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Tommy Lee Jones signe un film sensible, traversé d’images et de scènes magnifiques, guidé par cette femme agissant au mieux de sa conscience, dans un mélange presque désespéré de pragmatisme, de résolution et d’amour profond de son prochain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le personnage semble écrit pour Tommy Lee Jones, aussi drôle qu'émouvant. Mais la performance de Hilary Swank, mélange d'obstination et de tristesse, est saisissante. A Cannes, la présidente du jury Jane Campion ne devrait pas rester insensible à ce personnage singulier. Le prix d'interprétation lui tend les bras.
Si l’acteur-réalisateur critique la conquête de l’Ouest par le scénario (...), il la magnifie par sa mise en scène (...). Un western de plus, bien fabriqué et produit (par Luc Besson), ça se regarde sans déplaisir.
Aux deux tiers du récit, "The Homesman" est frappé par un immense coup de théâtre qui a dérouté plus d’un spectateur. Sans doute parce que ce drame à la fois ample et intimiste, visuellement chiadé mais jamais tape à l’œil, avance sans cesse sur un faux rythme.
La critique complète est disponible sur le site Metro
POUR : Sans être parfait, "The Homesman" est une œuvre qui ressemble à son créateur, sauvage et abrupte, bourru et nostalgique. Et le dernier plan que nous tairons ici est assurément l’un des plus beaux de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dès le début, se constitue une qualité définie du visible, à la fois unique, hétérogène et paradoxale. Ce chassé croisé, ces commutations morales s'effectuent sans niaiserie bien pensante, à l'ombre du sexe et de la mort. Comme dans "Trois Enterrements", Tommy Lee Jones se soucie du renouvellement des sépultures.
A la fois drame pastoral (...), fable philosophique, western, "survival", "The Homesman", comme "Trois Enterrements", est également un récit à grand spectacle avec son lot d'épisodes héroïques (...).
Dans des paysages splendides de vent, de neige et de froid, Tommy Lee Jones filme en outsider dans un Far West déjà civilisé par la religion et l'argent...
Tout à son académisme tranquille, "The Homesman" trouve sa place au croisement d’un sujet en or et d’une belle idée. En fait de conquête de l’Ouest, il s’agit plutôt de rebrousser la piste, d’en mesurer le désenchantement. Un western à rebours, en somme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Tommy Lee Jones confirme son talent derrière la caméra avec ce road-movie à cheval qui s'inscrit dans la tradition du cinéma du Grand Ouest américain. Les relations explosives entre la célibataire au courage exemplaire et le mercenaire bougon font oublier une narration un peu classique.
CONTRE : La réalisation trop classique, grevée par certaines lourdeurs d’interprétations, empêche le film de nous prendre totalement au lasso de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Franceinfo Culture
Ce film renoue avec un cinéma de genre dans le sens noble terme, distrayant, haletant et à la richesse thématique foisonnante.
La Croix
Tommy Lee Jones signe un film sensible, traversé d’images et de scènes magnifiques, guidé par cette femme agissant au mieux de sa conscience, dans un mélange presque désespéré de pragmatisme, de résolution et d’amour profond de son prochain.
Le Figaroscope
Le personnage semble écrit pour Tommy Lee Jones, aussi drôle qu'émouvant. Mais la performance de Hilary Swank, mélange d'obstination et de tristesse, est saisissante. A Cannes, la présidente du jury Jane Campion ne devrait pas rester insensible à ce personnage singulier. Le prix d'interprétation lui tend les bras.
Le Parisien
Véritable anti-western, le film, prenant, âpre, réhabilite le rôle des femmes à cette époque.
Les Inrockuptibles
Si l’acteur-réalisateur critique la conquête de l’Ouest par le scénario (...), il la magnifie par sa mise en scène (...). Un western de plus, bien fabriqué et produit (par Luc Besson), ça se regarde sans déplaisir.
Metro
Aux deux tiers du récit, "The Homesman" est frappé par un immense coup de théâtre qui a dérouté plus d’un spectateur. Sans doute parce que ce drame à la fois ample et intimiste, visuellement chiadé mais jamais tape à l’œil, avance sans cesse sur un faux rythme.
Paris Match
POUR : Sans être parfait, "The Homesman" est une œuvre qui ressemble à son créateur, sauvage et abrupte, bourru et nostalgique. Et le dernier plan que nous tairons ici est assurément l’un des plus beaux de l’année.
Positif
Dès le début, se constitue une qualité définie du visible, à la fois unique, hétérogène et paradoxale. Ce chassé croisé, ces commutations morales s'effectuent sans niaiserie bien pensante, à l'ombre du sexe et de la mort. Comme dans "Trois Enterrements", Tommy Lee Jones se soucie du renouvellement des sépultures.
Première
A la fois drame pastoral (...), fable philosophique, western, "survival", "The Homesman", comme "Trois Enterrements", est également un récit à grand spectacle avec son lot d'épisodes héroïques (...).
Télé 7 Jours
L'ombre de John Ford plane sur ce road-movie âpre et déroutant, mais illuminé par Hilary Swank.
Télérama
Dans des paysages splendides de vent, de neige et de froid, Tommy Lee Jones filme en outsider dans un Far West déjà civilisé par la religion et l'argent...
aVoir-aLire.com
Une réussite majeure dans le genre du western qu’il prend à contre-courant...
Chronic'art.com
Tout à son académisme tranquille, "The Homesman" trouve sa place au croisement d’un sujet en or et d’une belle idée. En fait de conquête de l’Ouest, il s’agit plutôt de rebrousser la piste, d’en mesurer le désenchantement. Un western à rebours, en somme.
Critikat.com
Film sur le désenchantement et la perte de sens, "The Homesman" finit par produire ce qu’il est censé décrire.
Le Journal du Dimanche
Tommy Lee Jones confirme son talent derrière la caméra avec ce road-movie à cheval qui s'inscrit dans la tradition du cinéma du Grand Ouest américain. Les relations explosives entre la célibataire au courage exemplaire et le mercenaire bougon font oublier une narration un peu classique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Paris Match
CONTRE : La réalisation trop classique, grevée par certaines lourdeurs d’interprétations, empêche le film de nous prendre totalement au lasso de son scénario.
Cahiers du Cinéma
Mais qui a envie de regarder en 2014 un western aussi décati ?