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Votre avis sur Philomena ?
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Adorable Philomène à la recherche de son fils « vendu » à des Américains par un pensionnat religieux de filles-mères. Adorable aussi ce journaliste patient et compréhensif qui l’aide dans ses démarches. Et le lien affectif qui se tisse entre les deux. « Ce n’est pas vous qui devez vous confesser, c’est l’église catholique ! » Tiré d’une histoire vécue, un mélo appuyé mais de qualité, une réflexion sur le pardon. Un film justement récompensé, à Venise notamment.
Un film très douchants avec une histoire qui rappelle des choses de la on passe un agréable moment à le regarder
Avec "Philomena", Stephen Frears signe une comédie dramatique tout ce qu'il y a de plus classique. Les ficelles narratives sont grossièresrendant l'intrigue prévisible d'un bout à l'autre. Bref, on ne peut se défaire d'un sentiment de déjà-vu. Et pourtant, cela fonctionne. Cela fontionne même très bien puisque dès les premières minutes le cinéaste nous embarque dans cette histoire humaine, pleine d'émotions. On pleure, on rit, on s'attendrit et passe finalement un excellent moment en compagnie de cet excellent tandem Dench/Coogan. Un film qui fait du bien.
Ce film est un puissant, plein de finesse et de subtilité. Une belle adaptation du roman éponyme. Très bon jeu d'acteurs. On s'attache aux personnages et à cette histoire captivante.
Inspiré de faits réels, une histoire émouvante portée par l'interprétation géniale du duo Judi Dench et Steve Coogan.
un chef d'oeuvre très très émouvant ! Et le pire c'est que la vérité, même si cela semble incroyable, est encore pire. ce sont centaines de cadavres d'enfants qui ont été enterrés par centaines : ce film a le mérite de nous montrer l'horreur vécus pas milliers d'Irlandaises.et le massacre de centaines d'enfants
Un film magnifique, une histoire bouleversante. Une sincérité débordante. Le jeu est extremement touchant. Je n'ose compter le nombre de personnes ayant vécu cela.
S. Frears met en scène sobrement l'évocation de ce drame. sous forme d'aventure journalistique faisant revivre un passé douloureux, mêlant tristesse, culpabilité et regrets. un film émouvant, digne, avec en toile de fond la croyance religieuse, où finalement les personnages incarnés par J. Dench et S. Coogan s'apportent mutuellement.
Beau film de Stephen Frears. L'intérêt du film vient surtout de l'histoire qui est très belle et émouvante, des acteurs excellents, et aussi d'une réalisation exemplaire. Aucun temps morts, de l'humour de temps en temps, une belle photographie, un bon film britannique. Une histoire vraie, et une fin surprenante.
Alors qu’il le cite ouvertement lors d’une scène d’ouverture, “Philomena“ rappelle sans le cacher le film “The Magdalene Sisters“ de P.Mullan en évoquant les atrocités physiques et psychologiques silencieuses des institutions catholiques irlandaises dans les années 60. Le personnage de Philomena est également une témoin de ces histoires atroces gardées secrètes, mises en scènes ici par flashbacks. Car 50 ans après un lourd silence, la langue se délie, enfin. Philomena a gagné en âge, en maturité, en sagesse et en recul. C’est ici toute la force de ce film de s’imprégner de la personnalité tendre et affectueuse de cette femme devenue mamie, en quête de vérité et de réponses, dont le passé douloureux n’entame (presque) en rien son soudain déterminisme à bousculer le passé et le silence cadenassé toujours actuel des institutions religieuses. A ses côtés, un journaliste en quête de rédemption honorifique et professionnelle, joue de sobriété et d’humanisme alors que le scoop qu’il a dans les mains pourrait faire l’office d’une bombe médiatique dans notre monde moderne. C’est donc avec la carte de la sagesse et de l’humanisme que S.Frears met en scène ce film qui joue constamment sur l’émotion feutrée et la malice blessée de son personnage principal, transmettant constamment une tendresse qui n’édulcore pourtant jamais les propos douloureux qui y sont dénoncés. Le duo J.Dench - S.Coogan est brillant de singularité et de classe so british. Le gentil “Philomena“ n’est pas le film coup de poing comme pouvait l’être sa consoeur “The Magdalene Sisters“, mais il s'y dégage beaucoup d'humanité et de sagesse à décrire avec beaucoup de hauteur une histoire pourtant odieuse et douloureuse.
Un excellent film basé sur une histoire vraie. Le duo d'acteur fonctionne à merveille. L'histoire captive de bout en bout. De l'émotion et de la réflexion....
magnifique ! les voies du seigneur sont impénétrables. je reste sans voix devant ce film très émouvant ; et en même temps captivant
la boucle est bouclée.certes. la question est:
pardonner ou pas ?
la boucle est bouclée.certes. la question est:
pardonner ou pas ?
Fêtons le cinéma
Que tout cela est beau et difficile à la fois, comme tout cela sonne juste. Phénoménale Philomena qui plonge, de ses une heure trois quarts durant, dans les tréfonds d’une âme meurtrie en quête de son enfant. La force du film réside certainement, au-delà bien entendu de ses acteurs merveilleux, dans cette façon d’exposer sans condamner, de reconnaître, comprendre et pardonner sans jamais évacuer l’épreuve que ces étapes traduisent. Rarement la religion avait été abordée avec autant de justesse, saisie dans ses paradoxes fondamentaux qui, malgré l’apparente lucidité revendiquée par notre journaliste, offre un réconfort, surtout une foi, à la mère amputée. Portée par la comme toujours sublime composition musicale d’Alexandre Desplat, Philomena est une œuvre humaniste immense qui érige l’intime et ses louvoiements au rang d’œuvre d’art, consacre l’amour et la croyance au rang de dispositions à défendre jour après jour de sorte à ne pas choir dans le pessimisme facile et inerte. Preuve, s’il en fallait trouver une supplémentaire, que Stephen Frears aime ses personnages et l’humanité qu’ils véhiculent sans jamais les juger, preuve qu’il constitue certainement le poète de l’humain saisi dans sa complexité fondamentale. Chef-d’œuvre.
J’ai pleuré devant ce film, que de beaux messages sur les fortes convictions qui m’ont touché, ne jugeons pas la religion, parce qu’il faut croire en la vie, un magnifique chef-d’œuvre.
Vide d'émotions malgré les violons incessants, bourré de clichés à l'Américaine... Bref, d'une platitude agaçante
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