un direct dvd et dans un rôle dans lequel on ne l’attendait pas. Final Girl n’est pourtant pas une réussite dans tous les sens du terme. Le synopsis est alléchant mais au final, le scénario est creux, et d’une lenteur assez étonnante. On s’attend à quelque chose plus tourné vers l’action et l’on nous sert principalement des dialogues fades, sans aucun intérêt car il n’apporte rien au film et en plus on tombe dans le discours pompeux et pseudo intello ou pseudo philosophique.

L'affiche est attirante, le résumé aussi mais à aucun moment la sauce prend. On a beaucoup de mal à croire que l'actrice est une tueuse, les scènes de combats sont au ralenti, les chasseur n'ont aucune personnalité (sauf le big boss, il en fallait quand même bien un).
Mais vraiment ce qui tue le film c'est le peu de crédibilité du rôle principal.
Dommage ça aurait pu être sympa

Ce thriller d'épouvante servi par un casting plutôt convaincant ne propose aucune nouveauté au genre cinématographique, et le scénario, prévisible et dénué d'originalité, manque, quant à lui, cruellement d'intensité et de crédibilité.
Bof. Vraiment pas terrible.

Final Girl aurait put être un meilleur film en creusant plus l'héroïne et son professeur et en rajoutant la police .
Le sujet est originale mais aurait mérité un meilleur développement.
L'histoire est très simple comportant un peu de rebondissements et UNE surprise (en tout cas marquante) en restant claire et cohérent .
Le scénario est bon mais parfois mansye de logique.
Une bonne fin qui aurait put être autrement.
Le dialogue est recherché.
Le casting est très crédibles (surtout les assassins qui sont complètement fous) .
Ça ce regarde mais il manque des choses pour en faire un film plus que Pas Mal par exemple 30 minutes de plus !

On ne va pas se mentir ; ce film a des défauts.
-Il est trop court, 1h20 c'est vraiment léger
- Se balader la nuit en forêt et qu'il y ait toujours de la lumière comme si un phare éclairait la scène rend cela peu crédible
Mais néanmoins, tout n'est pas à jeter. Le scénario a un air de déjà vu mais est bien traité. L’héroïne a un charme fou ce qui colle parfaitement au rôle. Le rythme est soutenu et on ne s'ennuie pas (bon, en 1h20 de film, encore heureux!).
Donc j'ai apprécié.
A voir à la rigueur surtout par les amateurs de vengeance...

Hormis la robe rouge, pas la peine de s'emballer, absolument rien n'est un paralelle avec le petit chaperon rouge. Pour le reste, ce film est un désastre. Héroïne qui n'a pas du tout les ambitions physiques qu'on veut bien lui donner, mise en scène ratée, longueurs inutiles, dialogues insipides, inutiles et caricaturaux, film sans surprise, les rares scènes de combats (peut etre 5 à 6 mins en tout dans le film) sont complètement ratées...l'éclairage à grand coup de projo dans les bois fait sourire ...Budget étriqué pour film sans ambition au coup de production de quelques milliers de dollars (pour la location des voitures 60's on va dire), c'est tout ce que ça inspire. Quelle perte de temps.

Ça aurait pu être bien, sur le papier ça s'annonçait pas mal. une espèce de tueuse bien foutue qui met la raclée aux méchants... Mais vous êtes déçus parce qu'il ne se passe quasiment rien pendant tout le film avant la scène de castagne que vous attendez de pied ferme. Puis, dans la forêt, en pleine nuit (bien éclairée, quand même, c'est très déconcertant!), enfin, ça arrive... mais, "by Jove!" l'actrice n'a pas pris un cours de pseudo combat!!! (dans le scénario, on nous fait comprendre qu'elle a été dressée par un type genre "Hitman" depuis son enfance : que s'est-il passé???). Une ambiance un peu sixties avec des combats du cinéma de l'époque (et j'adore le cinéma des 60's)... Bref, passez votre chemin!

Passez votre chemin , ceci est une daube de première .
Le réalisateur se rend il compte de la qualité de son film . L'histoire n'est pas mal mais alors quelle mauvaise façon de réaliser un scénario dont on se doute un peu le déroulement.
Jolie blondinette à pour premier rôle une piètre composition , les coups sont mal gérés .
Aucune cascade réaliste , acteurs pitoyables sauf peut-être le grand méchant blond, qui mérite bien mieux .Décevant

Le film des extrêmes. Et typiquement le type de séries B qui aurait pu être culte mais qui accumule bien trop de défauts et de scories à quasiment tous les niveaux pour faire valoir ses maigres (mais immenses) qualités. Pourtant tout cela démarrait très bien, mais plus le film avance et plus ses carences en tout deviennent flagrantes et on en vient à se demander si ce n’est pas tout simplement une série Z de plus sans intérêt. Mais non, car il y a quelque chose dans la mise en scène, dans l’univers présenté et dans la tonalité qui fait parfois totalement mouche. « Final Girl » est donc un drôle de long-métrage qui se fera certainement haïr et fera dire à ceux qui le regardent qu’ils ont perdu leur temps. Mais il développe pourtant des petites choses réussies parsemées de-ci de-là qui retiennent l’attention. Et c’est donc terriblement frustrant, mais la balance négative l’emporte et on peut clairement dire que le film est mauvais, tout comme son actrice principale qui se révèle une erreur de casting flagrante.



Le postulat est simple : une jeune fille est recrutée par un homme mystérieux pour assassiner des gens et une bande de quatre adolescents tueurs de jeunes filles sera sa cible pour son test final. Dit comme cela, c’est un début de scénario qui en vaut un autre. Sauf qu’on attend un minimum de développements et qu’on n’en aura quasiment aucun. Comme s’il manquait des bouts de films, surtout qu’il dure à peine plus d’une heure et quinze minutes et qu’il semble commencer bien trop vite et se terminer avec une queue de poisson comme on en a rarement vu. L’impression d’être devant un brouillon, que le film a été tourné uniquement sur story-board sans script est constamment présente. On ne saura donc pas pourquoi cette fille a été recrutée, encore moins qui est le personnage de Wes Bentley qui la forme ni pourquoi pas plus que ce qu’il se passe après ce test et qui sont ces jeunes garçons serial-killer. Bref, des promesses alléchantes qui tombent toutes à plat comme si le film avait été charcuté au montage. Véritablement étrange…



Cependant en dépit de ces mauvais aspects qui en font clairement un film raté (mais pas un nanar tout de même) on trouve des fulgurances, notamment dans la mise en scène. Tyler Shields réalise là son premier film et cela se voit pour tout ce qui a été cité plus haut et il aurait grand besoin de s’attacher les services d’un véritable scénariste pour la narration et d’un monteur qui ne fasse pas de supposée boucherie avec les rushs. Mais Dieu sait que ces images sont souvent belles tout comme l’univers dans lequel se déroule l’action. Ce qui s’annonçait comme un banal slasher ou run evenge movie féminin de plus se transforme grâce à cette patte esthétique en un espèce de conte de fées mêlé de film d’époque malsain. En effet, les costumes et les décors comme les accessoires et les lieux de tournage laissent à penser que nous serions dans les années 60 sans le confirmer, ce qui perturbe dans le bon sens. A côté, certaines séquences proches du fantastique sont sublimes à souhait (la chasse finale dans les bois est éclairée comme un tableau de peintre) mais déconnectent le film de la réalité. Bref, c’est mauvais mais il y a du visuel et un style à sauver pour ceux qui aiment se flatter l’œil, sinon fuyez!



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Le pitch est d'une imbécilité confondante. spoiler: Un type superdoué dont la femme et la fille ont été trucidés veut se venger de tous les méchants du monde. Et pour ce faire, il forme une gamine pendant 14 ans.
Ensuite on a droit à une centième variation sur le thème d spoiler: es chasses du conte Zaroff
dont l'issue est sans suspense et le déroulement sans surprise et assez ridicule, malgré deux ou trois idées par ci, par là. Côté interprétation, Wes Bentley non campe un monument de suffisance, quant à Abigail Breslin on sent par moment le potentiel, mais juste par moment.

Pas un bon film, mais pas mauvais non plus. C'est moyen, et divertissant. Le genre de film qu'on regarde facilement un jour de pluie. Par contre il aurait pu être largement mieux, avec plus d'audace et de violence.. le tout paraît trop "propre" et lisse, alors qu'il y avait moyen d'avoir un résultat extrêmement malsain. Surtout que l'idée de départ était géniale, avec plus de moyen et de cran, il y avait moyen de faire un très bon survival.. dommage..

Si vous lisez le synopsis que nous offre Allociné, sachez d'ores et déjà que s'il donne bien l'esprit de l'intrigue, il n'en est pas pour autant un résumé précis et quand vous verrez le film, si toutefois vous vous laissez tenter, vous resterez un peu dubitatif devant cette petite divergence. Pour en venir au film lui-même, il faut être honnête, il n'est pas des plus excitants et son intrigue sans être véritablement inintéressante, laisse une impression de grande vacuité. En fait la froideur de l'histoire, la psychologie limitée des personnages et des péripéties s'enchaînant mécaniquement ne donnent pas un long-métrage très enthousiasmant. On a peine à s'intéresser aux aventures de cette apprentie tueuse/justicière/ super soldat, on ne sait pas trop... Et le jeu du chat et de la souris qui vire au jeu de massacre et qui s'engage avec une bande de jeunes hommes au comportement de psychopathes peine à dépasser le film d'action mollasson. Alors, le film possède de belles scènes notamment dues aux éclairages dans une forêt en pleine nuit qui offrent de belles images, mais au-delà de cet aspect esthétique, le film peine à susciter un quelconque intérêt. Franchement dispensable.

Final Girl ressemble à un conte mais un conte macabre alors. Abigail Breslin qui a bien grandi depuis Little Miss Sunshine (et que le temps passe vite d'ailleurs, c'est affolant !!! 2006, c'était hier) face à une meute de loups dans une forêt la nuit. Ça a un petit goût d'Hunger Games. Dès lors, je n'ai pas été surpris de voir Alexander Ludwig dans la peau du chef de cette bande de psychopathes. Si Final Girl propose quelques moments de tension honnêtes, il y a plusieurs points dans le scénario qui me chiffonnent. Déjà cette gamine qui est-elle ? Où sont ses parents ? Même si je me doute qu'ils sont sans doute morts. Morts comment ? Pourquoi ? Ce type qui la recrute, qui est-il ? D'où il sort ? Pourquoi elle et pas une autre ? Passons sur l'entraînement pour arriver à cette mission que lui confie son recruteur. Mettre hors d'état de nuire quatre jeunes, auteurs de plusieurs meurtres de jeunes femmes blondes. Là encore, pourquoi eux ? Comment ce fameux mentor a-t-il pu prendre connaissance de leurs exactions ? Et surtout que fait la police locale ? On ne la voit nulle part. Et pourtant, ces tarés parlent à un moment de vingt victimes. Quelque chose comme ça. Pas suffisant pour déclencher une enquête de police ? Arrive la partie dans la forêt. Une forêt qui ne fait peur à aucun moment, si c'était l'effet recherché, car constamment illuminée sans doute à l'aide d'un vulgaire projecteur. Peine perdue. Avoir attendu une heure pour de pauvres bastons mal chorégraphiées et toutes sauf violentes...C'est un peu cher payé. Je taille, je taille mais face à des personnages totalement creux dont on ignore tout (sauf les meurtriers dont l'environnement familial est un peu dessiné mais bon), ce qu'ils ont été et ce qu'ils seront dans le futur, des incohérences ou des omissions, difficile, dans ces conditions, de croire à cet ange exterminateur amateur de milk-shake et de pancake.

Pourquoi vouloir réaliser un long métrage quand on n'a qu'un scénario de court métrage ? Final Girl manque de cohérence, tout y est malheureusement un peu téléphoné. Certes le casting est intéressant, mais les meurtres manquent d'originalité, on ne nous donne pas le pourquoi du comment de cette histoire, dommage....